Cette nuit seule dans mon lit comme beaucoup de gens je vais rêver , rêver et m'échapper de ce monde difficile et dure , je fais un doux bisou à tous mes ami(es) et faite de beaux rêves !
J'aimerais être L'ange de Ton Sommeil... Te Protéger jusqu'au Réveil...
Tendrement et Tout en Douceur... Ouvrir les Portes de Ton Coeur...
Et sans Faire de Bruit... Entrer dans Tes Rêves les Plus Enfouis...
Je Garderai Précieusement la Clé de Tes Plus Profondes Pensées...
Je Dissiperai le Brouillard qui Détruit Tous les Espoirs...
... Et lorsque Tu te Réveilleras... Tu te Souviendras...
De Tout l'Amour que j'ai pour toi...
La nuit se mêle encore à de vagues pâleurs ;
L'étoile naît, jetant son reflet qui se brouille
Dans la mare dormante où croupit la grenouille.
Les champs, les bois n'ont plus ni formes ni couleurs.
Leurs calices fermés, s'assoupissent les fleurs.
Entrevue à travers le brouillard qui la mouille,
La faucille du ciel fond sa corne et se rouille.
La brume égraine en bas les perles de ses pleurs.
Les constellations sont à peine éveillées,
Et les oiseaux, blottis sous les noires feuillées,
Goûtent, le bec sous l'aile, un paisible repos.
Et dans ce grand sommeil de l'être et de la terre,
Longtemps chante, rêveuse et douce, des crapauds
Mélancoliquement la flûte solitaire.
Poème bonne nuit et SMS pour ma chéri(e)
J'aimerais être L'ange de Ton Sommeil... Te Protéger jusqu'au Réveil...
Tendrement et Tout en Douceur... Ouvrir les Portes de Ton Coeur...
Et sans Faire de Bruit... Entrer dans Tes Rêves les Plus Enfouis...
Je Garderai Précieusement la Clé de Tes Plus Profondes Pensées...
Je Dissiperai le Brouillard qui Détruit Tous les Espoirs...
... Et lorsque Tu te Réveilleras... Tu te Souviendras...
De Tout l'Amour que j'ai pour toi...
La nuit se mêle encore à de vagues pâleurs ;
L'étoile naît, jetant son reflet qui se brouille
Dans la mare dormante où croupit la grenouille.
Les champs, les bois n'ont plus ni formes ni couleurs.
Leurs calices fermés, s'assoupissent les fleurs.
Entrevue à travers le brouillard qui la mouille,
La faucille du ciel fond sa corne et se rouille.
La brume égraine en bas les perles de ses pleurs.
Les constellations sont à peine éveillées,
Et les oiseaux, blottis sous les noires feuillées,
Goûtent, le bec sous l'aile, un paisible repos.
Et dans ce grand sommeil de l'être et de la terre,
Longtemps chante, rêveuse et douce, des crapauds
Mélancoliquement la flûte solitaire.
Car la nature est belle et splendide comme papillon et libellule en histoire tonitruante qui fabule ! Bonne nuit Amis du soir ! Bonsoir joli soleil adoré ! Bonne fin de soirée a tous, en conciliabules !
Article : J’ai peur d’affronter mes rêves cette nuit
« De peur qu’ils ne se concentrent que sur le « beau » et qu’il rejette le « nuisible », je ne veux pas de ça. Il n’y a rien de pire que de se focaliser sur toutes ces petites choses qui vous font sourire pour finir par s’envoler lorsque le réveil sonne. J’ai peur d’affronter ma nuit froide alors je repousse le plus possible l’heure du coucher... Tiens j’ai quelque chose à te montrer, viens, viens, approche-toi, ça devrais t’intéresser.
Regarde-le, lui, avec son sourire jusqu’aux oreilles, je te parie que dans les prochaines secondes, il va entendre ce qu’il n’aurait pas dû entendre ce jour-là, question d’un minutage irrévérencieux, comme il est drôle Dieu. Il était bien pourtant, peut-être même heureux. Je te laisse comprendre le poids de mes mots, il était heureux. Vraiment, du temps qui passe. Putain, il était bien. Putain, ouais, j’étais bien. Regarde-moi dans les yeux ! Regarde-moi, tu vois comme il a tremblé mon sourire à ce moment-là ? C’était... Oh, une explosion, une tornade. Un orage de fin du monde qui s’époumone dans mes poumons, à moi. Le souffle coupé, la tête qui faisait mal. Tout, quoi tout. Pourquoi ? Qu’est-ce que j’avais entendu ? Ce n’est pas le sujet, on s’en fiche pas mal de ce qui me passe par l’esprit non ? On s’en fiche pas mal que j’ai mal, puisque j’écoute. On s’en fiche pas mal de si ce n’était pas ce que j’avais envie d’entendre, on s’en fiche pas mal si Dieu s’acharne sur une même idée débile, on s’en fiche pas mal si je ne suis pas d’accord. Rien n’a d’air de révolte autour de moi de toute façon. J’ai vraiment peur d’aller me coucher ce soir, je crois que je n’y survivrai pas réellement. Pourtant faut qu’elles sortent mes idées noires... Faut que ça s’évade, que tout s’évapore, la couette
relevée sur la tête pour confectionner un abri de fortune contre ma mauvaise humeur. Il faut que tu comprennes, sais-tu combien de fois, depuis les yeux bleus, j’ai eu l’audace d’agir pour un autre défi ? De me réveiller de mon mutisme sentimental ? Vraiment, je veux dire. Un truc qui fait fondre la barrière du silence, un vrai truc qui fait du mal dans le ventre lorsque l’on y pense, un vrai truc qui fait froid dans le dos lorsqu’on le rêve. Je t’écoute, combien de fois en plus de huit années me suis-je enfin décidé à vivre ? Pas assez souvent, apparemment, pas assez pour avaler le contrecoup de cette envolée. Tout ce qui décide un jour de battre des ailes, seul, finit par accrocher un mur, un arbre ou même pire, le sol. Moi j’ai pris les trois sur un même plan, quelque chose qui laissera le monde indifférent. Puis je suis fatigué moi de tout cela, je voudrais simplement plonger ma tête dans un grand seau d’idées positives.
Tu me connais, je contrôle chacun de mes mouvements, chacun de mes mots, chacune de mes respirations. Puis ça a lâché, et ça ne s’arrête pas. Il y a quelque chose de cassé dans la mécanique du cœur. Il y a quelque chose que s’est brisé dans les jeux de la vie, où l’on ne joue que pour pouvoir se faire peur... Ou être heureux, mais ça ne marche pas toujours. Ça se vide en silence et ça ne s’arrête pas. C’est qu’il y en avait de l’eau salée à vider. Ça remonte à loin la dernière explosion.
Ce n’est jamais bon une explosion.
Je suis prêt à affronter une bonne nuit maintenant,
Allons-y. »
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