Les plus beaux poème d'amour sur google
Ils vont toutes avec le fil du temps. A chaque saison, les photos romantiques ainsi que les poèmes d'amour sont toujours appropriés, vous possédez une plume magnifique, sans forcer, sensible et mature, tout simplement un moments de bonheur. C'est Avec ce joli bouquet pour lequel il nous faudrait encore attendre pour pouvoir le sentir, que nous vous envoyons tous nos plus beaux poèmes et mots riches de sentiments!poèmes partagés par l’amour sur google
le défi qui leur tenait à cœur… remplir dans vos cœur le plaisir de nous lire, un plaisir partagé par tous vos commentaires, tous vos j’aime, vos partages… vous nous avez étonné !Sans vous, ce blog n'exister pas !
La vie en a besoin de ces poème d'amour qui redonnent du bonheur et de l’espoir, de l’amour qui fredonne…continuons à vous faire rêver…
Poème d'amour
Quoi de plus exquis qu'un doux baiser envoûtant telle la plus belle ode offerte...Qu’échange les amoureux, et amants...Au désir suprême de vouloir se donner, la fièvre et un morceau d'eux même, jusqu'à faire jaillir la flamme d'un amour éternel... Pour les emmener aux prémices d'un unique plaisir... Tout en jubilant de ce désir, quand leurs bouches se collent comme un aimant...Comme pour sceller leur lien, et que rien ne pourrait les séparer, afin de ne former enfin plus qu'une âme...En savourant cette gourmandise, oubliant tout ce qui les entoure... Ou ils s'abreuvent de cette passion à en perdre la tête, la raison de ce bonheur si délicieux... Sublimer par un silence qui a lui seul créé une poésie...Je pense à toi, un peu, beaucoup, à la folie...
Que je me sens comme envolée jusqu'a toi
Et mon cœur, lui, dans la nuit te chante sa poésie
Loin de toi où je te rejoins dans tes rêves en émoi
En te récitant tous ces petits mots préparés
Rien que pour toi, mon amour, par la pensée
D'un baiser envoyé dès lorsque tes yeux se ferment
Entend-les te souhaiter une douce nuit, je t'aime....
Mon coeur tremble
Imminent
Le départ
Est donné
Mon âme semble
Egalement
Dans le noir
Attirée
D'être ensemble
Sous le vent
A nous voir
... Nous aimer
Même si tu n'es pas là
Je te sens sur ma peau
Aussi lointain de moi
J'ai pour amour tes mots
Qui s'y glissent en mon âme
M'apportent un peu de charme
A cette vie où seule je me sens
Loin de tes bras, mais tu ne le comprends...
Je reviens mon amour, comme le printemps arrive
La douceur des beaux jours, nous guette et nous suit
Je repense à nous, aux longues balades sur la rive
Déjà mon cœur s'agite à votre lettre que je lis...
Il ressent votre émoi et sous mon épiderme
Votre attente est une flamme qui flottent dans mes yeux
Au soleil qui me tarde de sentir sous le germe
La fleur des sentiments qui ne pousse que pour nous deux ...
Sur l'horizon de ton corps nu
Ou cette nuit je me suis rendu
Je sens encore toute ta rosée
Fraîche et puis chaude s'étaler
Je veux encore et puis encore
Découvrir ta peau, tes trésors
Dessus m'allonger et rêver
Et sentir tes plaisirs cachés
Sur toi, oui, y marcher sans cesse
Te refaire vivre toutes mes caresses
Sur ton sein ton ventre et tes lèvres
Jusqu'à sentir monter la fièvre
Pousser en toi sous mon ardeur
Ce désir de te donner ma fleur
Sous mon bouton là bien serré
Qui entoure viendrait, s'ouvrirait
En ton âme douce qui me réclame
Tout mon amour qui se pâme
Face à ta beauté qui enflamme
Mon cœur d'homme sur ton corps de femme
Oui je veux qu'on se délivre
Tous nos sentiments qui font vivre
Nos mots nos belles sensations
De nos pensées au diapason
De ces instants divins brûlant
Ou je m'égare jusqu'au sang
Je veux sous ta rosée mourir
D'amour et ne plus revenir...
Il est pour moi chaque battements
De mon coeur que je garde jalousement
Qu' à chaque sourire les plus beaux
Pour lui j'en créais par milliers des mots
Dès lors que la nuit s'abat sur mon imagination
Ou vers ses rêves s'envolent cette passion
Dans mes pensées, chaque trait de son visage
Me hante, devient mon plus doux paysage ...
On vous parait différent ? Pourtant bien sur que non
Juste parce qu’on est deux femmes et que l’on se ressent
Ou peut être même deux hommes qui par mépris devons
A tout pris faire comme vous, comme vous nous étions enfants
Et pourtant, nous avons des sentiments les mêmes,
Mêmes travails, mêmes visions, mêmes histoires à écrire
La seule chose qui diffère c’est qu’ensemble nous aimons
Vivre et faire vibrer nos âmes, écouter nos désirs
Nous sommes homos ou gays, qu’importes les mots donnés
Respectueux nous sommes, vos remarques… encaissées
La nature est sans doute étrange, c’est sa beauté
De n’être qu’une ADN, d’être qu’une identité…
Debout juste la devant ma fenêtre
Je guette impatiente ton retour,
Qui brisera le silence en mon être
Pour plonger dans tes bras avec amour
Où enfin je me nourrirai de tes envies
En te serrant contre moi, au petit matin
Sous la ferveur d'assouvir, à l'infini
Ton plaisir qui sera roi et enfin mien
Ravivant dans la prunelle de tes yeux
Une kyrielle d'étoile par la délectation
D'un baiser, juste posé là sous les cieux
De tes pensées, à en prendre possession
Et puis encore et encore au moins cent fois
Te donner mon cœur, mon âme tout entier
Par mes je t'aime, sussurer tout bas
A ton oreille ravis, et totalement transcendée...
J'ai beau étaler l'encre sur une feuille ou sur ta peau
Retourner tous mes vers, mes rimes et puis mes mots
Injecter une étoile dans l’alchimie de la passion
Je ne parviens pas à trouver le résulte de notre équation
On apprend à l'école que X égal 2 Y
Les maths! Pas évident ! J'en fais appel aux Grecs.
Pour rédiger notre équilibre ou nos atomes se mêlent
J'inscrirai la formule au ciel qui nous ensorcelle
Je dirai à mon meilleur ami qu’il m’envoie
Un peu de ses mélodies avec les notes de sa voix
Dans l’univers secret, Les Perles Du Paradis
Je le remercierai de nous avoir suivi...
D'un côté le verbe aimer, de l'autre la destiné
Si la puissance de notre amour est une racine carrée
Comment bien calculer l'onde de la résonnance
Qui donne à nos envies des poèmes d'amour en partance
Alors qu’on vient de découvrir de nouveaux univers
Les sentiments s’écrivent et à deux on peut faire...
J’en remets mon cœur au tien pour venir quitter la Terre
Fondre nos molécules d’amour, Léa... traverser l’éther…
Quels sont tous ses soleils que tu sèmes ?
Quelles sont toutes ces fleurs, que tu germes
Sur la courbe, de mes yeux, quand d'un revers
Tu déclames des je t'aime à n'en plus finir en vers
Et font que je m'y abandonnerai aux doux silence
De ta poésie qui à elle seule en abondance
Sait m'emmener dans tes bras voyager, sur la rime
Élégante susurrer de tes lèvres déposant l'ultime
Baiser au creux de mon cou, là où ruisselle
L'effluve d'un parfum te donnant des ailes
Quand en l'embrassant , tu graves ton inspiration
Sur la feuille noircie à l'encre de ta folle passion
Dès lors que mon esprit
S'évapore de mon corps
Mon âme tant affolée crie
Ton prénom Michaël qu'en sors
De ma bouche tout un poème d'amour
Que mes yeux sur une prose
Se perdent sur l'écho d'un je t'aime
Pour te l'offrir tel un bouquet de rose
Sous le battement de mes cils
Où la poussière étoilée à l'aurore
De mes pensées les plus fragiles
Pleines de toi, s'y noient et j'adore...
A vous Madame je viens pour vous tendre ma main
Pour que vous puissiez lire les lignes de mon destin
Qui convergent vers un cœur et pas d'autre chemin
Ce cœur est si précieux, il est mon parchemin
Que lisez-vous madame mise à part mon départ
Vers l'inconnu du monde ou l'on revient jamais
Voyez-vous cet amour noté dans le grimoire
Et mon sang qui s'écoule pour cette personne aimée
Oui ! Vous voyez Madame ? Que je me suis perdu
Pensez-vous vraiment cela… c’est un mal entendu
Poète rêveur je suis ? Moi ?… Mais m’avez-vous bien vu ?
Parlez moi de l’amour ou sinon je vous tue !
Comment? Que dites-vous ? Elle s'appelle Léa…
Est-ce donc cette personne pour qui je meurs d'amour ?
Pourquoi lâcher vous ma main? Vous me tendez vos bras
Ah !!! ouii !!! Cachée c’était bien toi !!! Je te reconnais là !!
Dès que je sens ta main sur mon cœur
L'amour renaît, chante en moi le bonheur
Et n'espére alors plus qu'un sourire de toi
En t'attendant qu'il me tienne chaud sans effroi
Que cela enveloppe toutes mes longues nuits
Lorsque je t'invite dans mon rêve infini
Où enfin j'aspire dans le noir sous l'ombre
Ton regard, chaque caresse en nombre
Ou librement au parfum de mon corps
Au tien tu parcours sans cesse sous l'essor
Dun plaisir le chemin de mes pensées
Peines de tes doigts, par tes mots enchantés
Traçant l'amour, et tes envies les plus folles
Sur ma peau, endormie, qui loin de toi s'affole
Et appelle à ta fougue, à ton unique tendresse
Pour absorber, sa sève et rester en ivresse...
Tandis que tournait devant lui
Ce manège au son enchanté
Dans sa tête défilait sa vie
Figé devant toutes ces années
Alors, au couleur du manège
Qui devenait blanc en vision
Comme sa première boule de neige
Son soleil son premier rayon
Il regardait tourner la joie
Qui s'écrivait sur les sourires
Des joues des enfants venuent là
Pour trouver ici du plaisir
Il y avait ces chevaux de bois
Qui lentement venaient s'élever
Les voyaient s'enfuir à chaque fois
Quand de ses yeux il les touchait
Il vit un couple d'amoureux
Qui se faisait photographier
En mémoire d'un beau jour heureux
Ou l'on entendrait le clocher
Toujours devant lui l'attraction
Tourner à le faire divaguer
Ses pensées perdues ou disons
Qu'il revoyait sa bien aimée
Son histoire, son premier baiser
Donné au premier rendez vous
Devant ce manège qui jouait
Une musique de Piaf qui rend fou
Puis là, la structure arrêtée
Tout le monde descendit enfin
Le vieil homme d'un sourire évasé
Repris doucement son chemin...
Dans une caresse inattendue
Denoues mes sens dans l'attendu
Instant béni ou enfin s'adonnerait
Mon corps, sous tes lèvres mouillées
Humides pleine d'envies, d'explorer
De ta langue les monts et subtiles valėes
Sous la langueur d'une caresse
Sur ma peau, restant en ivresse
A côtoyer le summum d'un plaisir
Quand tes mains à me retenir
Me feront ainsi prisonnière
Pour assouvir, toutes tes prières
Et aller à la rencontre de l'intime
Perle secrète où se trouve l'ultime
Trésor fragile pour l' apprivoiser
Sous ta bouche par un délicat baiser...
Sur mes genoux venez, je viendrais caresser
Les courbes de votre corps, cette partie qui m'éveille
Si vous n'êtes pas gentille je saurais vous donner
L'effleurement de ma main pour vous, mille merveille
Je veux entendre vos rires à ce jeux, un délice
Votre envie de me dire... Ce n'est pas un supplice
Vous paraissez coquine alors restez ici
Vous me donnez sans fin un fantasme infini
Comme je vous sens bien sage alors aucune crainte
Je n'me permettrai pas de vous jouer une feinte
Comme vous me connaissez, vous offrir je viendrai
Dans votre cou de mes lèvres, vous donnai un baiser...
Puis je venir déposer un baiser sur vos reins ?
Pour sentir frisonner la courbe de vos fesses
Et mes lèvres se mouiller sur ce repas divin
Qui est fait de plaisir, d'amour et de tendresse...
_Oh oui, venez en faire votre entrain
J'aime sentir votre baiser gourmand
Se glisser juste là le long de mes reins
Et me laisser un sursaut de sentiment...
_Alors permettez-moi de survoler le haut
Et ainsi de poser ma bouche qui s'enflamme
A l'envie de percuter les pores de votre peau
Pour attendre le plaisir ressenti d'une femme...
_Entrez donc dans l'espace de ma sphère
Là ou règne la voix lactée de mon désir
Je vous ferais ainsi quitter la terre
Et vous montrerai l'attente d'un plaisir.
_Voici venir l’instant du délice ou j’aspire
Ou j’explore l’anneau qui se glisse sous mes doigts.
Dans cet espace ou ruisselle l’eau qui inspire
En douceur, procure la jouissance que je vous dois...
_Je vous offre en retour ces oh ces oui
C’est humm qui au fond vous rendent fou
Qu'afin je vous donne mon infini
Sous l’imagination de votre amour
_Et je n’oserai dire lequel de nous deux
Alimente ce jeu qui nous emporte déjà
Loin des rêves érotiques jusqu’à toucher le feu
Où se consume l’amour et balancent nos bras…
_Ce jeu sensoriel, où gravite l'extase
Réinvente en nous, la sensualité.
Un voyage en transe ou restent en phases
Envies et fantasmes des plus pimentés
Oh mon amour...Déshabillez-moi
Mais surtout pas n'importe comment
Venez derrière moi et ma robe glissez la
Avec toute votre délicatesse, lentement
Sur mes épaules et furtivement
Ouvrez-là pour découvrir la cambrure
De mon dos qui vous fera serment
D'une folie, sous vos doigts sans rature
Vous aurez en offrande la douceur de ces mots
Et susurrer l'amour juste du bout de vos lèvres
Quand vous longerez sa chute, ou ma peau
Par vos baisers fous, elle, restera en fièvre...
Ne me condamnez pas parceque j'aurais omis
Une heure ou un moment de ne pas venir vous dire
Un je t'aime, une larme, sur un poème d'amour écrit..
Pas pour autant j'oublie votre très beau sourire...
Qui vient me mettre en joie jusque dans mon regard
Jusqu'au bout de mes rides, le souffle de vos caresses
Qui m'emporte chaque nuit ou mon soleil est noir
À vous crier l'amour et vous dire ma détresse
Mon absence est comme moi, une personne un peu ailleurs
Cette esprit qui me hante, moi, je n'en suis pas mettre
Et parcourant ma tête, espérant le bonheur
Mes pensées détachées de mon âme, de mon être
Je vous donne mon cœur ne le rejeter pas
Même lorsqu'il est au plus triste je ne pense qu'à vous
Dans l'espace de mes mots... je viens vous tendre mes bras
Pour répandre dans votre ciel mes rêves les plus fous
Derrière toi...
je caresse tes jambes et remonte sur tes fesses puis effleure ta culotte...
Je voudrais la hoter après t'avoir donné une jolie caresse, je la ferais glisser et puis la ferais voler.
Je m'approcherai de toi mon ventre sur tes fesses..Nu juste derrière toi je sentirerai renaitre... Un désir m'envahir avec toute ta tendresse, te sentirai frémir à ne plus te connaitre...
Mes mains là sur tes hanches, tu remonteras distraite...Et nos corps l'un dans l'autre se compléteront ainsi.
D'un regard languissant tu te feras secrète...D'un mouvement inlassable je te donnerai les cris la musique de ton corps tes ha tes ho tes ouiiiii, empliront toute la pièce... en m'en faire étourdi...et nous serons deux amants à surprendre la vie ... à ressentir l'amour qui traverse la nuit...
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