mercredi 15 février 2017

Poème pour dire tu me manque et je pense a toi

Poème pour dire Tu me manques la nuit, le jour et je pence a toi mon amour chaque heure, à chaque instant..
Toutes les nuits j'imagine le contact de tes lèvres , se sont des instants magiques , je ferme les yeux et je te vois , nos cœurs ne forment qu'un et nos désirs sont passionnels , je t'aime d'un amour réel bien loin du virtuel !

Quand tu me manques,

Quand tu me manques, je t'imagine,
Comme le plus bel arc-en- ciel,
Comme la morsure du soleil,
Qui vient sur ma peau et dessine.
photo Poème pour dire tu me manque et je pense a toiQuand tu me manques, je vois danser,
Des mains sur mon corps d'opaline,
Et sur mes lèvres purpurines,
S'imprimer les plus doux baisers.
Quand tu me manques, moi je dérive,
Comme une barque au fil de l'eau,
Et mon lit qui devient bateau,
M'emporte loin de cette rive.
Quand tu me manques, je suis chagrin,
A la recherche de tendresse,

Mon coeur est semblable à l'écrin,
Vidé de toute sa richesse.
Quand tu me manques...
C'est à chaque heure, à chaque instant,
Que je te cherche fébrilement,
Moi qui t'espère infiniment,
Tu me manques la nuit, le jour,
Toi aussi doux que le velours....
l' AMOUR

Si tu étais une île
Je serais la mer
Et de jolis vers
Ma poésie en exile
Si tu étais une ville
Je serais l'habitant
Au cœur charmant
Je serais l’être habile
Si tu étais le ciel
Je serais l'oiseau
Et le sourire beau
L'éclat d'existentiel
Si tu étais la fée de temps
Je serais ainsi un sentiment
Qui va naitre à chaque instant
Qui se renouvelle tout le temps
Si tu était la lumière
Je serais un rayon
Surement si brillant
Sur toute cette terre
Si tu étais une feuille
Ma poésie s'émerveille
En vers les nervures
Seront les plus sure
Pour te protéger
Et mieux t'aimer
Mais mais mais
Tu es une femme
Toujours la flamme
Qui laisse aimer
Exister sans insister
Car ça va persister
Un sentiment sincère
Avec la volonté entière
En vers le bonheur
Envers son joli cœur ...

Ce soir une petite pluie fine tombe en tourbillonnant ,
On sent un petit vent glacial ,
Il arrive et s'installe ,
Trônant en plein milieu ,
De ce magnifique lieu ,
Je suis cette imprenable forteresse ,
Qui pense à toi sans cesse ,
Elle n'appartient qu'à toi ,
Qui y siège en roi ,
En pensant à toi ,
J'en oublie le froid !

Un moment j'ai cru sentir ,
Ton souffle sur mon visage ,
Cela m'a fait plaisir ,
Te tenir dans mes bras et mon plus grand désir ,
Assise a rêvasser ,
Je rêve éveillée ,
Je regarde au loin la méditerranée ,
Elle me fait penser à toi ,
Ensorcelante et envoûtante à la fois !

On fermera les yeux ,
Tout deviendra merveilleux ,
Tu sentiras sur ta joue ,
Un bisou doux et délicieux ,
Qui courra sur ton cou ,
Et qui voyagera beaucoup ,
Toi et moi on le cherchera toute la nuit ,
Pour le trouver qu'au lever du jour !

Je cuisinerai pour toi le plus bon des desserts
Il est simple et modeste au douce saveur d'antan
De la farine des œufs pas au plats que l'on sert
Me voici à mélanger tout dans un récipient

Et j'allume le feux sous mon tablier blanc
Et au milieu ma poêle qui ne chauffe que pour toi
Immergée dans le plat d'une loupe je prends
Une dose suffisante un peu d'amour de moi
Plus rien a faire j'attends! Juste la cuissons parfaite
Le temps de caresser là manche de ton chemisier en crepe
Pour mettre en émois tous nos esprits en fête
Je te retourne et là !! Mais alors là !! c'est ma plus jolie crêpe !!!

Pour lui: je pence a toi

Quand l'hiver s'est déposé ,
Sur une rose un peu fané ,
Elle a vraiment cru que revenait ,
L'hiver de l'année passée ,
Le soir quand elle est couchée ,
Elle se rappelle leurs petits secrets ,
Que le soir ils partageaient ,
Ils se mettaient a comploter ,
Quand il lui disait des mots d'amours ,
Que les amants aiment entendre ,
Ses yeux brillaient d'un feu ardent ,
Et son cœur était ouvert à un grand sentiment !

Vous vous étiez avancée dans votre robe en organza
Où était-ce un chemisier…N'me souviens plus de ça
Ce qu'il me reste en mémoire la douceur de vos yeux
Dans cette lumière chaude du marron de vos cheveux
Et votre délicatesse ou d'un pas avancé
Je vous aie pris la main pour n'pas que vous tombiez
Sur un air de violon je vous ai fait danser
Pour moi un bel instant, qui me fit envoler…
Ce soir je vous regarde et je vous vois encore
Tourner dans mon esprit qui s'illumine d'or
Car vous êtes cette folie qui m'enivre et m'emporte
À vos pieds mon royaume qui vous ouvre ses portes

Laissons partir l’hiver, que revienne le printemps
Toute cette saison morte qui me glace sans sève
Par le froid qui persiste à pénétrer mon sang
A engloutir l’amour qui occupe mes rêves
Je veux revoir des fleurs colorées mon esprit
Des crocus, des lilas, des chrysanthèmes fleuris
Des roses rouges éphémères aux pétales sous la pluie
Qui s’étiolent au vent juste au cœur de ma vie …
Laissons passez le temps car lui seul décide
Des instants très précieux que l’on ne peut garder
Lui seul connait mon âme qui reste douce et placide
Même lorsque s’éprend le vide en mes pensées…

Dieux comme j'aurais aimé être cette lumière divine
Effleurant sa nuque lorsqu'elle se pose un instant
Pour penser à mon âme qui sans cesse la devine
Et espère son amour si profond, transparent ...
Quand cette lueur à elle vient traversant la pièce
Pour illuminer d'un trait sa belle chevelure
Sublime couleur, dans ma mémoire elle me laisse
Le soleil de son cœur qu'elle me donne en nature
Qu'elle répand de sa peau pour faire naître un sourire
Suspendu à mes lèvres qui souhaiteraient se glisser
Doucement sans un bruit ou sans même un soupire
Pour y venir déposer en secret un baiser...
Dans le creux de cette nuque sous ses reflets châtains
Des frissons lui redonne l'envie de voyager
En suivant les étoiles déversées par mes mains
Elle prendra connaissance de cette envie cachée...

Si le soleil illuminait tous mes mots pour vous les donnez
Je retrouverai là sans contexte mes beaux sourires qui vous confessent
Pour vous mon amour infini et puis mon coeur tout esseulé
De sentir en moi la chaleur de ces sentiments qui ne cessent
D'aller et venir dans la nuit quand sous mes draps je vous appelle
Dans mes rêves je touche mon envie et votre corps en délicatesse
Dans le noir en douceur je tombe ou là protégé sous votre aile
Je sens l'amour qui se profile du bout des doigts de vos caresses
Emmenez-moi donc je vous pris c'est une infamie d'être seul
Quand réveillé mon corps vous crie qu'avec vous je veux faire naufrage
Et tous deux fondre comme la neige blanche lumineuse comme un linceul
Ne plus sentir que le bonheur venir inondé nos visages...

Si l'on dansait encore jusqu'au lever du jour
Pour oublier la vie pour se dire que l'on s'aime
Et sentir la douceur venant de notre amour
Si l'on dansait encore sur nos rimes, nos poèmes d'amour...
Nous partirions ensemble sous le ciel étoilé
Et dans nos pas serrés l'un contre l'autre nous serions
Dans la nuit qui absorbe sous la lune voilée
Deux amants qui se donnent une constellation...

C'est la nuit tombée ,
Quand je vais me coucher ,
Et rejoindre les bras de Morphée ,
C'est à ce moment là ,
Que je te vois ,
Je me vois t'aimer ,
T'embrasser ,
Dans tes bras m'abandonner ,
Tu me regardes émerveillé ,
Et moi dans tes yeux je me noie ,
A cet instant je ne suis plus moi ,
Tes yeux reflètent tant de tendresse ,
Que pour toi je deviens une déesse ,
Toutes les nuits je t'attends dans mes rêves ,
Je n'ai aucune trêve ,
Je suis cette princesse ,
Qui attend le roi de son cœur ,
Qui lui apporte tant de bonheur !

Au vent qui m’étourdit, je lui dirais mon âme
Qui est triste d’amour par le manque d’une femme
Je lui chanterai ma vie et mes secrets qui pleurent
Au temps qui s’écoule à ne plus compter les heures
Je lui brosserai sans doute ce visage radieux
Qui inonde mes pensées du marron de ses yeux
Et lui chanterai sa voix claire et douce comme l’eau
Un air d’opéra qui vous emmène vers le haut
S’il m’étourdit encore je parlerai de son cœur
Qui bat très fort et qui m’éclaire par sa candeur
Lui dirait que je l’aime, que même si l’on est loin
Il y a nos poèmes, tous nos écris divins
Je traverserai le soir, je traverserai le jour
Pour une lueur d’espoir ou brille le mot amour
Lui donnerai au final tous ces mots qui me peinent
Et ce prénom de… Léa… qui flotte dans mes veines.

Quand il est parti ........
Quand il est parti ,
Avec lui il a emporté ,
La douceur de l'été ,
Et la fraîcheur des soirées ,
Quand il est parti ,
Sans le savoir ,
Il lui a tout pris ,
Le soleil le matin qui brillait ,
Pour elle aura perdu tout éclat ,
Les étoiles qu'elle aimé regarder ,
Maintenant ne la feront plus rêver ,
Les sourires les regards échangés ,
Ne lui on laissé que des regrets ,
Et ses yeux fatigués par tant de nuits ,
Ou elle cherche le sommeil sans le trouver ,
Reflète la douleur de son cœur ,
Qu'il n'entend pas mais qui pleure ,
Quand il est parti ,
Lui aussi il l'a pris !

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