mardi 22 novembre 2016

les plus beau poeme de la vie

Comment trouver l'inspiration pour écrire poème de la vie ? Ici, vous trouverez des modèles poème de la vie les plus beaux et tendre, poème sur la vie triste et autre..

Bonsoir à tous,
L'épisode "A la dérive" touche à sa fin. Un recueil plus court que le précédent mais j'ai envie d'un cahier neuf, de mots neufs... Le texte qui suit s'impose comme un mot fin même s'il est bien marqué de la dérive d'un chagrin d'amour qui s'éternise.
Alors tournons la page! Si tant est que je puisse orienter ma plume vers de plus douces contrées, si possible sans haine ni violence... Il fallait ça pour finir, un texte peut être un peu méchant... De quoi faire le vide.
Et ne vous méprenez pas, j'enchaîne dans la foulée! Avec un titre aussi simple que "l'écho du cœur"
J'ignore ce que l'écho fera résonner mais je ne saurais pour autant le faire taire. Merci à tous de faire vivre les maux dits vain, en passant, en lisant, en aimant, commentant ou partageant! Merci infiniment.

Oui nos cœurs étaient bleus, et l'amour dans nos yeux

On croyait à la vie, et en ses jours heureux,

Il suffisait d'un seul regard... mais soudain c'est trop tard.
On ne s'est pas tout dit, on ne s'est pas assez souri,
Sais-tu combien aujourd'hui, je me meurs de l'ennui
Qu'un jour tu as laissé, parce que trop tôt parti.
Tu aurais dû ce jour, avec toi m'emmener,
Ta tombe aurait été la mienne, et l'un contre l'autre blottis,
Sous cette dalle où tu sommeilles, on serait tous deux réunis.
Cette journée était si belle, nos projets étaient infinis,
On avait toute une jeunesse, à s'offrir comme ciel de lit,
De tes grands yeux je me rappelle, pourquoi ont-ils rejoint la nuit ?
Qu'en est-il donc de nos promesses, de nos désirs, de nos envies
Oui c'est à toi que je m'adresse, mon tendre amour, mon endormi,
Je te croyais ma forteresse, pourtant quelqu'un l'a démolie.
Vingt ans, des idées plein la tête, deux cœurs qui battent à l'unisson,
On rêve de faire la fête et de s'aimer sans concession,
Sans penser que la vie s'arrête et nous oblige à l'abandon.
Tu sais, on ne s'est pas tout dit, je n'ai pas eu le temps,
D'être au cœur de tes nuits, que tu sois mon amant,
On a fait des projets, mais la mort les a pris, dans un long crissement.
On m'a tout raconté, de l'envol de ton âme,
Dans les tôles froissées de ta voiture en flamme,
Moi je n'y étais point, je n'ai rien vu du drame,
Mais au fond de mon cœur, brûle un brasier infâme.
Et encore aujourd'hui, flotte ton souvenir,
Ta photo est jaunie, tu n'auras pas de rides
Les miennes c'est ta mort qui les a faites venir.
Je voulais oublier mais ce soir la musique
T'a rappelé à moi, ravivant ma douleur
J'ai revécu alors, ces instants maléfiques
Tu es là près de moi et mes yeux sont en pleurs.

poeme la vie est un combat

La vie... 
La vie est un long couloir,
Facile d'y broyer du noir,
Quand tu écris ton histoire,
Lui, il l'a rêve sans y croire,
Moi je la vis dans l'espoir
D'en nourrir ma mémoire..
les plus beau poeme sur la vie

poeme la vie continue


Je danse la vie
je savoure l'Instant..
pour faire durer tous ses moments
j'éfleure de mes doigts mes reves..
à fleur de peau
comme un oiseaux ,je vole
je respire l'air du temp
la vague au vent.
mon âme tranquille
j'exprime mes envies
je m'ouvre a la vie
un crie de folie
je ris aux éclats ,
souris même si j'ai mal.
j'écris,dessine mes réves
brièvement.
au plus profond de mon coeur
Sommeil en moi tous mes secrets que je garde
graver a jamais.

poeme triste


Souffle coupé
Je cherche nirvana, l’état de transe unique,
Mais j’ignore où je suis, oui je me suis perdu
Souvent dans des états d’intérieure panique,
Souffle coupé les cris ne sortent même plus.
C’est le choc d’exister, de ressentir des choses
Sans savoir apaiser le feu des ecchymoses.
Transcender tout mon être n’est pas mince affaire
Car mes nerfs sont des traîtres et n’en ont rien à faire.
Pourtant ce n’est qu’un souffle, apprendre à faire un vide,
Même assis je m’essouffle de tensions stupides.
Respiration profonde et néant dans le crâne…
Mais ce néant s’inonde, où ferme-t-on les vannes ?
Je n’ai point de sagesse si déterminée,
Une pensée m’oppresse et puis c’est terminé.
Saccadées sont mes heures offertes à la détente,
De bouts de maux, de heurts et de rêves en attente.

poeme la vie est belle


Fut un temps
Où tout était noir
Où tout espoir
Était Mort
Puis vint ce carnet
Ce cahier noir
Dans lequel j'y décrivais
Mes peurs
Mes angoisses
Mes peines
Et mes douleurs
Carnet de mort
Où la Faucheuse
Y trouvait toute sa place
Livre noir
Dans mon Coeur amer
Où seule régnait la Mort
Livre noir
Enfermant mon Ame meurtri
Par tant désespoir
Ce livre maudit
Restera clos
Pour en écrire un autre
Mais en couleur...

poeme la vie est dure


A la recherche de soi...
Je ne cherche pas l'approbation. Je ne désire pas l'admiration. Je ne veux que la reconnaissance, non pas celle que l'on nomme célébrité, mais bien la reconnaissance de ce que je suis.
Ne m'encensez pas, ne me flattez pas, je n'en ai nul besoin, ne m'imitez pas VOUS n'en avez nul besoin. aimez moi ou ne m'aimez pas, critiquez moi si c'est avec bonne foi. La seule chose qui vaille c'est être soi-même mais l'être au mieux de ses possibilités, chercher sans cesse à s'améliorer, et toujours rester humble devant l'autre.
Nous sommes tous unis dans notre humanité et tous différents fort heureusement. La sincérité restant pour moi le meilleur des langages, je vous le dis tout net, je suis ce que je suis, et ne chercherais jamais à être autre chose, mais je vise chaque jour à être mieux qu'hier.

poeme la vie est injuste: Pas d’excuse

Tu sais c’que tu m’as fait, qu’aurais-je à ajouter ?
Juste ce dernier jet d’encre en mépris chargée.
Tu as semé la mort au pays de l’amour,
Bien inconsciente alors comme au tout premier jour.
Sans savoir au final ce qu’impliquaient tes choix
Tu m’as fait tout le mal que j’écris, que tu vois.
Du début à la fin de ces années de doute
Dans ta tête en parpaing et dans ton cœur en croûte,
J’ai mesuré mes choix et t’ai offert ma vie
Mais toi tu as fait quoi ? Pas vraiment réfléchi…
T’es venue me changer, et ma vie à redire,
A me faire passer pour un con, c’est peu dire !
Puis tu m’as fait chanter, danser, sauter, courir
Après rêve brisé pour aussi me détruire.
Hypocrite, égoïste, je persiste et signe !
Infantile et, j’insiste, vénale et peu digne.
Je suis dur et méprise un peu trop ta personne.
C’est que je réalise combien tu es conne.
L’amour s’en est allé et j’ai les yeux ouverts,
Je me vois déballer enfin ce sac de nerfs.
Tu n’as pas plus d’excuse que j’en ai ce soir
Parce que je t’accuse encore sans savoir…
Si y a que toi qui sais j’vais pas fermer ma gueule
Pour autant de regrets et de nuits bien trop seul.
C’est ici mon chez moi et j’invite qui veut
A lire que c’est toi qui me sors par les yeux.
Je criais sur les toits que j’étais amoureux,
Si aveugle autrefois, j’y vois de mieux en mieux.

poeme la vie de mere theresa: La vie va te secouer

Tu veux sortir de l’eau, ne jamais te noyer,
Tu veux sortir du lot sans te faire broyer.
Accroche-toi ami, la vie va te secouer,
Même un homme averti n’en vaut que la moitié.
Y a comme un bout de toi qui a peur de la chute
Mais tout le reste y croit et continue la lutte.
La sueur perle à ton front, les coups de chaud stimulent
L’urgence de l’action sans fixer les pendules.
Tu veux pousser les murs qui sur toi se resserrent,
Tu veux passer pour sûr les plus froids des hivers
Pour à chaque printemps en être un peu plus fier
De montrer à ces gens tout ce que l’on peut faire.
Tu as la volonté, que te faut-il de plus ?
Un sourire affiché, pas ce petit rictus.
C’est un état d’esprit, la leçon de sagesse,
De danser sous la pluie à tenir ses promesses.

les plus beau poeme de la vie


Tout foutre en l’air
Je n’ai pas foi dans le système,
La société comme on la sait…
L’anarchie c’est tout ce que j’aime,
La vie avec un goût de vrai.
Je ne crois pas les mascarades
Et je crois être assez nombreux,
Je suis la pensée qui s’évade
Hors de contrôle et pas hors-jeu.
Ils savent maîtriser nos corps
Toujours en nous prenant la tête
Pour y fourrer leur soif de l’or,
Nous rendre de plus en plus bêtes.
Moi j’dis qu’on n’est pas si con qu’ça !
Que la tension est très palpable,
Le dialogue n’existe pas
Entre la foule et les coupables.
Je dis que j’ai des yeux pour voir
Qu’on est traité comme des pions,
Que l’agresseur est au pouvoir
Imposant sa domination.
La police en amure et la foule en baskets,
Ça cogne un peu trop dur pour avoir l’air honnête.
Des gangsters au pouvoir et des tarés qui tapent,
De gros cons qui attendent au fond que ça dérape.
Le voilà le système et il me fou la gerbe,
Ce n’est plus un poème mais un joint sans herbe.
C’est l’insipide goût d’un monde de mensonge
Décidé par des fous pour que proverbes sur la vie nous ronge.
Colère que la masse écoute quelques chefs
Comme on dit à la masse et les combats sont brefs.
L’issue est incertaine mais je serais fier
Si on s’donnait la peine de tout foutre en l’air.

Tant qu’ils deviennent

Chaque jour en enfance, à travers eux je vis,
Jeunes pousses en croissance ont si vite grandi.
Les années qui s’empilent ont donné l’expérience,
Des gamins qui défilent, enfance, adolescence.
J’en ai vu devenir, avec le temps, adultes,
Le meilleur et le pire est ce qui en résulte.
Des périodes charnières en dégondent certains,
Trop ou pas assez fiers, se trompant de chemin.
Puis tant d’autres deviennent, au vent de mille rêves,
De sacrés phénomènes qui toujours s’élèvent
Plus haut qu’on ne le fait, si j’ai pu les porter
Quelquefois au sommet de la curiosité…
A susciter passion et envie d’être un jour
En plein cœur de l’action qui se déroule autour,
Qu’ils se trouvent une voie car la leur est la mienne,
Et qu’ils fassent des choix, toujours tant qu’ils deviennent.

Châteaux de cartes

Suffit d’un rien pour qu’tout s’effondre,
Pour ça vaut mieux profiter d’tout…
Si un matin tu te fais tondre
Faudra juste accuser le coup.
On croit, naïf, construire en dur
De grands châteaux aux larges murs,
Mais nos châteaux sont faits de cartes,
De rêves usés, de pâte à tarte…
Y a rien qui tienne assez longtemps
Pour faire doute raisonnable,
Souvent le moindre coup de vent
Détruit jusqu’aux châteaux de sable.
L’obsolescence elle est partout,
Jusque dans les rapports humains.
Tout s’use vite et me rend fou
Puisqu’on défait les mauvais liens.

Tu rimes en vain

T’arrives à rien, t’es fatigué,
Les anges noirs violent tes muses.
Tu rimes en vain, c’est terminé,
Tu vas devoir vider l’écluse.
Ça déborde et ne veut rien dire,
Ça s’accorde à laisser pourrir
Un tas de mondes imaginaires
Doucement désertés de tous
Et ces rêves à jamais déserts
Lancent cauchemars à tes trousses.
T’arrives à rien, t’es énervé,
Rien ne t’inspire, que le vide…
T’as beau crier, criser, creuser,
L’eau se fait rare en terres arides.
Ça s’assèche et tout devient dur,
Plus rien ne sort sous la torture.
La douleur est une habitude,
Elle n’a plus le même effet
Mais reste, avec la solitude,
Un malheur auquel on se fait.
Et comment mettre mots dessus
Quand pas un n’a su le décrire ?
Tu sors cherchant muses perdues,
Tu vis pour avoir à écrire.
Au bout de soi tout devient clair,
Agir reste le mieux à faire.
Minimisant cet effet lent
De ces moments dans le coton,
Lui qui absorbe tout ton sang,
T’as bien besoin d’un peu d’action.

L’effet secondaire

Contre l’immobilisme je bouge un orteil,
C’est du positivisme sortant du sommeil.
Après l’observation, un temps peu mesuré,
C’est le temps de l’action qui semble s’imposer.
Je n’ai pas dit mon dernier mot
Ni donné le meilleur
De ce que j’ai dessous la peau
Et au fond de mon cœur.
Mais j’ai bougé le petit doigt,
Ce qui entraine tout mon corps
Porté par volonté je crois
De faire de plus gros efforts.
Un choc a dû me réveiller,
Que voulez-vous c’est c’qui nous fait…
Certaines choses font changer
Et j’en mesure les effets.

Doute est tenace

J’ai peut-être tout faut, je sais pas, je sais plus…
Doute est tenace et revient vite.
Si je m’en soucie trop je suis toujours perdu,
Tant que possible je l’évite.
Il est là pour me ralentir,
Pour m’empêcher d’aller où j’veux.
Il a toujours un truc à dire,
Le doute me sort par les yeux !
Je l’ignore, il me saoule à trop parler pour rien.
Il a tort, j’ai les boules… Mais ferme-la putain !
Certitude en rappel descend à mon secours,
Me ramène avec elle et doute court toujours.

Normalement fous

Je porte ras le bol l’obsession de la norme
Car cette norme est folle et son poids est énorme.
Je porte l’impression à côté de la plaque,
Dégoût de l’oppression et des paires de claques.
Je nourris ma révolte contre l’étiquette
Ou le chemin tracé avant le moindre choix.
Je vomis les récoltes de ces champs de dettes,
Ce que l’homme a semé pour se mettre aux abois.
Je sature en substance de tous ces modèles,
Exemples à ne pas suivre, carcans sans espoir.
Pour notre indépendance à tirer nos ficelles,
Que chacun se délivre de ce qu’il peut croire.

C’est faire avec soi-même

Prends ta vie, fais-en tout avant que rien ne reste.
Va pas perdre un temps fou sur ce que tu détestes.
N’attends jamais de l’autre qu’il fasse à ta place,
S’il attend qu’tu te vautres il t’aidera sans classe.
C’est à nous seuls que nous devons nos réactions,
Bien qu’on nous pousse à réagir…
Le résultat restera ce que nous faisons
Pour le meilleur et pour le pire.
C’est l’effet d’être humain, de faire avec soi-même,
Actes plus ou moins sains face aux forces suprêmes.
C’est l’effet effrayant d’son propre jugement,
C’est l’effort effarant d’effacer l’affligeant.
Fais confiance aux plus vrais, toujours à toi d’abord,
Tu sais ce que tu sais et ça te sert encore.
Deviens au temps qui file un être à la hauteur,
Apprends à être utile à ton propre bonheur.

Envolée du bocal

J’aime faire voyager mes poèmes
A défaut de voyager moi-même.
Ils vont se faire lire à l’autre bout du monde
Et peut-être séduire des âmes vagabondes.
Je défie tous mes codes et ceux de qui en a…
Branchez les électrodes, j’ai bien besoin de ça,
Ecrire à la va vite sur un coin de table
Que la vie va trop vite et c’est insupportable.
J’donne des ailes aux poèmes car mon cops dérive
Dans un bocal indemne qui de tout me prive.
Et si la vie est brève longue est notre histoire,
Si libre dans mes rêves, je m’envole ce soir.

Le petit aveugle parla avec l'oiseau ...

"Dans un jardin d'automne
habillé de tristesse
Un enfant se promène
Guidé par un oiseau
" Oh! Dis-moi
Que verrais-je si j'avais
De vrai yeux ?
- Tu verrais, dit l'oiseau
Déguisant le décor
Très consciencieusement
Avec de beaux mensonges,
Un énorme jet d'eau
Entouré d'arc-en-ciel,
Un gazon velouté
Un ciel immaculé
Des fleurs multicolores
Des fruits sur tous les arbres
Des statues toutes blanches
Des allées bien tracées
D'autres oiseaux que moi
Et tous en liberté
Tu verrais le soleil
Et encore la beauté
Et puis la joie de vivre
Et beaucoup d'autres choses
Que je ne sais décrire...
Tu verrais toi et moi
Tu te verrais surtout
Salué comme un prince
Par l'été et sa suite
Au fond d'un paradis..."
Dans un jardin d'automne
Habillé de tristesse,
Un enfant est aux anges
Pendant qu'un oiseau pleure."

Très doux poème de la vie et tendre

Cette maison dont je rêvais, avec son petit escalier
Des fleurs qui tombent en cascade, sous un ciel pur où l'on s'évade
Cachée à l'abri des regards, et qui s'éclaire quand il est tard,
Cette maison de nos amours, hélas n'a jamais vu le jour.

les plus beau poeme de la vie
J'ai dessiné la balancelle, là où joueraient de beaux enfants
Les filles en robe de dentelle, et les garçons princes charmants
Entendu leurs éclats de rire, parfois aussi des sanglots lourds
Souriant à leur joie de vivre, et avec toi à nos amours.

J'y ai fait naître le printemps quand arrivaient les hirondelles,
Que les oiseaux venant autour, nous fredonnaient leur ritournelle,
J'y ai fait entrer le soleil, le vent jouer dans les rideaux,
De notre chambre douce merveille, dont le décor était si beau.

J'ai promené dans le jardin, mon ventre rond parmi les roses,
Dans la lavande et le jasmin, bouquets qui inspiraient ma prose
Et j'expliquais au petit être, qui bougeait tout au fond de moi
Que très bientôt, demain peut-être, il les cueillerait avec moi.

J'ai vu s'effeuiller le grand chêne qui nous baptisait de ses glands
Quand l'automne faisait des siennes, jouant tout comme un cerf-volant
Enveloppée dans des hivers qui nous couvraient de poudre blanche,
J'ai refermé les contrevents, et dit adieu aux beaux dimanches,
J'ai dû me faire une raison, je l'ai rêvée cette maison,
Mais elle n'a jamais vu le jour, tout comme toi mon bel amour.

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