Ivresse d'amour

Belle ivresse d amour a deux quel rêve! c'est ça le vrai bonheur, un merveilleux poème sur l'amour de deux personnes . Amour sans lequel nous ne pouvons vivre heureux !

1) C'est quoi l'ivresse d'amour

Une peau..une caresse..un je t’aime..glissant..sur leurs corps..en détresse..une envie..les effleurant..sans cesse..un désir..les unissant..chaque jour..un doux voyage..les enflammant..constamment..de l’amour..les transperçant..encore et encore..une ivresse..les bouleversant...chaque instant..juste deux âmes..s'aimant à merveille.

2)poèmes sur l'Ivresse d'amour

Je te cris je t'aime à travers le vent ,
Par tout les temps ,
Passionnément ,
Ecoute mon hurlement ,
Plus fort qu'un ouragan ,
Il vient de mon coeur qui est brûlant ,
Palpitant ,
A l'intérieur de moi c'est une révolution maintenant ,
Toi seul en est l'instigateur depuis longtemps ,
Je te cris je t'aime encore et encore en espérant ,
Que tu entendes ce cris du coeur dans la douceur de L'Automne !
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Je suis du pays des cigales ,
A écouter c'est un régal ,
A perte de vue des oliviers ,
J'adore les regarder ,
Je t'imagine avec moi me donnant la main ,
On se promène sur le chemin ,
Qui mène à ce beau jardin près de chez moi ,
Le soleil est encore chaud ,
Il caresse notre peau ,
On est bien ,
On a besoin de rien ,
Je regarde tes yeux et le monde me semble merveilleux ,
Mon coeur bat très fort ,
Tu y a mis le feu ,
Un baiser de toi et je me retrouve au 7eme cieux !
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Un ciel bleu comme la mer méditerranée ,
Un soleil chaud comme en plein été ,
Du sable fin à perte de vue ,
Je suis seule un peu perdu ,
Assise au bord de l'eau je me mets a rêvasser ,
Je te vois au loin arriver ,
Comme un mirage que l'on aperçois en plein désert ,
Quand il fait chaud et que l'on a besoin d'eau ,
J'ai peur d'ouvrir les yeux car ton image s'évaporer ,
Emporté par le vent se dispersant ,
Comme ces grains de sable glissant entre mes doigts ,
En les regardant je pense à toi ,
Le soleil va se coucher ,
Doucement je vais rentrer et ce soir je t'attendrai ,
Car chaque nuit tu es à mes côtés ,
Jamais tu ne quitte mes pensées ,
comme un bateau dans un port ,
Dans mon coeur tu es ancré et sur la poupe ton nom est gravé !
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Je suis comme une fleur qui s'ouvre au premier rayon du soleil ,
Éclatante , étincelante ,
Quand je te vois et que j'entends ta voix ,
La fleur a besoin d'eau pour s'épanouir ,
Et moi j'ai besoin que tu m'arroses de ton amour ,
Pour resplendir ,
Un mot de toi et pour la journée ,
Sur mon visage un sourire sera gravé ,
La fleur avec du soleil et de l'eau ,
Et en y prenant soin ,
Sera la plus belle sur le chemin ,
Je suis comme cette fleur ,
J'ai besoin de ta chaleur ,
Que tu m'arroses de bonheur ,
Tu seras mon seul cultivateur ,
Et je me ferai belle rien que pour toi !

3)poésie de l'Ivresse d'amour

Dans mon jardin où tout se fane,
Y reste encore une jolie rose
Pour écrire même mon coeur en panne
Le souffle coupé d'une prose
Pour te dire qu'ici la chaleur
Même en automne est bien présente
Et que sans toi vivant ailleurs
Cette rose fleurit dans cette attente
Je la cultive de mon ardeur
De mon doux secret de poète
De l'eau, de mon sang, du bonheur
La voilà qui fleurit ma tête
Et les mots sortent de ses pétales
Elle est rouge comme notre passion
Comme un vitrail de cathédrale
Au soleil colore nos visions
Alors me voici à t'écrire
Tous mes mots au fond de mes yeux
À fleur de peau, juste pour te dire
Que notre amour est merveilleux
Et cette rose rouge dans mon jardin
C’est ton sourire où je me noie
Elle me redonne de son parfum
Cette fougueuse envie d’être à toi
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La pierre avait roulé le long de ma colline
Sans arrêt dévalait de longs coteaux en pente
Traversant mes déserts ainsi que mes forets
S’échouant par moment dans les herbes clairvoyantes
Polie, elle n’était point mais tout ce qu’elle ressentait
En roulant sur les chemins sans envoyer de cris
Elle avait vécue plus d’une quarantaine d’année
Ce caillou résonnant qui avait bien grossi
Même la lumière du jour reflétant toute sa robe
N’aurait jamais pensé qu’elle aurait pu prétendre
Poétiser la vie telle une poussière du globe
Rejoindrait l’infini espèrent se suspendre
Puis survint un roulement comme celui d’un tambour
D’une douceur sans escompte qu’on en oublie le temps
Qu’on découvre qu’on existe parce qu’on ressent l’amour
Comme quand mon cœur de pierre senti un tremblement
Cette chute liturgique qui finit dans tes cieux
Sur ton corps, sur ta peau, ma pierre, elle, se forma
Libérant mon royaume de mots juste sous tes yeux
S’injectant dans tes textes qui sans cesse me foudroient.