Art de poésie d'amour persan à la quête du divin ,des poèmes d'amour lumineux , vibrants d'amour !..
L'amour à l'encre violette
Sur un bout de page
De mon cahier d’écolier
Avec quelques lettres
J'ai écrit des mots d'amour
Pour faire un vers
Comme les poètes de poésie romantique.
Et j'ai essayé d'en faire un autre
Sans oublier la rime
Puis deux,puis trois, puis quatre
En appuyant sur ma plume
Et en tirant la langue
Respectant points et déliés.
Fallait-il que je t'aime
Avec ton beau visage
Noyé dans tes cheveux blonds
Ton sourire éclatant
Pour braver ainsi la vigilance émoussée du mètre
Par les anoncements soporifiques,
De mes camarades, mes rivaux peut être
Déchiffrant je ne sais quel texte de lecture.
Quand enfin j'eus terminé mon chef d'oeuvre
Rempli de poème d'amour
Que j'eus éponge l'encre violette avec mon buvard,
Je pliai mon bout de feuille en quatre,
Le roulai en boule
Et d'une main ferme le lançai sur ta table.
Je te vis le saisir
Le glisser sous ton livre..
Lire
Mon cœur battait la chamade...
Pourvu que le maître..
Non il regardait de l'autre côté .
Tu te retournas et tu me souris
C'était il y a bien longtemps,
Nous devions avoir neuf ans..
Et notre amour dure toujours.
L'autre jour pendant que tu dormais
J'ai par hasard ouvert le tiroir de ta commode
Et j'ai vu un bout de papier écrit à l'encre violette
Enroulé dans un petit ruban bleu pâle .
C’était ma poésie d'amour.
Alors bêtement j'ai laissé couler une larme
Sur ma joue ridée,
Puis j'ai refermé le tiroir
Le cœur rempli d'amour pour l'éternité .
Puisque tu pars, je t'attendrai
Si tu lâches mon amitié
Pour des raisons que je ne sais,
Je garde ma sincérité.
J'ai espéré en ton amour,
Il m'arrive d'y croire encore
Mais j'ai compris que tu trichais
Alors je me suis effacée.
De nos balades en forêt
A ce jardin que l'on aimait
Ces fleurs que tu affectionnais
Dans mon esprit tu es gravé.
Pour ces nuitées les soirs de lune
Quand elle n'éclairait que nous
Que l'on n'avait que pour fortune
Cet amour dont on était fous.
Tu as laissé comme un parfum,
Et aujourd'hui je m'en imprègne,
Je sais que je t'espère en vain,
Je n'y peux rien si mon coeur saigne.
Je ne sais pas donner le moindre
A toi vois-tu j'ai tout offert
Et si je pouvais te rejoindre
Je referais notre univers.
On me dit qu'il faut oublier
Qu'avec le temps fuira ma peine
Mais c'est si triste de penser
Que je reste dans la déveine.
L'automne peu à peu s'installe
En moi aussi pour très longtemps
Ma vie n'est plus qu'un long dédale
Et je m'y perds bien tristement.
Viens mon ange
Pose ta tête sur mon épaule
Tu verras, la vie est plus drôle
Quand on rêve à deux.
Nous serons deux mésanges
Qui picorent le ciel et les nuages,
Nous écrirons le ciel bleu
Du bout de nos ailes
La vie , tous les jours, sera une étincelle
Qui brillera dans nos yeux et dans nos coeurs.
Nos ailes battront dans un océan de bonheur...
Viens mon ange
Viens dans les mers australes
Nous nagerons dans un monde étrange
Nous serons des dauphins
Qui nagent avec les squales
Nous sifflerons dans les mers
Nous bénirons tous les paysages marins
Qui scintillent de couleurs ocres, rouges du soir au matin.
Viens mon ange
Viens rêver avec moi
Nous serons deux beaux cerfs-volants
Qui volent libres et sans loi
Au-dessus des mers et des océans
Nous nous envolerons au gré du vent
Notre seul pays sera l'infini du ciel
Viens mon ange
Je te le promets
Nos rêves fleuriront comme un feu d'artifice
Ils effaceront nos cicatrices
Nous nous ferons douces étincelles
Qui brillent dans les cœurs et les yeux
De tous ceux et de toutes celles
Que nous aimons
Viens, viens, les rêves sont plus beaux quand on est deux
Quand on on rêve à l'unisson ...
Il était là, il se sentait mal
Il lui semblait, c'est pas normal
Que quelque chose en lui voulait sortir
Que sa poitrine se déchirait, quelle délire
Et puis il entendit
Une petite voix qui venait de l'intérieur
C'était la voix de son coeur
Qui lui dit :
Voilà, c'est décidé
Je veux m'en aller,
Jamais tu ne m'as mis sur ta main,
Jamais tu ne m'as donné
A un humain
Toute ta vie tu m'as gardé en cage,
Je n'ai vécu que haine et rage,
Tu es aussi sec que le désert de la mort,
Voilà, je vais sortir de ton corps
Et aller comme un oiseau chanter
Des chansons d'amour et aimer...
Toute ta vie, tu as vécu sans cœur
Et bien voilà, maintenant c'est vraiment l'heure...
Mais tu es fou,
Si tu t'en vas
Je vais passer
De vie à trépas.
Je m'en fous,
Je m'en vais.
L'homme tomba
Et le coeur s'envola
Chemin faisant il rencontra
Un homme qui gisait par terre,
Il avait un sourire aux lèvres
Et dans les yeux des étincelles de vie.
Il se lova dans son corps
Et le fit revivre sans effort,
Il avait enfin trouvé sa voie
Et retrouvé tous ses émois.
Enfin il allait pouvoir aimer
Et il allait enfin vers les autres, s'envoler.
Un coeur, c'est fait pour aimer
Ce n'est pas seulement un organe, vous savez..
S'éveille tout doucement sous ma chair
Les trésors de ta belle et unique symphonie
Qu'en moi sous les feuillages à la lisière
D'une lueur d'aube automnale, cette mélodie
Comment peut elle en un seul instant
Foudroyer mon cœur, l'unir à ton monde
Lorsqu'elle me chante nos sentiments…
Fusionne ses poèmes d'amour sous son onde
Sans jamais me heurter, toujours s'amplifier
Au torrent d'une passion, laissant ma plume
Autant ébahie dès lors que d'un seul trait
Se dessine ton sourire, sous son écume...
A sentir l'ode de sa caresse féerique…
Sur la lyre de ma peau douce se joue l'accord
D'un hymne, tantôt fou, tantôt romantique,
Par tes je t'aimes sous l'écho de mon corps...
Quand nous aurons vécu la saison où tout meurt
Que les feuilles tomberont sur les chemins bordant
Les rives de mon coeur pour suivre le bonheur
Bien-sûr au gré du vent au soleil se couchant...
Quand la lumière du jour se déclinera le soir
Doucement à nos yeux illuminant nos vies
L'un contre l'autre alors, nous attendrons le noir
Qui engloutit la terre, nous plongeant dans la nuit...
Comme Arthur à vécu une saison en enfer
Dans ses textes si noirs qu’on sent encore ses larmes
Nos cœurs s’effeuillent de lui se recherchant dans l’air
A vouloir toujours faire des poèmes d'amour qui désarment
L'automne c'est beau! C'est comme… le passage des âmes
Dans des couleurs de feux ou la nature s'étonne
D'être encore aussi belle quand vient s'éteindre la flamme
Comme un dernier adieu sur notre amour qu'elle prône...
Nos mots sourient encore, rien n'est jamais fini
Chaque vie vaut de l'or, chaque instant un défit
Nous retrouverons la route au printemps qui nous lie
D'amour et de sagesse en nos corps endormis ...
L'amour à l'encre violette
Sur un bout de page
De mon cahier d’écolier
Avec quelques lettres
J'ai écrit des mots d'amour
Pour faire un vers
Comme les poètes de poésie romantique.
Et j'ai essayé d'en faire un autre
Sans oublier la rime
Puis deux,puis trois, puis quatre
En appuyant sur ma plume
Et en tirant la langue
Respectant points et déliés.
Fallait-il que je t'aime
Avec ton beau visage
Noyé dans tes cheveux blonds
Ton sourire éclatant
Pour braver ainsi la vigilance émoussée du mètre
Par les anoncements soporifiques,
De mes camarades, mes rivaux peut être
Déchiffrant je ne sais quel texte de lecture.
Quand enfin j'eus terminé mon chef d'oeuvre
Rempli de poème d'amour
Que j'eus éponge l'encre violette avec mon buvard,
Je pliai mon bout de feuille en quatre,
Le roulai en boule
Et d'une main ferme le lançai sur ta table.
Je te vis le saisir
Le glisser sous ton livre..
Lire
Mon cœur battait la chamade...
Pourvu que le maître..
Non il regardait de l'autre côté .
Tu te retournas et tu me souris
C'était il y a bien longtemps,
Nous devions avoir neuf ans..
Et notre amour dure toujours.
L'autre jour pendant que tu dormais
J'ai par hasard ouvert le tiroir de ta commode
Et j'ai vu un bout de papier écrit à l'encre violette
Enroulé dans un petit ruban bleu pâle .
C’était ma poésie d'amour.
Alors bêtement j'ai laissé couler une larme
Sur ma joue ridée,
Puis j'ai refermé le tiroir
Le cœur rempli d'amour pour l'éternité .
Puisque tu pars, je t'attendrai
Si tu lâches mon amitié
Pour des raisons que je ne sais,
Je garde ma sincérité.
J'ai espéré en ton amour,
Il m'arrive d'y croire encore
Mais j'ai compris que tu trichais
Alors je me suis effacée.
De nos balades en forêt
A ce jardin que l'on aimait
Ces fleurs que tu affectionnais
Dans mon esprit tu es gravé.
Pour ces nuitées les soirs de lune
Quand elle n'éclairait que nous
Que l'on n'avait que pour fortune
Cet amour dont on était fous.
Tu as laissé comme un parfum,
Et aujourd'hui je m'en imprègne,
Je sais que je t'espère en vain,
Je n'y peux rien si mon coeur saigne.
Je ne sais pas donner le moindre
A toi vois-tu j'ai tout offert
Et si je pouvais te rejoindre
Je referais notre univers.
On me dit qu'il faut oublier
Qu'avec le temps fuira ma peine
Mais c'est si triste de penser
Que je reste dans la déveine.
L'automne peu à peu s'installe
En moi aussi pour très longtemps
Ma vie n'est plus qu'un long dédale
Et je m'y perds bien tristement.
Viens mon ange
Pose ta tête sur mon épaule
Tu verras, la vie est plus drôle
Quand on rêve à deux.
Nous serons deux mésanges
Qui picorent le ciel et les nuages,
Nous écrirons le ciel bleu
Du bout de nos ailes
La vie , tous les jours, sera une étincelle
Qui brillera dans nos yeux et dans nos coeurs.
Nos ailes battront dans un océan de bonheur...
Viens mon ange
Viens dans les mers australes
Nous nagerons dans un monde étrange
Nous serons des dauphins
Qui nagent avec les squales
Nous sifflerons dans les mers
Nous bénirons tous les paysages marins
Qui scintillent de couleurs ocres, rouges du soir au matin.
Viens mon ange
Viens rêver avec moi
Nous serons deux beaux cerfs-volants
Qui volent libres et sans loi
Au-dessus des mers et des océans
Nous nous envolerons au gré du vent
Notre seul pays sera l'infini du ciel
Viens mon ange
Je te le promets
Nos rêves fleuriront comme un feu d'artifice
Ils effaceront nos cicatrices
Nous nous ferons douces étincelles
Qui brillent dans les cœurs et les yeux
De tous ceux et de toutes celles
Que nous aimons
Viens, viens, les rêves sont plus beaux quand on est deux
Quand on on rêve à l'unisson ...
Il était là, il se sentait mal
Il lui semblait, c'est pas normal
Que quelque chose en lui voulait sortir
Que sa poitrine se déchirait, quelle délire
Et puis il entendit
Une petite voix qui venait de l'intérieur
C'était la voix de son coeur
Qui lui dit :
Voilà, c'est décidé
Je veux m'en aller,
Jamais tu ne m'as mis sur ta main,
Jamais tu ne m'as donné
A un humain
Toute ta vie tu m'as gardé en cage,
Je n'ai vécu que haine et rage,
Tu es aussi sec que le désert de la mort,
Voilà, je vais sortir de ton corps
Et aller comme un oiseau chanter
Des chansons d'amour et aimer...
Toute ta vie, tu as vécu sans cœur
Et bien voilà, maintenant c'est vraiment l'heure...
Mais tu es fou,
Si tu t'en vas
Je vais passer
De vie à trépas.
Je m'en fous,
Je m'en vais.
L'homme tomba
Et le coeur s'envola
Chemin faisant il rencontra
Un homme qui gisait par terre,
Il avait un sourire aux lèvres
Et dans les yeux des étincelles de vie.
Il se lova dans son corps
Et le fit revivre sans effort,
Il avait enfin trouvé sa voie
Et retrouvé tous ses émois.
Enfin il allait pouvoir aimer
Et il allait enfin vers les autres, s'envoler.
Un coeur, c'est fait pour aimer
Ce n'est pas seulement un organe, vous savez..
S'éveille tout doucement sous ma chair
Les trésors de ta belle et unique symphonie
Qu'en moi sous les feuillages à la lisière
D'une lueur d'aube automnale, cette mélodie
Comment peut elle en un seul instant
Foudroyer mon cœur, l'unir à ton monde
Lorsqu'elle me chante nos sentiments…
Fusionne ses poèmes d'amour sous son onde
Sans jamais me heurter, toujours s'amplifier
Au torrent d'une passion, laissant ma plume
Autant ébahie dès lors que d'un seul trait
Se dessine ton sourire, sous son écume...
A sentir l'ode de sa caresse féerique…
Sur la lyre de ma peau douce se joue l'accord
D'un hymne, tantôt fou, tantôt romantique,
Par tes je t'aimes sous l'écho de mon corps...
Quand nous aurons vécu la saison où tout meurt
Que les feuilles tomberont sur les chemins bordant
Les rives de mon coeur pour suivre le bonheur
Bien-sûr au gré du vent au soleil se couchant...
Quand la lumière du jour se déclinera le soir
Doucement à nos yeux illuminant nos vies
L'un contre l'autre alors, nous attendrons le noir
Qui engloutit la terre, nous plongeant dans la nuit...
Comme Arthur à vécu une saison en enfer
Dans ses textes si noirs qu’on sent encore ses larmes
Nos cœurs s’effeuillent de lui se recherchant dans l’air
A vouloir toujours faire des poèmes d'amour qui désarment
L'automne c'est beau! C'est comme… le passage des âmes
Dans des couleurs de feux ou la nature s'étonne
D'être encore aussi belle quand vient s'éteindre la flamme
Comme un dernier adieu sur notre amour qu'elle prône...
Nos mots sourient encore, rien n'est jamais fini
Chaque vie vaut de l'or, chaque instant un défit
Nous retrouverons la route au printemps qui nous lie
D'amour et de sagesse en nos corps endormis ...
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