Écrire, pour dire qu 'il faut vivre malgré tout...
Écrire, parce que....
L'encre, c 'est des larmes de souvenirs
La couleur, une pensée que l 'on respire,
Et la beauté d un coeur qui nous inspire,
Alors on écrit......Pour bien écrire la poésie d'amour, il y faudrait plus d'encre qu'il n'y a au monde...
Il était écrit un poésie d'amour
Quelque part
Là dans un coin de notre esprit
Que les premiers regards échangés
Que les premiers baisers donnés
Changeraient nos Vies
Il était écrit
Quelque part
Là sur chaque grain de nos peaux
Que les premiers émois
Que les premiers frissons ressentis
Ne nous laisseraient pas indemnes
Il était écrit
Quelque part
Là sur chaque silence
Que les premiers souffles
Que les premiers soupires
Suffiraient à nous faire nous aimer
Il était écrit
Que par l'encre de notre Amour
Par la Sève de nos désirs
Nos Vies se retrouveraient à tout jamais chamboulées ...
Donne moi une chance de venir fleurir ta peau
De caresser ton cœur qui m'emporte si haut
Pour te dire en ces poésie d'amour magique, que mes yeux s'ouvrent et puis
Que ton visage danse sur toute ma triste vie...
Sur les gammes effacées des battements de mon cœur
Et mes pensées perdues le soir dans le jardin
Quand je reste à prendre l'air et que le vent m'effleure
D'une caresse inégale à celle de ta main...
Poète d'amour, j'écris mes rêves dans la mélancolie
Qui emplit mon âme et ne m'fait plus que sentir
Qu'une terre nue de mes citation d'amour et puis de mes envies
De tes douces poésie d'amour magique que mes pensées peuvent écrire...
Sur ta couche
La douceur de ta peau sous ma main impatiente
Est un si beau cadeau Moi j’ai le cœur qui chante
Et si fort tu me tente que je n’ai plus de poésie d'amour magique
Moi je suis dans l’attente et soudain j’ai trop chaud.
La chaleur de ton corps me donne des frissons
J’en tremble plus encore et j’en perds la raison
Et tu me fais le don d’un désir aussi fort
Qu’il vient donner le ton à la danse des corps.
Sous l’horizon brûlant de ton corps en dérive
Je m’égare follement pour rejoindre ta rive
Le cri qui te délivre me porte au firmament
A toi moi je me livre dans un ultime élan.
Quand revient la conscience, alanguis sur ta couche
Je savoure ta présence d’un baiser sur la bouche
Et ta main qui me touche déploie une telle science
Que moi je botte en touche et nos corps se fiancent.
Dans le courant joyeux qui nous fait nous aimer
Tu fais durer le feu de notre éternité
Et nos sens apaisés nous redevenons deux
Nos âmes ont déversées du bonheur sous nos cieux.
Je suis les maux dits vains
Je suis les maux dits vains,
Dans ma plus fière identité,
Les cris de l’écrivain
Jurant de dire vérité.
Heurté par un amour au détour d’un sourire
Qui laissa le cœur lourd à l’heure de partir,
J’ai planté cette épée à la pointe de plume
Pour que larmes versées décrivent l’amertume.
J’ai trempé cette plume à l’encre de la vie
Et j’ai trempé ma lame en m’armant de courage.
Les hordes qui consument le cœur et l’esprit
M’ont entouré de flammes et j’ai lâché ma rage.
Ici c’est mon champ de bataille,
Ici c’est mon havre de paix.
C’est tant de peurs sous la mitraille
Mais de courage à dire vrai.
Tout part d’un besoin nécessaire,
Avec moi-même être sincère
Pour déceler les parasites,
Les rêves traîtres et sans mérite.
Les maux dits vains c’est dans ma tête,
La folie douce que je conte
En des poèmes d'amour durs mais sans défaite
Et des mots doux sans moindre honte.
Il suffit de l’écrire
J’arrive à ne rien faire sans penser à elle,
J’arrive à me détendre et à tout oublier.
Je découvre mystère de ce plomb dans l’aile
Et commence à comprendre ce qui a merdé.
Je t’ai connue trop tard, tu m’as connu trop tôt,
C’était couru d’avance avec nos cœurs meurtris.
Quelquefois on s’égare à croire chaque poésie d'amour..
Qu’un pauvre amour vous lance et qu’on prend pour acquis.
Le sommeil, l’appétit, le moindre des délices…
Tout reprend cours enfin, je ne suis que sourire.
Je regoûte à la vie avec des cicatrices,
Quand la douleur revient il suffit de l’écrire.
Il suffit d'un espoir,
pour que l'amour revienne,
pour que ce qu'on ne voulait voir,
refasse un peu des siennes,
il suffit de pas grand chose,
pour rallumer la flamme,
et que les rêves d'osmose,
à nouveau nous désarment,
il suffit d'un retour,
pour un nouvel aller,
et qu'à nouveau le jour,
on recommence d'aimer,
il suffit d'une audace,
pour mettre fin à la peur,
de briser quelques glaces,
pour un battement de coeur,
il suffit d'un seul rêve,
pour que tout soit réel,
et que prenne fin la trêve,
des attentes mutuelles,
il suffit de toi et moi,
pour qu'à nouveau un nous,
efface les mauvais pas,
et rapproche malgré tout,
il suffit d'un espoir,
pour que l'amour revienne,
pour à nouveau y croire,
et puis ...que tout nous reprenne.
Si j'ai tort, ou raison
J'avance au jour le jour,en marchant patiemment,
j'observe les contours,de la voie du présent.
si je ris, si je pleure,c'est que le vent me pique les yeux,
il me balance d'heure en heure,pour s'amuser un peu.
j'avance parfois sereine,parfois en chancelant,
sous le poids de la peine ou la joie en dedans.
si j'ai tort ou raison,au fond je n'en sais rien,
j'évite le trop de questions,j'ai confiance en demain.
j'avance la nuit, le jour, en comptant mes erreurs,
mais en justesse, toujours,pour sauver mes valeurs,
si je tombe ou m'envole,ce n'est pas pour me briser,
si je recule ou je décolle,c'est juste pour mieux aimer,
j'avance au jour le jour, en me reposant parfois,
en faisant des détours, ou trop vite, quelquefois.
si j'ai tort ou raison,au fond je n'en sais rien,
mais de toute façon ..j'ai confiance en demain.
poésie d'amour pour elle :
Une femme est douceur,
Pas une chose en vitrine,
Elle s'habille de son coeur,
Et parfois se chagrine,
Elle est aussi sourire,
Quand le respect est là,
Oubliant ses soupirs,
Et puis tout ses combats,
Une femme est tendresse,
Pas un jouet divers,
Elle se fera caresse,
Pour qui semble sincère,
Elle est aussi amour,
A l'intérieur du corps,
Et frôlera les contours,
De l'homme son trésor,
Une femme est enfant,
Amante, mère et amie,
Et vit de sentiments,
Que son âme chérit,
Elle est aussi beauté,
Pour qui savoure son charme,
Elle n'a pas peur d'aimer,
Celui qui la désarme.
Notre rose a saigné _____________
L'aurore aux doigts de rose
Pénètre les ténèbres ensanglantées
Pourquoi m'as-tu offert cette rose ? ...
Regarde mes doigts en ont saigné ...
Voilà, ce que j'ose : je te dépose ...
Une rose blanche toute tachée
Ta fleur a saigné de mal, si j'ose
Le mal de se savoir non désirée...
.
Le jour est à se lever et je compose
Une mélodie qui restera inachevée!
Tel est ce cadeau que tu m'imposes
Je vais bien tendrement les arroser
Puis je nettoyerai ces douces roses
Qui jamais, n'ont rien demandé ....
Sinon de servir à quelque chose...
À être reçues d'une femme aimée....
Une femme pour papa.
Le regard que l’enfant vient poser sur son père
Lui dit qu’est-ce qu’on attend pour trouver une mère,
Qui saura nous aimer, et nous donner la joie
D’un enfant nouveau-né, on en rêve parfois.
Dans les yeux gris acier de l’homme qui sourit
L’enfant peut voir briller une si grande envie,
La douceur d’une femme est tout ce qu’il leur faut
Ils ont eu tant de drames l’espoir semble trop beau.
L’enfant a pris la main de son père adoré
Lui, il est bien certain qu’ils vont la ramener,
Il y a ce bonheur qui attend quelque part
Une maman pour son cœur mais sans aucun départ.
Il veut l’entendre rire ce père qui trop souvent
Lui cache dans un sourire ce qui fait son tourment,
Et la si belle Dame dont l’enfant a rêvé
Égayera son âme, son père sera aimé.
Et cet enfant qui rit est comme un doux soleil
Pour ce père sans envie qui pourtant s’émerveille,
L’espérance du fils ouvre celle du père
Rendant l’instant propice à l’amour qui éclaire.
Et C’est un regard bleu qui ouvre l’horizon
De ce temps si heureux au cœur de la maison,
Elle est bien là la Dame Et l’enfant qui sourit
Perçoit si bien la flamme qui les a réunit.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire