Vous cherchez comment dire je t'aime à un enfant? nous vous offrons un beau répertoire des poème d'amour pour dire a un enfant: toi que j'aurai jamais.
Et je vous vois encore petit
Qu'il a passé vite le temps
Ou vous étiez des petits enfants
Je me rappelle encore à la maternité
Quand vous êtes nées
Et puis arriver à la maison il fallait jongler
Entre les couches et les biberons
Je n'avais plus une minute pour moi
Et la nuit je ne dormais presque pas
Je me souviens les promenades en poussette
Les anniversaires et les jours de fêtes
Les premières rentrées d'école
Ou il fallait que je vous console
De la maternité jusqu'au lycée
Les années ont vite passées
Et maintenant que vous êtes grand
Je suis fière de vous mes enfants
Poème Mes enfants
J'oublie souvent que vous avez grandisEt je vous vois encore petit
Qu'il a passé vite le temps
Ou vous étiez des petits enfants
Je me rappelle encore à la maternité
Quand vous êtes nées
Et puis arriver à la maison il fallait jongler
Entre les couches et les biberons
Je n'avais plus une minute pour moi
Et la nuit je ne dormais presque pas
Je me souviens les promenades en poussette
Les anniversaires et les jours de fêtes
Les premières rentrées d'école
Ou il fallait que je vous console
De la maternité jusqu'au lycée
Les années ont vite passées
Et maintenant que vous êtes grand
Je suis fière de vous mes enfants
Mon enfant, toi que j'aurai jamais,
J'ai des choses à te dire, écoute-moi s'il te plaît :
" La vie n'est pas un rêve, parfois tu sais,
Parfois tu en crèves mais n'oublie jamais
De garder tes rêves qu'enfant que tu faisais
Tu sais ces rêves qui illuminaient tes yeux,
Ces étoiles si belles qui te rendaient heureux."
Mon enfant, la vie c'est des pas, les pas que tu fais
Sur ton chemin, ils ne seront pas parfaits,
Les poteaux indicateurs sont parfois bien menteurs
Mais ne t'en fais pas, la vie est une sommes d'erreurs
La vie , tu vois,est un bon professeur
Mais n'oublie jamais
Au grand jamais :
Le chemin du coeur
Est le vrai chemin
Qui te mènera demain
Au pays du bonheur.
Mon enfant, toi que je n'aurai jamais,
N'oublie pas que la vie c'est
Du ciel bleu, des nuages gris, des nuages noirs
Et puis des paysages teintés d'espoir,
Souvent tu tomberas, mais tu te relèveras, je le sais bien
Et toujours sur ton chemin, vraiment si tu y crois,
Quelqu'un t'apportera la lumière et guidera tes pas,
Parce que le chemin du coeur, tu vois, est le chemin
Qui te guide vers le bonheur dés demain.
Mon enfant, toi que je n'aurai pas,
Souvent tu verras des montagnes grandir devant toi,
Tu devras les gravir pas à pas,
Et parfois pour souffler, tu t'arrêteras
Mais toujours tu les graviras, si vraiment tu y crois,
Et au sommet toujours tu t'émerveilleras
Devant la beauté de la terre et tu béniras tes pas.
Mon enfant, toi que je n'aurai jamais,
Ecoute-moi, s'il te plaît,
Ce sera difficile parfois, n'écoute pas la haine,
Oh oui crois-moi, elle n'en vaut pas la peine,
C'est l'arme des faibles et de ceux qui n'aiment pas,
Alors, oui crois-moi, toujours dans ta vie aime jusqu'au bout de toi,
Et la vie prendra toujours le pas
Le pas de tes rêves et n'oublie pas,
Mon enfant, toi que je n'aurai pas,
Vis ta vie comme un rêve que jamais tu ne trahiras,
Et toujours le bonheur suivra tes pas .
Mon enfant, toi que je n'aurai jamais,
Ecoute-moi .... S'il te plaît ...
Prière de l'enfant
Je suis un enfant
Je veux un été sans parapluie
Où toujours le soleil brille..
Je suis un enfant
Je veux un monde sans guerre
Un monde sans goût de cimetière...
Je suis un enfant
Je veux des fusils sans munitions
Des bulles d'amour qui sortent des canons...
Je suis un enfant
Je veux marcher dans la rue en sécurité
Sans corps sans vie couchés...
Je suis enfant
Je ne veux voir que de douces rondes
Et pas, au-dessus de ma tête, la ronde des bombes
Je suis un enfant
Je veux toujours tendre la main
A Ahmed, Jacob, Siam, Luc, John du soir au matin...
Je suis un enfant
Je veux jouer avec mes amis dans la cour
Noirs, jaunes, blancs, métissés toujours avec amour...
Je suis un enfant
Je veux tous les jours pouvoir rire
Sans peur du lendemain
Et puis aussi rire
Sur tous les chemins...
Je suis un enfant
Je veux, tous les jours, pouvoir manger à ma faim
Que je sois en Asie, en Afrique, en Amérique, en Europe et même plus loin
Je suis un enfant
Je veux voir voler mes cerfs-volant
Comme des rêves qui perlent dans mes yeux d'enfant,
Je veux pouvoir dire tout le long des chemins
Qu'aujourd'hui j'aurai un doux lendemain.
Je suis un enfant ... Je suis mort aujourd'hui
Je suis mort hier et je mourrai dans tous les pays
Parce que les hommes ne vivent pas d'amour...
Je suis un enfant d'aujourd'hui
Et j'ai le coeur lourd.
- Excuse-moi,
Tu vois
Je suis toujours un enfant,
J'ai toujours le coeur
Au bord des dents
Dans les yeux
Dans mes bras parfois moqueurs.
Excuse- moi,
Tu vois
Je suis toujours un enfant
Souvent un peu turbulent
Qui saute dans les flaques
Pour éclabousser les gens
Même si la douleur me traque
Tous les jours, tout le temps.
Excuse-moi,
Je crois,
Je suis toujours un enfant,
Même si mes os craquent dans le vent
Même si ma peau se crocodilise
Malgré toutes mes folies et mes bêtises
Il y a une chose qui ne vieillit pas
C'est mon coeur, tu vois.
Malgré les trahisons
Les fourberies, les mauvaises saisons
Qui souvent le fragilisent
Il est toujours ouvert
Et chaque jour
Il bat plus fort avec amour
Parce que mes yeux d'enfant
Voient le monde avec amour.
Excusez-moi
Je crois,
Je suis toujours un enfant
Qui croit aux rêves troublants
Qui s'envolent en cerf-volants
Qui a toujours des papillons dans les yeux
Qui croit toujours à un monde heureux...
Après tout, je ne m'excuserai pas,
Je suis toujours un enfant
Et je le resterai indéfiniment
Seuls les enfants voient le monde
Comme une douce ronde
Qui ne finit pas.
Je suis toujours un enfant et ... je le resterai je crois ....
Dis-moi, l'Enfant pourquoi me regardes-tu comme ça?
Vieil homme, je ne sais pas,
Je ne sais pas pourquoi je suis là
Dis-moi, dis moi pourquoi?
Oh mon petit et doux terrien
Tu sais pour l'immensité de l'univers t'es rien
Mais si tu t'y prends bien
Si tu regardes tout avec le coeur
Le petit rien que tu es deviendra quelque chose
Si tu mets sur ta main ton coeur
Si tous les jours tu l'oses
Tu deviendras une source de bonheur.
C'est vrai, tous les jours on se pose des questions,
C'est vrai, tu as raison
On se demande parfois à quoi on sert
Face parfois à cet ignoble cancer
Qui ronge le coeur des hommes
Je veux parler de la haine,
Mais si tous les jours tu prends la peine
De voir tout avec le coeur,
Tu auras l'occasion à toute heure
De devenir une étincelle de bonheur
Dans les yeux de ceux que tu rencontres.
Tu vois, mon petit bonhomme
Tous les jours, tu as le choix, en somme
Ce ne sera jamais facile,
Surtout dans ce monde parfois imbécile
La voie, ce n'est pas l'argent, le pouvoir
Mais c'est toujours de pouvoir
AIMER
Même si c'est difficile, tu sais.
Voilà, je m'en vais
Aime jusqu'au bout de toi, au bout de ta peine
La réponse est là tu vois
Et alors la vie vaudra la peine
Et le petit "t'es rien" deviendra un roi ...
Les enfants de la guerre.
Sous ce soleil trop ardent
Il passe, passe le temps,
Je ne vois aucun enfant
Ils sont tous cachés, tremblants.
Dans la crainte des snipers
Petits et grands ont si peur
Ils vivent bien trop d’horreurs
La mort pue sous la chaleur.
L’ennemi est bien trop loin
Sera-t-il jamais atteint
La haine à un destin
Dans leurs cœurs dans leur chagrin.
Les enfants de l'automne
Ils sont beaux ces enfants de l'automne, heureux
Ils jouent, ils courent dans les champs de la vie
Des caresses aux animaux, oups un ami, un jeu
Plein de rires, de gaieté : on oublie ses soucis !
.
On sort les billes, et les livres sont mis de côté
On refait un tour de cheval de bois, à l'envers
Vêtements, souliers, livres, cahiers, neufs, usés
Le temps des classes est arrivé et durera l'hiver
.
Les plus jeunes, font mine d'aider les parents
Tous sont à récolter l'été, même ce grand-père
Tous les animaux jouent ça et là aux champs
On s'amuse tout en revivant l'été : c'était hier....
.
Amusez-vous, petits enfants, c'est le bonheur
Greffez ces moments, à vos instants d'éternité
Protégez-les bien tout au fond de votre coeur
Elle est là votre vie !.... Elle est là votre vérité !
L'enfant et le papillon
Regarder le monde avec les yeux d'un enfant, ce serait merveilleux....
Il suffirait que chacun de nous enlève ce voile devant nos yeux qui déforme la simplicité.
Un enfant n'a pas de malice et pour lui tout est source d'étonnement et d'émerveillement.
Les enfants regardent avec méfiance ce qu'ils ne comprennent pas, mais ils sourient avec joie à tout ce qui leur apparaît vrai.
Un papillon qui vole se pose avec confiance sur un enfant, parce que ce dernier ne lui fera jamais de mal, au contraire, il la regarde avec étonnement et émerveillement.
Faisons en sorte que l'enfant qui est enfermé à l'intérieur de nou, ... sorte !
La spontanéité, la simplicité, l'étonnement,
l'émerveillement sont ces qualités que nous avons oubliées .
Peinture de Donald Zolan
Dis-moi qui tu es ?
Quel âge as-tu petit clown en pleurs?
Tu joues, entre l'enfance et maturité
Sèche-les tes larmes ! Ouvre ce coeur
Il ne sait plus, ce qu'il doit regretter
.
Tu es ce tout-petit ou celui trop âgé ?
Dis qu'allez-vous devenir vous deux ?
Il y a encore le jeu du regret du passé
Ce temps où vous étiez si amoureux ...
.
Que c'est-il passé entre le bébé et toi ?
Réalises-tu que vous vous êtes séparés
Vous n'êtes pas faits de coeur de bois
Il faut effacer ces nombreuses années
.
Les larmes de cet enfant ont pleuré
Elles ont suivi ton masque humide
Viens je vais essayer de tout essuyer
Tous ces cris ils sont trop liquides
.
Il faut que vous refassiez une unité
Vos larmes n'auront rien, détruit ...
En fait vous êtes des moitiés séparées..
Vous êtes «un» vraiment ...Toi et lui ...
.
Clown tout bébé, ... clown plus âgé
Vous êtes la même personne vieillie
Toujours le même clown si fatigué
Ce même clown qui apprend la vie ....
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