jeudi 4 février 2016

Un écrit sur mesure d'un poème d'amour

Légèreté des heures

Toi que j’aime plus que tout de l’amour le plus fou
Moi qui t’aime genoux rien n’existe que nous,
Toujours dans ta douceur tu fais battre mon cœur
Au rythme d’un bonheur, légèreté des heures.
C’est un enchantement qui fait tous mes instants
Ton amour si constant est le plus beau présent
Et tu peux tout donner par l’amour éclairée
Tu mets tant de gaité à vouloir me combler.
Et mes pas dans tes pas je recherche tes bras
Et ce beau sourire là que tu me donneras,
Sur les traces de toi là je me perds parfois
J’ai besoin de ta voix, la caresse de tes doigts.
Ton amour est un sort, d’où coulent le miel et l’or
Et du chant de ton corps vient naître notre essor,
Avec toi c’est toujours, accroché aux cœurs lourds
La passion sans détour la tendresse chaque jour.
Oh ! Toi ma belle dame la chaleur de ta flamme
Vient embraser mon âme et vient naître une larme,
Perle de ton plaisir, elle est comme un soupir
J’en arrive à souffrir au plus fort du désir.
Toi mon ange je veille sur toi dans ton sommeil
Ainsi tu m’émerveille et j’attends ton réveil,
Moi je vis dans tes ors et je te veux encore
Mon amour est si fort tu es ma belle aurore.
Un écrit sur mesure d'un poème d'amour

Le dire avec les fleurs

Le Lys me l'avait dit quand la Rose fleurit
C'est l'Amour qui surgit et chacun y est pris,
Elle offre son Velours tel un gage d'Amour 
Elle nous fait sans détour Prisonniers de l'Amour,
Et le Lys mon Ami, la Rose l'a conquis
De son Rouge verni elle à teintée sa vie.
Le Lys l'avait bien dit la Rose nous ravit
Et nous Cœurs étourdis sommes à jamais épris,
Sa Grâce et sa Beauté fièrement exposées
Pour la Belle Envolée des Cœurs enamourés, 
Si le Lys l'aime trop, La Belle sort ses crocs
Épines qui bientôt viendront mordre son dos.
Le lys obtient son gage, et la Rose s'engage
On Fête le mariage du Lys à la sauvage.

Le cœur dans les tourments.

Marcher sur cette plage ou nous marchions tous deux
Retrouver ton visage et tes yeux amoureux,
Et sous ce ciel si bleu rejoindre le rivage
De ce temps si heureux où tout était partage.
Je regarde les cieux à m’en rendre malade
Je me rappelle nous deux mon cœur bat la chamade,
Mes heures sont bien fades comment me sentir mieux 
Je hais cette mascarade, faire semblant d’être heureux.
Sur les bords de la seine je crois te retrouver
Je cours à perdre haleine mais je me suis trompée,
Je ne puis oublier quand ta main dans la mienne
Je me sentais comblée et l’âme enfin sereine.
Dans notre appartement tout me ramène à toi
Je me dis bien souvent tu as perdu tous droits
De revenir vers moi après tant de tourments
Je ne sais si je crois à l’amour renaissant.
Je laisse filer ma vie tout le long d’un couloir
Où j’entends tous mes cris nés de mon désespoir,
Échos de colère noire d’un cœur encore épris
J’essaie sans trop y croire de brûler mes envies.
Et passe lentement mes souvenirs d’amour
Dans les couloirs du temps s’effilochent les jours,
Je garde en mon cœur lourd ce refrain des amants
« Ceux qui vivent d’amour, vivront passionnément. »

Y croire.

Sur ce si long chemin qui m'a mené vers toi
J'ai douté de demain, je l'avoue, quelquefois,
Puis je t'ai aperçu et tu as pris ma main
Je n'étais plus perdue depuis chaque matin
Je vois sur ton visage le reflet de ma joie
Et là sur ton rivage tu m'as donné un toit.
Je t'ai cherché longtemps et moi j'ai pu y croire
Car dans mon cœur d'enfant résistait la mémoire
De l'éternelle histoire celle de ces deux amants
Qui ont, pour se revoir, sacrifiés tout leur temps.


La lumière qui allumait joyeusement ton visage

qui me rendait gai, et guidait mes pas comme un éclairage...
Qu'en as-tu fait maintenant que tu doutes de ton faux double,
maintenant que ta vue qui pourtant, était bonne, se trouble?
La lumière qui allumait très clairement mes voyages,
dis-moi sincèrement pourquoi n'est-elle plus dans mes parages?
Je ne la vois plus. Mais je peux insinuer que ton que ton faux double
te rend malheureux dans ta vie. Sans se questionner sur lui, il la chamboule.
Mais ne reste pas là comme ça...
Il n'y a que toi qui souffre du mauvais courant entre vous.
Non! Non! Ne dis surtout pas ça!
Il t'aime. Il ne sait juste pas s' y prendre, et c'est tout.
Mais si tu veux quitter ses bras
un jour, sache que tu ne seras pas seul sur ta route.
Pour toi, je serai toujours là.
Ne reste pas à l'ombre. Appelle-moi en cas de doute.
Et même si ta situation t'empêche d'être libre
de pouvoir prendre, par ton audace, ton visa pour t'enfuir,
même si tu manques de courage, et aussi de force,
-je respecterai ton choix sans te traîner comme un p'tit gosse.
Après tout, tu es grand. Tu es fort. Tu sais vivre le pire.
Par ton soutien, tu m'as appris à auparavant à le subir.
Maintenant, c'est mon tour de te renvoyer la corde.
Accroche-toi bien à elle. Oublie ce qui te rend morose.
Je te promets que demain est un autre jour.
Promis, un meilleur destin t'attend tout au bout.

La vie, l’amour.

C’est la vie qui nous prend comme un feu en dedans
C’est comme un coup de vent, la folie nous surprend,
C’est une symphonie de murmures et de cris, 
Le ballet des envies fait et défait nos vies.
Un poignard dans le cœur la brûlure des ardeurs
La recherche du bonheur cœur en apesanteur,
C’est le flot des tourments nés de nos sentiments
Qui nous poussent follement vers un ciel trop ardent.
C’est le rêve éternel qui rend la vie si belle
Un chemin spirituel ou vit l’émotionnel,
C’est un chant de passion qu’on chante à l’unisson
Jusqu’à la déraison et devient obsession.
C’est un nectar puissant qui devient enivrant
Qu’on veut vivre pourtant toujours très librement,
C’est une fleur fragile, émotion indocile
Parfois si difficile, sentiment si subtile.
C’est toujours cette flamme qui nous tisse la trame 
De nos joies de nos drames, l’empreinte de nos âmes,
C’est elle qui enrichie tous les cœurs asservis
À l’amour qui nous dit « aimes c’est cela la vie. »

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