vendredi 10 juillet 2015

poeme familiale

poème pour ma soeur. ... Mon frère et moi ... .

Il y avait voilà ... c'était hier ...
Une petite fille et un petit garçon !
Ils étaient des soeurs et frères ...
Le soir les parents étaient à la maison...
Les enfants savaient quoi faire
Ils apprenaient très vite leurs leçons ....
.
Puis ils ouvrent enfin la porte
Un beau livre de contes à la main
En courant au soleil ils sortent
Et vlan... ils suivent le chemin
Bien assis, l'imaginaire les emporte
Ils sourient d'un sourire mutin .. .
.
Un beau conte pour faire rêver...
Marionnettes, fées et lutins ...
Un rythme qui veut faire danser
Les enfants aux horizons lointains
Chantez, chantez enfants libérés
Chantez-nous un beau refrain ...

poeme familiale frère et soeur

Dans le cœur de l’enfant.

Sur une feuille séchée l’enfant a dessiné
Un cœur tout déformé puis il a demandé,
« Est-ce que tu peux écrire à papa et lui dire
Je lui donne mes sourires pour qu’il puisse guérir.

Poème familiale: Petit garçon chagrin qui a peur le matin

Il ne sent plus la main de son père en soutien,
L’horrible maladie l’a éloigné d’ici
Et le monde du petit a soudain rétréci.
Dans son lit chaque soir l’enfant pleure dans le noir
Il cherche à le revoir, au fond de sa mémoire,
Son papa souriant et ses bras qu’il lui tend
L’enfant blond voudrait tant que tout soit comme avant.
Le matin au lever il voit sa mère pleurer
Elle l’attire à ses côtés, il a peur à en crier,
Tout tourne autour de lui tout son espoir s’enfuit
Tous les mots qu’elle lui dit vont déchirer sa vie.
Serré contre sa mère l’enfant se désespère
Muet, dans sa misère il appelle son père,
Le silence en écho étouffe leurs sanglots
La douleur est sans mots finis les jours si beaux.
Orphelin, dans ton âme, tous tes cris sont des armes
Et tu caches tes larmes ta maman te réclame,
Tu es devenu grand en ce terrible instant
Tu veux aider « maman » tu as si peur pourtant.
Poème familiale image

Poème familiale : La vieille Dame et l'Enfant.

La vieille Dame en noir au sourire édenté
Refuse le désespoir de l'enfant éploré,
D'une main décharnée elle caresse la joue
De l'enfant étonné, son regard est si doux.
Et le rire enfantin de la si vieille Dame
Adoucit le chagrin de cette très jeune âme,
Et quand l'enfant se serre dans les bras de la vieille
C'est comme si la misère s'effaçait au soleil.

Le Voyageur.

Il venait du désert après un long voyage,
Traversant toutes les mers, choisissant ses rivages.
Il avait observé ce monde de sauvages,
Appris des vérités sans se sentir plus sage.
Il a aimé parfois mais après les émois
Lui il faisait le choix de l’adieu sans nulle joie,
Il n’avait qu’une seule loi prendre ce qu’on lui doit
Sa vie le menait droit vers un lieu bien trop froid.
Il s’arrêtait souvent car il était conscient
Des humains impatients, le jugeant mécréant,
Et dans son cœur pourtant cet espoir renaissant
Que les hommes finalement saurait aimer vraiment.
Voyageur il n’a rien, pourtant il tend la main,
Toujours sur son chemin, offre écoute et soutien,
Son but est le chemin, personne ne le retient
Donner chaque matin n’en faisait pas un saint.
C’est un pèlerin du cœur et c’est là son moteur
Il le puise au fil des heures, il cherche la chaleur,
Des hommes et leur malheur, il peut sentir leurs peurs,
Il est le voyageur qui donne tant de douceur.

Poème familiale : Avec des yeux d’enfant

Ce monde est bien plus beau avec des yeux d’enfant.
C’est un peu comme un rêve qui finit rongé
Par d’innombrables maux d’un état trop conscient
Empoisonnant la sève de l’humanité.
Ce monde crève cœur avec des yeux de grand,
A crier larmes vaines à ces doux paysages
Qu’on salit de l’horreur de nos actes méchants,
Amer et plein de haine, écœuré avec l’âge.
Ce monde est toujours là quand je ferme les yeux
Ouvrant ceux de l’enfant pour voir tant que possible
Cette vie au-delà de tout ce qui fait vieux
Face au monde des grands souvent inadmissible.

Poème familiale : madame

Vos Oh, vos Oui, madame, ensoleille mes nuits
Votre désir de moi m'enchante dans un cri
Votre charme s'amuse de la muse que vous êtes
Habitant mon esprit puis mon corps et mon être
Je vous laisse madame très longtemps divaguer
Au parfum qui encense votre peau toute dorée
À la couleur d'or ou Baudelaire m'envierait !
À votre cou ou j'aime me surprendre à rêver…
Où je m'y attacherai pour venir y poser
Un baiser chaud de braise que vous m'aurez donné
Je vous donnerai soleil le fruit de mes pensées
Pour que vos nuits restent à jamais illuminées…
Poème familiale

Poème familiale  : Explique-moi Maman..

Pourquoi j'ai grandi sans toi. Explique-moi Maman pourquoi sans ton amour, j'ai pas réussi à grandir droit! Pourquoi tu nous a laissés? Pourquoi tu nous as abandonnés? Tu n'avais pas le droit de nous laisser seules comme ça.... tous nos amis, les enfants sont cruels tu sais... ils m'ont frappé. Ils m'ont dit que si t'étais partie c'est parce que tu nous aimais pas Léa et moi! Ils disent qu'on est des ratés que si t'es parti c'est qu'on a sûrement pas le droit d'être aimés...
Maman c'est dur de se construire quand on n'a pas connu de tendresse, ni de richesse. Je t'ai appelée, j'ai envoye des lettres, j'ai crié que je t'aimais... parce qie c'est simplement ce dont j'avais besoin pour me trouver! J'avais besoin que tu me prouves que tu m'aimais! Parce que mes larmes avaient le gout de ton absence, parce que cette absence etait devenu trop pesante et presente. Je ne trouve pas de sens à ma vie, Léa non plus d'ailleurs. On avait besoin de toi, pour nous apprendre, nous raconter, nous faire rêver, nous relever, nous apprendre le goût des erreurs mais aussi des victoires!
Non je ne sais pas sans toi c'est une vie qui s'est terminée sans jamais avoir vraiment commencée..

Attention ! Jeune fille…

Sous la voute étoilée de cette nuit d’été
Jeune fille éplorée tu te sens isolée,
Tu vois passer le temps sans comprendre vraiment
Pourquoi tes sentiments te blessent toujours autant.
Dans ton cœur, demoiselle elle brûle l’étincelle
De l’espoir éternel d’un amour passionnel,
Et tu rêves ta vie, de fuir bien loin d’ici
Tu pleures et puis tu ries tu étouffes tes envies.
Trop jeune pour aimer tu veux la liberté
Tu voudrais le crier, tu n’es pas écoutée,
Tu te mets en absence tout n’est plus que silence
A quinze ans l’impatience te laisse dans l’errance.
Tout ce qui vit en toi, tu le hais quelquefois
Et tout ce que tu vois c’est leur manque de foi ;
On te traite en enfant tu es grande pourtant
Ta révolte est tourment, elle gâche tous tes instants.
C’est vrai tu grandiras une femme tu deviendras
L’amour t’éclairera ta joie s’exprimera,
Sois prudente jeune fille cesses de battre des cils
Tu fais perdre le fil au garçon de la ville.

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