dimanche 20 octobre 2013

Lettres d'amour de tristesse

lettres d'amour de tristesse


Lettre d’amour à cause de la distance


Cher/chère [prénom],

J’espère que tu seras heureux/heureuse de recevoir ces quelques mots. Peut-être seras-tu même surpris/surprise de recevoir une lettre venant de moi et pourtant, quoi de plus naturel que de prendre la plume quand on aime comme je peux t’aimer ?

Alors que j’écris ces quelques mots, je peux bien t’avouer une chose : je suis terriblement triste. Triste de te savoir loin. Triste de ne pas pouvoir te prendre dans mes bras. Triste de ne pas pouvoir te parler autrement qu’au téléphone. La distance est en train d’avoir raison de moi et tous ces kilomètres qui nous séparent me plongent dans un état proche de la dépression. Est-ce la même chose de ton côté, dis-moi ? D’un côté, j’aimerais que ce soit un peu le cas, cela me prouverait la force de tes sentiments mais tu sais que je t’aime trop pour espérer te savoir malheureux/malheureuse.

J’ai hâte que tu reviennes et que nous puissions être enfin réunis, tous les deux comme autrefois. Je soupire en pensant à tous les bons moments que nous avons passé tous les deux et je donnerais beaucoup pour pouvoir les revivre en ces instants de solitude, si difficiles à vivre…

Je t’envoie tout mon amour et j’espère de tout cœur que les prochaines semaines nous seront plus favorables.

A très bientôt, j’espère.



lettres d'amour de tristesse



Lettre d’amour suite à un chagrin


Je ne sais pas si tu prendras la peine de lire cette lettre mais sache qu’il est très douloureux pour moi de l’écrire. J’éprouve actuellement une grande tristesse qu’aucun mot et qu’aucun geste ne pourraient venir consoler. En me laissant derrière toi comme tu l’as fait, tu as détruit ce qui était devenu ma raison de vivre. Mon existence tournait entièrement autour de toi et je ne pouvais pas imaginer qu’un jour il puisse en être autrement… Au vu des circonstances, je sais à présent que tu ne partageais pas ce sentiment.

Comment se fait-il que je connaisse un tel chagrin alors que je ne souhaitais que ton bonheur ? J’aurais tout fait pour toi, tu le sais. Aujourd’hui, j’ai l’amère impression d’avoir tout raté, d’avoir constamment été à côté de la plaque en croyant bien faire pour, au final, ne te faire que du mal. A présent, me voilà à nouveau face à ma solitude. La cruauté de ton absence et le silence qui m’entoure font partie de ce qu’il y a de plus difficile à supporter et j’aimerais que cette terrible épreuve soit déjà terminée.

Dans le chagrin qui est le mien, je ne peux que te supplier de revenir. Tu es tout pour moi et si tu juges que mon amour n’est pas à la hauteur, je ferai de mon mieux pour te satisfaire et pour gagner à nouveau ton estime et peut-être, tes sentiments.

Si tu m’as jamais aimé, reviens vers moi. Ne serait-ce que pour m’apporter un peu de réconfort car ma peine est trop grande…

J’attends de tes nouvelles et espère pouvoir bientôt te serrer à nouveau dans mes bras.




lettres d'amour de tristesse



Lettre d’amour suite à une rupture


Chéri,
La brise se retient, le ciel s’assombris, il est chargé, bientôt il va pleuvoir et… il faut que je parte.
Déjà cela me manque, l’atmosphère chaleureuse de l’appart, l’odeur de la cuisine, le divan lit du salon, témoins de tant de nos acrobaties. Déjà, oui mon amour, la nostalgie de ces années passées ensemble, de ces années de joie et de peine, ces années euphoriques un peu propriétaires peut-être de notre vie, celle-la même qu’on ne partagera plus…jamais… Hélas !
Que je t’aime ! Que je t’aime ! Que je t’aime ! Cet amour que ces années n’ont pas réussit à ternir l’éclat, au contraire ils l’ont agrandit, mûrit, l’assagit et est-ce peut-être à cause de cela qu’aujourd’hui j’ai la force de te dire au revoir?… Adieu?
Depuis des années que je voulais te le dire mais depuis des années que ma lâcheté, mon égoïsme m’en empêchait. Oh mon chéri ! Pardonne moi ces temps perdus ; ces rêves jamais réalisés, rangés parce que soudain notre vie ne les permettait plus. Oui chéri, excuse-moi ces aventures que tu aurais voulu vivre, ces amours qui te fantasmaient…forts et si différents de moi.
Aujourd’hui c’est différent, j’ai compris, l’amour ce sentiment que je croyais connaître se relève enfin en moi et tout cela grâce à toi. Il est d’une telle simplicité, d’une telle beauté et d’une telle finesse que ce que je vivais jadis, oui me parait-il soudain, n’était qu’un vulgaire narcissisme.
Merci pour tout ; pour notre histoire, si elle n’avait pas été, je l’aurais inventé. Merci pour cette amitié qui me fut nécessaire en un moment où je ne savais comment résister aux vicissitudes de la vie ; merci de m’avoir aider à être heureuse, moi qui croyais que le bonheur est pure invention des poètes ; oh oui chéri, merci de m’éloigner à jamais cette peur qui me paralysait et paralysait mon existence. Avec toi j’appris à vivre et de croire en ma valeur, je connue le pardon à une dimension qui m’affranchit.
J’imagine combien cela a dû te coûter même si je feignais les naïves quand des fois je surprenais sur ton visage la lassitude d’une vie faite désormais de routine et d’habitude. Oui je fermais les yeux, quand tes attitudes notaient cet abattement, cet air désabusé d’un destin non réalisé, ou, quand ton regard partait loin, là bas, chercher des choses que je n’arrivais pas à te donner. Tu vois que je n’étais pas dupe quand quelquefois dans une gaîté à peine forcée tu me disais « je t’aime » tu le disais tellement fort comme pour t’en convaincre toi-même plus que moi. Alors dans ma lâcheté, oui je me convie, je te caressais le visage, tes doigts fins et je m’enfuyais dans tes bras, seulement préoccupée de mon seul bien-être. Pardonne moi chéri…j’étais faible.
Si il arrivait de nous chamailler pour des banalités en apparence, je sais maintenant que c’était parce que je t’en voulais de ne pas être totalement mien, ou parce que tu me reprochais de ne pas pouvoir te donner ce qui te manque.
Je l’ai compris depuis que pour toi mon amour, sont devenu authentiques mes sentiments. Je n’ai plus le droit de te freiner dans ta quête. Je ne le peux même plus.

Quand tu rentreras ce soir je ne serais plus là. Désormais la moitié de notre armoire restera vide, on ne se chamaillera plus pour une rangée de plus ou de moins, et cela me manquera. Dans la salle de bain j’ai volé un peu de ton gel douche, j’ai eu peur d’oublier un jour ton odeur, ne m’en veux pas. Notre photo sur la vieille commode du salon, je l’ai pris également cela t’aidera d’aller plus vite de l’avant et elle m’aidera de continuer à croire encore au bonheur. Mais sur le lit, il y’ aura ta vielle chemise qui depuis de années me sert de robe de nuit, je ne l’ai pas prit, s’aurait été pour moi un souvenir de trop.
Quand tu liras cette lettre, chéri, tu comprendras sans doute que c’est parce que je t’aime que, je dois partir. Ne soit pas très triste, au contraire soit heureux, ce départ n’est pas une trahison, ni une rupture, juste une nécessité, tu t’en apercevras plu tard; ne me déteste pas non plus, je ne le supporterais pas, néanmoins tu pourras m’oublier si cela peut t’aider à te construire une vie meilleure…mais ne doute jamais que c’est parce que je t’aime que je suis parti.
Ta chérie.



lettres d'amour de tristesse



 Lettre d’amour à son ex qui explique un regret


 Qu'est ce qu'il me reste maintenant ?

Pas grand chose, après t'avoir perdu j'ai tellement crie, tellement pleurer, passer tellement de nuit blanche que là je ne sais plus ce qui me reste.
Je ne compte même plus les nuits, où, lorsque je me couchais dans mon lit je pensais à toi, et que je te savais accompagner dans ton lit alors que moi j'étais seul, que tu me manquais et que je te voulais éperdument mais que tu n'es jamais revenu.
Je ne trouve pas les mots pour te dire ce que j'ai ressenti, et que je ressens encore à ce jour.
Ecrasé, casser, briser, bruler, mort, tous ces adjectifs ne suffisent pas pour te dire à quel point mon coeur à souffert.
Je ne te l'ai jamais montré car je voulais tout te cacher, je ne voulais pas que l'on voyait que je puisse souffrir.
Je me croyais fort, intouchable, que rien ne puisait me faire mal, mais en fait j'étais faible, faible de toi.
Mon coeur était sur un plateau et tu l'as pris et l'as gardé.
Maintenant je ne peux plus vivre dans cet état, j'ai besoin d'avoir à nouveau la part de moi que tu as, celle qui fais que je ne suis plus heureux, que je ne connais plus l'amour.
Comment te dire que toutes ces années durant j'ai pensé à toi, et que j'y pense encore, qu'aucune autre fille n'as réussi à me faire l'effet que tu m'as fais, que la seule que je veux vraiment c'est toi, que c'est toi la femme de ma vie, celle avec qui je voudrais passer ma vie, que je voudrais chérir, que je voudrais la faire souffrir, la rendre heureuse, faire en sorte qu'elle soit la femme la plus heureuse au monde.

Pourquoi je te dis tout ca maintenant, je ne sais pas, j'ai trop longtemps tenu ca et je n'en peux plus. Quand je pense que le bonheur est passé dans le creux de ma main et que je n'ai pas su la resserrer ca me rends malade. S'il n'y pouvait en avoir qu’un ca serait toi, toi, mais toi qui maintenant n'es de mon côté, qui est avec un autre, et qui ne pense plus à moi. Sauf lorsque tu repenses au passé, là tu repenses à moi, et à tout le mal que je t'ai fais, à ton coeur que j'ai brisé, bruler, marcher dessus et jeter au loin. Tu as tant souffert de ma faute et que je ne l'ai pas vu, mais comment est ce que j'ai fais. Je devais être aveugle, aveugle de toi, aveugle de mon amour envers toi.
Et maintenant que me reste-t-il ?
De l'amour ? Je ne sais pas, mais c'est un sentiment de regret, mêlé à l'espérance, au désarroi, à la souffrance, tout ce mélange je le porte en moi, et aucune n'est arrivé à le faire sortir, aucune n'est arrivé à réanimé mon coeur que tu as tué.

J'aimerais que nous prenons du temps à nous connaître à nouveau, que tu vois qui je suis à présent, que tu saches que je suis celui dont tu as vraiment besoin, que je te rendrais milles fois plus heureuses qu'avant, que tu te rendes compte que tu es mon soleil et que j'ai trop peur de me brûler les ailes pour te blesser.

Puis j’espérer de l'écho à cette demande, c'est à dire, que tu veuilles à nouveau nouer un contact avec moi, un contact non intime, un contact pour me redécouvrir, que je te redécouvre, que nous nous redécouvrons.
Qu'en penses-tu, aurais un écho de ta part ?




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  Lettre d’amour après une séparation



 Tu étais ma petite chérie,
Je ne sais pas si tu mérites que je t’écrive ceci. J’ai pourtant envie de le faire. En commençant je ne sais pas où cette lettre ira, dans quel sens. Je t’écris pour toi seule et pas pour ce monsieur qui t’a prise à moi et dont, au moins pour l’instant, je ne veux pas entendre parler. Mais je lui ai bien écrit, une fois, quand tu es partie, alors pourquoi ne pas t’écrire à toi, comme on élève un monument du souvenir.
Tu m’as plu tout de suite, j’étais bien avec toi, mais j’ai mis longtemps à t’aimer. Je le refusais. Pas parce que c’étais toi. Je ne pouvais plus aimer. J’ai dû par là beaucoup te faire souffrir. Tu me l’as bien rendu par la suite. Enfin… Il y a deux ans commençait pour moi une époque qui  a été un temps de bonheur, malgré toutes les  difficultés, et qui à une semaine près à duré un an et demi.
Ce n’est pas rien. A tes côtés j’ai peu à peu appris au bout d’un an, vers ton retour de vacances, à aimer l’autre pour lui-même. J’ai donc pris confiance en moi et en la vie et je commençais à penser possible de construire quelque chose. La vie, dans son incertitude, allait bientôt nous rendre libres l’un et l’autre. Et puis un nouvel imprévu est arrivé et tout a été détruit. Je l’ai d’abord accepté, puis je t’en ai voulu énormément, à la mesure de ma désillusion. Mon agressivité en a été l’expression. Tu m’as au moins et sur le tard fait oublier le regret de mon ex grand amour et maintenant, six mois après dont trois d’antidépresseurs, je remonte. Depuis six semaines déjà. Simplement la foi, en moi, est encore un peu plus morte que quand tu m’as rencontré. Il est vrai que tu l’avais ressuscitée. Je t’en veux moins aujourd’hui, presque plus. Je suis seulement désabusé et à nouveau je ne veux plus croire, même si j’ai approché des femmes. Je risque de les faire souffrir comme je t’ai fait souffrir. Je ne sais pas ce que la vie nous réserve à l’un et à l’autre. Je repense souvent avec émotion à certains moments que nous avons partagés, très divers. Je pourrai au moins dire : j'ai été heureux. Merci pour cela.
Je t'embrasse

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