Le poète écrire ces poèmes d'amours aux femmes qui les liront , pour luis dire tu me manques tellement , qu'à chaque instant , pense à moi comme je pense à toi !
Ce matin je me suis réveillée et déjà tu étais dans mes pensées ,
Que tu n'avais pas quitté de la nuit ,
Je pouvais entendre mon coeur battre et les yeux fermés je t'imaginais ,
Quand je pense à toi les heures ne comptent plus ,
Le temps s'arrête et mon esprit se met a voyager ,
Il vient vers toi déposer un baiser sur tes lèvres pour te réveiller !
J'ai perdu mes ailes je ne suis qu'un pantin
Pantin volontaire pour tout nos lendemains
Tu restes mon mystère, tu deviens mon destin
Je n'ai plus besoin d'ailes je n'ai besoin de rien
Tu es roi de la scène ou je me sens si bien
J'ai troqué mon mystère pour partager le tien
Et tout en moi s'éclaire, te voilà mon seul lien.
Donne moi ta main et serre moi fort pour ressentir ce frisson envoûtant , nous emportant dans la nuit au porte du paradis !
Souvent j’imagine la vie de Sabine
Petite comtesse vivant la richesse
Sans nulle tendresse d’une mère-caresses.
Belle enfant fragile, un peu trop docile
Son décor infantile lui semble puéril
Grandir entre ces murs où la vie rassure
Se lit et perdure aux tableaux sur les murs.
Jeune fille passionnée des histoires du passé
Elle a pu étudier mais a du se marier,
À un duc sans argent qui voulait un enfant
Son ainé de trente ans n’avait rien de charmant.
Devenue mère et femme elle étouffe sa flamme
Sans amour et sans âme elle reste grande Dame
Son fils sa seule joie qui grandit dans la foi
Il vit en petit roi de la paille à la soie.
Elle le veut gentilhomme et elle le traite comme
Il apprend les formes et la vie en somme
Qui sera la sienne, c’est vrai qu’il s’entraine
Il faut qu’il apprenne la force sans la haine.
Et quand vient la mort, le jeune duc si fort
Pleure tant sue le corps de sa mère qu’il adore
Durant toute sa vie il portera en lui
Ce qu’elle lui a appris ce qu’elle a fait de lui.
Loin de toi mon corps s’endort j’ai froid, je crains la mort
Je m’éveille en ta présence car toi tu es mon seul port
Mon âme est mise en attente à ton départ chaque jour
Mais tu me rends à la vie à chacun de tes retours.
Je respire cet air d’ici où ton parfum flotte encore
Je porte en-moi ton empreinte m’aurais-tu jeté un sort ?
Dans mes pensées tu t’obstines, c’est vrai toi tu me fascines
Et j’ai le cœur qui vacille en pensant à ta main câline.
La trace sur l’oreiller, rouge à lèvre à double effets
Eveille mon envie de toi, me rappelle la nuit passée
La passion au creux de toi, et le plaisir en éclat
Tu me manques à ce point-là et pourtant je me débats.
La journée est bien trop longue je veux entendre ta voix
Mais elle me trouble tant que moi j’en deviens fou parfois
J’erre comme une âme en peine et je ne pense plus qu’à ça
Te serrer tout contre moi car ta place est dans mes bras.
Enfin la journée s’achève j’ai hâte de te retrouver
J’ai préparé pour ce soir, un régal, le diner
J’ai tellement envie de toi, alors moi je sais déjà
Le diner peux refroidir nous ne le mangerons pas.
Tu es le plus beau sourire que la vie a pu m’offrir
Dans ta nudité soyeuse tu me noies dans le désir
Viens mon ange ouvrir la porte à l’élan de nos deux cœurs
Viens danser mon bel amour sur le rythme du bonheur.
Un peu de mon histoire, dans ce billet d’espoir,
Tu me l’avais écrit à l’époque bénie
Ou nous étions amis si jeunes et sans soucis.
Je n’avais que seize ans mais je t’aimais pourtant
Toi tu faisais semblant de ne rien voir vraiment,
Depuis quelques années les choses avaient changées
Tu te sentais frustré par mes jeunes années.
Ton regard me disait que tu me désirais
Mais tu te raisonnais ma jeunesse t’arrêtait,
Tu étais audacieux ça te rendait furieux
De ne pas faire l’aveu de ton cœur amoureux.
Aveuglé tu n’as pu voir et tu n’as pas su
Toi que n’en pouvait plus d’aimer à cœur perdu,
Et quand tu t’es enfuit à l’abri de la nuit
Tu n’as jamais appris combien blessée je suis.
Le temps qui s’éternise, et moi je m’enlise
Ma vie est trop grise il faut que je te dise,
C’est bien ta missive certes un peu tardive
Mais elle me motive, quand mon cœur dérive.
"Tu disais que je t’aime mais c’est un problème
C’est un vrai dilemme pardon si je sème
Ta peine et tes larmes, quand tu seras femme,
Je viendrais belle dame te montrer ma flamme."
Ce matin je me suis réveillée et déjà tu étais dans mes pensées ,
Que tu n'avais pas quitté de la nuit ,
Je pouvais entendre mon coeur battre et les yeux fermés je t'imaginais ,
Quand je pense à toi les heures ne comptent plus ,
Le temps s'arrête et mon esprit se met a voyager ,
Il vient vers toi déposer un baiser sur tes lèvres pour te réveiller !
poème d'amour : Ton bonheur est le mien
Ta douceur est telle que moi entre tes mainsJ'ai perdu mes ailes je ne suis qu'un pantin
Pantin volontaire pour tout nos lendemains
Tu restes mon mystère, tu deviens mon destin
Je n'ai plus besoin d'ailes je n'ai besoin de rien
Tu es roi de la scène ou je me sens si bien
J'ai troqué mon mystère pour partager le tien
Et tout en moi s'éclaire, te voilà mon seul lien.
Donne moi ta main et serre moi fort pour ressentir ce frisson envoûtant , nous emportant dans la nuit au porte du paradis !
La vie d’autrefois.
Dans le château en ruine ouvert à la bruineSouvent j’imagine la vie de Sabine
Petite comtesse vivant la richesse
Sans nulle tendresse d’une mère-caresses.
Belle enfant fragile, un peu trop docile
Son décor infantile lui semble puéril
Grandir entre ces murs où la vie rassure
Se lit et perdure aux tableaux sur les murs.
Jeune fille passionnée des histoires du passé
Elle a pu étudier mais a du se marier,
À un duc sans argent qui voulait un enfant
Son ainé de trente ans n’avait rien de charmant.
Devenue mère et femme elle étouffe sa flamme
Sans amour et sans âme elle reste grande Dame
Son fils sa seule joie qui grandit dans la foi
Il vit en petit roi de la paille à la soie.
Elle le veut gentilhomme et elle le traite comme
Il apprend les formes et la vie en somme
Qui sera la sienne, c’est vrai qu’il s’entraine
Il faut qu’il apprenne la force sans la haine.
Et quand vient la mort, le jeune duc si fort
Pleure tant sue le corps de sa mère qu’il adore
Durant toute sa vie il portera en lui
Ce qu’elle lui a appris ce qu’elle a fait de lui.
A plein corps
Loin de toi mon corps s’endort j’ai froid, je crains la mort
Je m’éveille en ta présence car toi tu es mon seul port
Mon âme est mise en attente à ton départ chaque jour
Mais tu me rends à la vie à chacun de tes retours.
Je respire cet air d’ici où ton parfum flotte encore
Je porte en-moi ton empreinte m’aurais-tu jeté un sort ?
Dans mes pensées tu t’obstines, c’est vrai toi tu me fascines
Et j’ai le cœur qui vacille en pensant à ta main câline.
La trace sur l’oreiller, rouge à lèvre à double effets
Eveille mon envie de toi, me rappelle la nuit passée
La passion au creux de toi, et le plaisir en éclat
Tu me manques à ce point-là et pourtant je me débats.
La journée est bien trop longue je veux entendre ta voix
Mais elle me trouble tant que moi j’en deviens fou parfois
J’erre comme une âme en peine et je ne pense plus qu’à ça
Te serrer tout contre moi car ta place est dans mes bras.
Enfin la journée s’achève j’ai hâte de te retrouver
J’ai préparé pour ce soir, un régal, le diner
J’ai tellement envie de toi, alors moi je sais déjà
Le diner peux refroidir nous ne le mangerons pas.
Tu es le plus beau sourire que la vie a pu m’offrir
Dans ta nudité soyeuse tu me noies dans le désir
Viens mon ange ouvrir la porte à l’élan de nos deux cœurs
Viens danser mon bel amour sur le rythme du bonheur.
poème d'amour au femme
Tout au fond d’un tiroir j’ai retrouvé ce soirUn peu de mon histoire, dans ce billet d’espoir,
Tu me l’avais écrit à l’époque bénie
Ou nous étions amis si jeunes et sans soucis.
Je n’avais que seize ans mais je t’aimais pourtant
Toi tu faisais semblant de ne rien voir vraiment,
Depuis quelques années les choses avaient changées
Tu te sentais frustré par mes jeunes années.
Ton regard me disait que tu me désirais
Mais tu te raisonnais ma jeunesse t’arrêtait,
Tu étais audacieux ça te rendait furieux
De ne pas faire l’aveu de ton cœur amoureux.
Aveuglé tu n’as pu voir et tu n’as pas su
Toi que n’en pouvait plus d’aimer à cœur perdu,
Et quand tu t’es enfuit à l’abri de la nuit
Tu n’as jamais appris combien blessée je suis.
Le temps qui s’éternise, et moi je m’enlise
Ma vie est trop grise il faut que je te dise,
C’est bien ta missive certes un peu tardive
Mais elle me motive, quand mon cœur dérive.
"Tu disais que je t’aime mais c’est un problème
C’est un vrai dilemme pardon si je sème
Ta peine et tes larmes, quand tu seras femme,
Je viendrais belle dame te montrer ma flamme."
Les personnes qui savent nous aimer que ce soit en amour ou en amitié ,
Est un sentiment qu 'il faut garder précieusement dans notre coeur ,
Car il apporte beaucoup de chaleur et surtout beaucoup de douceur ,
Et dans notre vie il apporte un arc-en-ciel de couleurs ,
Et on a besoin de cela pour vivre chaque lendemain !
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