C’est un poème d'amour différent que nous souhaitions adresser.
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Parce que vous avez en votre âme l’amour des gens
Parce qu’une question en vous ne cesse de tourner
L’amour et les sentiments ont ils des vibrations
Une onde qu’en partageant ceci, vous répandriez
Comme une coulée de lave, une infinie émotion….
Vous êtes le témoignage d’un battement de cœur immense
En venant partager cet lettre d'amour du plus profond de l’humanité
Que vous tous et nous même vivons de nos sens
Face à cette envie de prendre chaque main pour avancer…
Que je sois chrétien, que je sois juif, ou hâté,
Que je sois noirs ou blancs avec une autre langue
Les battements du cœur sont les mêmes cadencés
Par les mêmes sentiments que l'on vit, que l'on tangue
Par notre histoire, par nos rencontres ou nos partages
Nul n'a le droit d'ignorer nos belles différences
Qui construisent nos âmes de tous nos paysages
Et nous plongent en émoi au sein de l’existence…
Merci à Tous !
Poème d'amour
Laisse-moi briller en toi en toute liberté,Comme la lune luit en moi quand mes rêves s’effondrentÉclaire-moi mon chemin et toute ma destinéEt toutes mes questions auxquelles je ne peux répondre...
Et sur le sable chaud
J'Irai écrire de ma plume
Pour toi les trois lettre d'amour
D'un je t'aime sur l'écume
Tutoyant le soleil, empli
De la lumière de mon amour
Où s'aventure mon esprit
Sur tes rivages de velours...
Dans une tendresse souveraine
Nos deux cœurs ont frissonné
Dans les bras l'un de l'autre, reine
Tu as fait de moi sur la volupté
D'une émotion aux accords heureux
Bercer par des paroles douceurs
Sur nos peaux un je t'aime délicieux
S'est posé ou avec grâce et ferveur
Mon âme à ton âme sereinement
Au bonheur de n'être plus qu'un
Ont confondu tous nos sentiments
Sur l'horizon de notre amour de satin...
je veux brûler pour toi mon cœurOui, je veux brûler pour toiEt faire naître dans les flammes le bonheurQui attise notre amour sans loi …Je veux vivre comme RimbaudAvec toi une saison en enferSentir ton eau sous ma peauQui bout à en ronger le ferManger les délices de la vieSur tes envies, ton corps tenduFlamber de désir nos habitsTous les lettres d'amours de toi mis à nu…
Elle s’en est allée seule avec mes sentiments
Emportant avec elle un morceau de mon âme
Comme une goutte d’eau peureuse qui tomberait au néant
Ma peur d’aimer sans cesse à nouveau une femme
Sa main dans le matin était venue caresser
L’air qui s’était posé durant la nuit passée
Sur les pétales de roses ou brillaient la rosée…
Elle avançait, ses yeux couverts de mes pensées
Et la branche qui pliait, dérangée par ses doigts
Reprenait l’origine de sa place dans l’espace
D’être libre sous le vent pour flotter à la fois
Sur les pollens laissés que sa dentelle chasse
Elle s’en est allée seule avec au firmament
Son armée de sourire et ses cheveux défaits
Vers le cœur de mon corps ne serait ce qu’un instant
Un tremblement d’amour et la faille sous mes pieds…
Au labyrinthe de tes pensés, j'aime aller m'y promener
Cueillir les fleurs de tes envies riches d'émotions
Pour y sentir le parfum doux de ton alizé
Où à jamais je veux me perdre dans tes sillons..
La rose un beau matin qui s’entrouvre au soleil,
Votre parfum de vanille ou le sucré du miel.
Je vous ferai voyager sur un air de Chopin,
Et vous contemplerai en vous prenant la main.
Sur un air de piano sous un ciel étoilé,
Je vous donnerai l'amour que j’aurai tant rêvé
Je vous ferai sentir l’odeur d’une pluie d’été
Et les gouttes sur nos peaux nous feront voyager
Je me donnerai à vous comme la mer au soleil
Qui s’enfuit et renait chaque matin au réveil,
Mais avant tout Léa je vous dirai quand même,
Ce qui compte le plus, simplement « je vous aime ».
Réservez-moi une place au chaudLà dans votre âme où elle éclosCette Rose de nos sentimentsSur le coton d'un nuage blancLà ou sommeil les rêveriesD'un paradis qui nous souritLorsque moi, je ressens encoreVos mots d'amour sur mes abordsHisser le long d'un doux frissonEt se suivre d'une belle émotion...1, 2, 3 me voilà dans vos brasQuand de vous je rêve en émoi...Ornant mon esprit qui voyageDans les nuits vers vos paysagesFaites moi juste une petite place,Que mes peurs peu à peu s'effacent...
Comment pourrais je lui dire
Que ses yeux m'aident à voir
Qu'à ses lèvres son sourire
Humecté m'aide à boire
Par son doux paysage
Qui adoucit mes rêves
Et donne à mon visage
L'amour dans une trêve
Que mes pensées vers elle
S'évaporent dans les fleurs
De sa chevelure belle
Dans une vague de bonheur
Mon cœur triste ne bat
Que pour ces sentiments
Qu'il ne survit, sans cela
Il se perd au néant
Je voudrais juste écrire
Un je t'aime sur sa peau
Qui viendrait éclaircir
Chaque lettres d'amour de ce mot
Lui verser en son corps
Un émoi sans pareil
Qui sublime sans effort
Son âme en son soleil...
Depuis qu’un beau jour tu as déverséTon amour sur moi, bouleverséeJe suis restée par ton sourire, ton regardQui m'enchante où j'aime sans égardPlonger dans tes paroles qui m'émerveillentMe font ressentir belle, ou par leur mielS'adoucisses mes peurs, lorsque qu'en baisersSur mon cœur viennent doucement se poserDans une caresse, tel le plus précieuxTrésor, tes mots d'amour silencieux,Voguant au creux de tes bras réconfortantsFace à toi, je suis comme une enfantOù la sagesse m'abandonne, au désirDe me laisser emporter sous le délireD'un grain de folie quand tes mainsFrôlent avec délicatesse ma peau de satin...
Assis seul je repense à cette journée à deux passée
Ou penché sur toi je verser mon amour
Sur ton corps illuminé par la clarté du jour
Au plus profond de tes rêves ou je veux voyager
Sentir mon coeur flotter au tour de ta vie
A faire fuir tes peurs, à te donner mon âme
pour colorer les fleurs de ton corps de femme
te donner mon étoile pour illuminer tes nuits
Allongé à tes côté, j'attends que tu te reveilles
Ton esprit voyageant au merveilleux pays d'Alice
Ou mon amour est couronné d'un doux parfum de lys
Je regarde la douceur de ton visage qui sommeil
Attendant inlassablement cet instant de bonheur
Lorsque tu ouvres tes yeux et me souris
Je m’arrêterai et serai aux portes du paradis
Et la nature se remplirait alors de douceur.
Mon bien aimé emmenez-moiDans votre cœur, afin que j’èrreFaites-moi voyager, rêver sans loiComme vous savez si bien le faireTaire mes envies incommensurablesLorsque j'acclame dans un aveuDans l'univers de mes nuits semblablesA la belle magie d'exaucer le vœuDe vous retrouver pour une trêveQue mon image vienne s'imprégnerD'un sourire dans vos plus fous rêvesPour dans votre tête vous habiter …
Quand dans tes bras tu m'emportes
Sur ton nuage pour le plus beau
Pèlerinage, mon âme se transporte
Jusqu'à atteindre tous tes mots
Le reflet de ton regard, tel un miroir
Reflète mon sourire qui dessine
Dans ton ciel des étoiles à émouvoir
Tous tes sens, où un par un je les devine
Que s'enluminent dans mes pensées
La sensation d'être seule au monde
Qu'il n'y avait plus que toi et moi enlacés
Dans les rues de Lille où m'inonde
Cette envie de rester là tout contre toi
Ne plus bouger, écouter nos sentiments
En fête chanter l'air d'un amour en émoi
Survolant nos deux cœurs fous battant
Mélanger nos frissons ou je m'enivre
Et voudrait me noyer dans tes eaux
Pour ne jamais remonter, rester ivre
Dans tes bras, et atteindre tes flots...
Le ciel voyage dans ma tête
sur les nuages de notre amour
Faisant de ma nuit une fête
Et qui m'enlève au petit jour
Vers le paradis de ton coeur
Vers ta tendresse immaculée
Sur quelques notes de bonheur
Que dans ma main tu as laissé
Lorsque nous marchions dans les rues
De Lille, les supporters qui dansent
Avant une rencontre attendue...
Nous écoutions leur joie immense
Et moi je sentais sous ma peau
Tes yeux tes sourires en échos
L'envie de te suivre sous les eaux
De notre amour empli de mots
De tremblement quand sous tes doigts
Mon âme chante le battement du coeur
Que j'écoute au silence de ta voix
Qui berce mes pensées en douceur...
Lettre d'amour
Ma tête est lourde, je tourne en rond
J'ai bien cru perdre ma raison
Au large de ta douceur démente
Mon cœur s'affole, cadence lente
J'ai devant toi fondu en marge
De ta rive lointaine de mon large
Criant sous tes yeux mon plaisir
Et je te vois ainsi languir
De vouloir sentir mon amour
En mon corps parcourir tes jours
Succomber à tes festins
Ou tes poèmes d'amour sont divins...
Nous étions là assis chez PAUL
Je te regardais dans les yeux
Tous les deux l'un en face de autre
C'était un instant merveilleux
Nos deux regards se mélangeaient
Et ma main venait se poser
Sur ta douce joue parfumée
Quelques secondes elle est restée
Autour de nous comme le néant
Tout était devenu transparent
Le vide au tour des sentiments
De nos deux cœurs d'amour battant
Les lumières transportaient ta voix
Je t'écoutais me dire je t'aime
Et face à ces poèmes d'amour dits tout bas
Mon âme à rejoint le suprême
Le silence d'amour éternel
Qui ne s'échange qu'avec toi
Quand ma main vient tenir telle
Une caresse du bout de tes doigts...
les ahhh, les A, les aléas …
je n' pense plus qu'à Léa et j'n'entends que Léa
Ce prénom de trois lettres doucement empli de toi
Conjugue chaque pensée, se faufilant en moi
C’est un plaisir suprême qui m’étourdit la tête
Une douceur qui assiège lorsque les mots s’amusent
A combiner les A sur les amours en quête
De tendresse, d’affection sans la moindre excuse
Je n’sors plus de chez moi ! Car mon cœur devient triste
Dés qu’il entend Léa sortir d’une voix soudaine
Dans un parc, dans la ville, sur les notes d’un pianiste
Mais il me manque alors sa douceur d’Eden…
Sa voix comme une caresse du vent sur ma peau
Un frisson qui m’emporte sur un parfum d’été
Le soleil dans ses cheveux flottant sur l'écho
De l'inexplicable sentiment sur ma portée…
Sous nos paupières closes tous les deux nous avons
Largué les amarres et pris le large dans un voyage
Sur un voilier de soie ou nos âmes en fusion
Rejoignent le paradis pour enfin y faire naufrage
Là ou la terre disparaît lorsqu'en nos regards
S'ancre un silence prêt à accueillir l'horizon
En une douce sérénité sous un soleil sans fard
Pour échouer au port de toutes nos émotions
Emportant dans les vagues nos peurs au lointain
Et rapprocher nos corps aux notes de notre amour
Au bruissement d'un soupir raisonnant bien au loin
S’échappe dans un baiser cet unique discours ...
Allez lui dire qu'il berce mes songes vides
Quand les heures m'assassinent, épanchant
Les cris de mon cœur ou fragile et de lui avide
Adoucit au miel de ses mots mes tourments
Allez lui dire que désormais la cruelle attente
Emplit mon ciel de ses trésors, mes yeux
Où brillent mes pensées à l’étoffe chatoyante
D'un je t'aime, tous nos moments merveilleux
Allez lui dire que je n'attends plus que ses bras
Pour enrubanner ma peine, oublier un temps
Ce silence qu'il laisse s’envoler tous mes émois
Quand la froideur de mon corps se profil au néant
Allez lui dire tout ça, qu'il m'emmène vers mille lieux
Sur des horizons où se dessine ce maque de lui
De sentir son amour me frôler au soleil soyeux
Ma peau à la caresse de sa tendresse infinie ....
Au milieu de ce monde qui éclate en morceau
Il y a tes étoiles qui éclairent mon ciel
Et un nuage blanc qui transporte tes mots
Top secret je vous dis car c’est confidentiel !
Il faut donc que j’attende qu’arrive ce doux coton
Qu’il se pose en mon âme, qu’une caresse le rassure
Pour qu’enfin je puisse prendre ces syllabes en passion
Et lire tout ton langage bien écrit sans rature
Ces trois petits lettres d'amour perdus qui donne à mon cœur
Dans ma voix un éclat, une apostrophe de douceur
Sur le T ou le JE se pose en éclaireur
Ces lettres que j’AIME te dire quand tu fais mon bonheur...
Dans les yeux de Léa, il y a la lumière
Il y a des soleils et des milliers d'étoiles
Il y a l'océan, l'infini de la mer
Et le marron qu'un peintre poserait sur sa toile
Il y a des oiseaux qui volent sur le rivage
Qui m’entraînent en voyage sur des pays lointains
Léa a dans ses yeux de si jolies images
Qui fleurissent comme des fleurs qui donnent leurs parfums
Elle a surtout l'amour reflétant de son cœur
Des je t'aime qui viennent au milieu d'un sourire
Elle a surtout l'envie de vivre le bonheur
D’espérer de la vie, un meilleur avenir
Car voyez vous ses yeux sont bien plus que ça
C'est un théâtre ouvert devant le grand canyon
L'immensité perdue dans l'espace de ses bras
Qui s'ouvre sur mon amour qui en elle raisonne...
Il y a ce secret que je lui tienne la main
Et des projets aussi qu'elle aimerait faire à deux
La musique de mon âme en son coeur de Chopin
Ses poèmes d'amour qui parlent de moi et qui me rendent heureux...
L’orage était passé sur nos âmes effarées
Et sur ma peau dressée que le vent caressait
La chaleur de ta main venait me réchauffer
Parcourant tout mon corps de la tête à mes pieds
Tu venais réveiller et jusqu’à faire trembler
L’épiderme de mon être jusqu’en mon subconscient
A ne savoir comment rester là allongé
A côté de toi et défier mes sentiments
Comment ne pas tomber quand ta douceur m’enivre
M’invitant à te rendre tout cet amour perçu
A basculer dans l’air et sentir pour survivre
Tous mon corps s’envoler à s’enfuir du tissu
De mon enveloppe charnelle que compose Michaël
Laquelle résonne encore des plaisirs inconnus
Des secrets éperdus qui me rendent sous ton aile
Ce pouvoir d’inonder comme un ange ingénu
Je m’évade à tes yeux qui retiennent mes pensées
A l’orage merveilleux qui grande encore la nuit
En douceur je rejoins sur tes grains de beauté
Ta constellation ou se dessine le mot VIE…
Plongeant dans ton amour je ne veux que tes bras
Qui m’attrapent, me suspendent, et font vibrer ma voix
Sur les mers de ton corps où mon bonheur larmoie
Je me fonds sans relâche à ton cœur en émoi…
La beauté d’une femmeComme en toute connivenceLa nature de son âmeDans un vert d’espéranceUn soupir dans un criSemblable à une naissanceUne larme qui relitUn tremblement immense
Quand tu t'invites dans mes pensées d'amour
Se fondant au bonheur qui inonde
Mon âme s'évade, et reste troublée
Besoin que de toi, qu'elle confonde
Dans un sourire, tous nos émois
Jusqu'à en faire trembler mon corps
Que vagabonde sur mon grain de soie
La douceur de tes lettres d'amour en accord
Pour savourer ta présence, où ère
Un frisson, au délicieux parfum
Glissé juste là sous mes paupières
Laissant comme unique moment divin
M'envoler dans tes bras, et m'y blottir
Au creux d'une envie qui sur moi s'abat
Quand s'emporte vers toi ce désir
Là que tu sois près tout contre moi...
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