Je donnerai mon cœur, à celui qui saura, aimer, sans compter
A celui qui saura être patient et attentionnée.
Qui saura me parler des étoiles, me raconter l'histoire du petit prince,
et me faire découvrir sa petite planète.
Je donnerai mon cœur, à celui qui saura, s'émerveiller devant
un champ de coquelicots, devant un arc en ciel, une mer en furie.
A celui qui saura, s'émouvoir, d'une détresse, d'une main tendue,
D'une atmosphère romantique, qui me prendra la main,
et sans un mot, saura me parler d'amour.
Je donnerai mon cœur, à celui qui saura,
partager mes peines et mes bonheurs, de façon égale,
qui saura me donner le sourire, à chaque matin.
A celui qui me dira des mots magiques et secrets,
qui saura être complice de mes fous rires, et de mes délires.
Je donnerai mon cœur, à celui, qui saura lire en mes yeux,
et me transporter en son âme, en de puissantes vibrations.
A celui qui se blottira chaque soir, sur mon cœur pour me parler d'amour
et m'offrir son corps sans réserve.
A celui qui saura être patient et attentionnée.
Qui saura me parler des étoiles, me raconter l'histoire du petit prince,
et me faire découvrir sa petite planète.
Je donnerai mon cœur, à celui qui saura, s'émerveiller devant
un champ de coquelicots, devant un arc en ciel, une mer en furie.
A celui qui saura, s'émouvoir, d'une détresse, d'une main tendue,
D'une atmosphère romantique, qui me prendra la main,
et sans un mot, saura me parler d'amour.
Je donnerai mon cœur, à celui qui saura,
partager mes peines et mes bonheurs, de façon égale,
qui saura me donner le sourire, à chaque matin.
A celui qui me dira des mots magiques et secrets,
qui saura être complice de mes fous rires, et de mes délires.
Je donnerai mon cœur, à celui, qui saura lire en mes yeux,
et me transporter en son âme, en de puissantes vibrations.
A celui qui se blottira chaque soir, sur mon cœur pour me parler d'amour
et m'offrir son corps sans réserve.
Je donnerai mon amour, alors, sans réserve, avec émotion et fidélité, et nos cœurs ne feront plus qu'un, dans des intensités digne des grands orages d'été, des grandes tempêtes d'hiver.
Et quand, l'on regardera complice, les grandes étoiles dans les nuits de solstices, ta tête châtain foncer se blottira, tout contre moi, et le cosmos nous semblera alors sans limite.
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