Lettre adieu mon amie, lettre triste pour dire a votre amis qu'il y a un jour où il faut accepter que la plupart des gens sont juste de passage..
Il faut accepter que les gens changent, se désintéressent, ne donnent plus signe de vie, effacent leur mémoire comme si c'était un disque dur, comme si tu avais été une de ces chansons chantées .... mais vite oubliée . . . Chanson qui remonte parfois en mémoire . .mais que l'on oublie encore . . .
Il faut accepter que le fait que les messages, les appels, les lettres qui restent sans réponse signifient tout simplement qu'il faut tourner la page et cesser de les attendre ...
Il faut cesser de croire à tous ces je t'aime . . .
Il faut cesser de croire aux gens !!!
Il faut cesser de croire aux absents ...
Il faut cesser les attentes ...
Il y a un jour où il faut accepter que la plupart des gens sont juste de passage.......
Regarde bien derrière toi .. . et vois même ton ombre t'abandonne quand tu n'es pas au soleil !
Alors il te faut savoir que quand tu as besoin, ils seront rares auprès de toi, ceux qui disaient être toujours là . . . que tu pourrais compter sur eux . . .
Ils ferment leur livre . . . .C'est tout !
Va maintenant et seul le temps te dira le peu d'amis véritables que tu as .. .
Mais honnêtement , en ton âme, tu savais tout cela . .
Voilà, je suis simplement partie ...
Je veux partir, mourir de cette vie
Je veux aller dans cette autre pays
Venise , Paris, Espagne, et Italie ...
Peu importe, je te dis mon amie
Le temps est lourd de plus en plus
On m'a chassée : j'ai trop couru . ..
Tellement que je me suis perdue
Et le froid de l'hiver m'est apparu
Sans que l'on m'ait un peu secourue ...
Je suis une enfant nomade des rues .. .
J'irai me promener aux brouillards
Des rues de Londres .. .et Ô cafard ..
Je me ferai de plus en plus en retard .. .
Au bord de la Tamise, les clochards
Lutteront pour un triste nénuphar
Tout bête et tout simplement blêmard
Claironnée, bien fort aux quatre vents
Ma tristesse, chantera l'idée du Levant
À la naissance des premiers jaillissements
Des premières eaux de vie du printemps
Je voguerai en chantant mes gémissements
Vers les guitares de Madrid pleurant ....
Mon amie, vois je suis déjà partie
Là, maintenant crois-moi je te prie
Je fête mon premier matin de vie . . .
L'aube se lève sur mon étrange lit
Voilà, mon amie .. .ainsi ira ma vie
Adieu ... prie pour mon paradis . ..
Lettre à mon ami: Il faut se libérer d'eux
Parfois il faut juste être capable d'accepter que certaines personnes ne sont qu'un morceau de ta vie, et pas «toute» la vie.Il faut accepter que les gens changent, se désintéressent, ne donnent plus signe de vie, effacent leur mémoire comme si c'était un disque dur, comme si tu avais été une de ces chansons chantées .... mais vite oubliée . . . Chanson qui remonte parfois en mémoire . .mais que l'on oublie encore . . .
Il faut accepter que le fait que les messages, les appels, les lettres qui restent sans réponse signifient tout simplement qu'il faut tourner la page et cesser de les attendre ...
Il faut cesser de croire à tous ces je t'aime . . .
Il faut cesser de croire aux gens !!!
Il faut cesser de croire aux absents ...
Il faut cesser les attentes ...
Il y a un jour où il faut accepter que la plupart des gens sont juste de passage.......
Regarde bien derrière toi .. . et vois même ton ombre t'abandonne quand tu n'es pas au soleil !
Alors il te faut savoir que quand tu as besoin, ils seront rares auprès de toi, ceux qui disaient être toujours là . . . que tu pourrais compter sur eux . . .
Ils ferment leur livre . . . .C'est tout !
Va maintenant et seul le temps te dira le peu d'amis véritables que tu as .. .
Mais honnêtement , en ton âme, tu savais tout cela . .
Adieu mon amie !
Tu me demandes ... où je suis ?Voilà, je suis simplement partie ...
Je veux partir, mourir de cette vie
Je veux aller dans cette autre pays
Venise , Paris, Espagne, et Italie ...
Peu importe, je te dis mon amie
Le temps est lourd de plus en plus
On m'a chassée : j'ai trop couru . ..
Tellement que je me suis perdue
Et le froid de l'hiver m'est apparu
Sans que l'on m'ait un peu secourue ...
Je suis une enfant nomade des rues .. .
J'irai me promener aux brouillards
Des rues de Londres .. .et Ô cafard ..
Je me ferai de plus en plus en retard .. .
Au bord de la Tamise, les clochards
Lutteront pour un triste nénuphar
Tout bête et tout simplement blêmard
Claironnée, bien fort aux quatre vents
Ma tristesse, chantera l'idée du Levant
À la naissance des premiers jaillissements
Des premières eaux de vie du printemps
Je voguerai en chantant mes gémissements
Vers les guitares de Madrid pleurant ....
Mon amie, vois je suis déjà partie
Là, maintenant crois-moi je te prie
Je fête mon premier matin de vie . . .
L'aube se lève sur mon étrange lit
Voilà, mon amie .. .ainsi ira ma vie
Adieu ... prie pour mon paradis . ..
1 commentaires:
Tellement triste j'adore
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