Un choix de « vie »
Allongé sur le lit on l’a cru endormi
On voit qu’il a souri quand sa vie s’est finie,
Cet homme mari et père, son geste est un mystère
Sa vie il a offert à ce fou ce gangster.
Dans la banque le drame Prit le visage d’une femme
Pour le gangster la came c’est l’argent du quidam,
Elle ressemble à un ange pour Lui c’était étrange
La violence le dérange, elle, doit servir d’échange.
L’otage se rebelle, et son courage la rend belle
Lui sent une étincelle qui lui dit va vers elle
Face à l’arme il supplie pour qu’on l’emmène lui
Il protège la vie de la femme qui pâlit.
On sent grandir la peur face à ce cambrioleur
Lui savait dans son cœur que c’était un tueur,
L’otage survivrait peu de temps il est vrai
Le tueur ne laisserait rien qui l’accuserait.
On retrouva à Dreux l’homme si courageux
Le corps du malheureux tué de deux coups de feu
Ses yeux éteint fixés sur le ciel étoilé
Une photo froissée sur son cœur est posée.
Sur son visage en paix un doux sourire parait
Nous dire que lui savait comment tout finirait,
C’est son anniversaire quarante ans d’une vie claire
Il n’a pas pu tout faire mais il rejoint la lumière.
L’amour, force de vie
Mes amours dispersées aux vents de la folie
Mon cœur s’est oublié dans une fantaisie
Où le corps en apnée ressort toujours ravi
Repoussant les années me donne force et vie.
Et puisqu’il m’est permis de toujours tant aimer
Alors je me saisis de ce qui m’est donné
Parfois même j’en ris j’en suis émerveillée
Et si j’ai des soucis rien ne peut m’arrêter.
Il y a tant à donner et tant à recevoir
Et rien n’est à cacher l’amour n’aime pas le noir
Il donne autant d’espoir apporte la beauté
Toujours il nous fait croire que tout peut arriver.
Il permet le meilleur quand on le reconnait
Il enflamme nos heures parfois semble parfait,
Chaque fois qu’il parait tous les doutes se meurent
Et il reste à jamais inscrit dans tous les cœurs.
L’amour est un état, on cherche l’âme sœur
On passe de bras en bras pour conjurer la peur,
De malheur en bonheur de la vie au trépas
L’amour est la lueur qui guide tous nos pas.
L’amour donne la vie il est la seule raison
Qui permet la survie aux cœurs en déraison
Tendresse ou bien passion jamais je ne choisis
Les deux sont la moisson qui comble mes envies.
Je veux chanter l’amour de cette vie.
C’est une vibration c’est une belle émotion
Elle nait de la passion mais sans compromission,
C’est comme une chanson dont on joue tous les sons
Des notes pour l’union des cœurs en pâmoison.
Sur le champ de l’amour une maladie qui court
Qui nous fait le cœur lourd du voyage sans retour,
Un air tantôt si doux qui peut devenir fou
Et qui toujours se joue cœur et corps à genoux.
Mélodie pour l’envol berce l’âme qui décolle
Un refrain sans bémol dans un cœur sans licol
Une ariette qui résonne opéra qui étonne
Cri d’amour qu’on entonne, un soupir qui se donne.
Un violon tel un corps qui nous prend dans un sort
Et qui soupire encore et nous porte dans les ors,
Une Ode qu’il nous faut dire et chanter bien haut
Car l’amour est si beau qu’il se joue crescendo.
C’est un hymne joyeux qu’on joue quand on est deux
Aria pour bienheureux qui se chante avec feu,
Dans des soupirs soyeux le chant est mélodieux
Et on ne peut faire mieux que cet air merveilleux.
Parfois chant effréné qui nous pousse à aimer
Musique de beauté qu’on ne peut oublier,
Que l’on danse en menuet que l’on aime entonner
Mouvement façonné par le cœur en apnée.
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