dimanche 26 avril 2015

poémes et amour


des poemes d'amour, des poèsie d'amour




Je décrocherai la lune, pour t'en faire cadeau
J'ornerai ton univers, d'une myriade d'étoiles
Tu comprendrais alors, que tu es mon héros
Avec mon sang, je te dessinerai une belle toile.

Je tenterai de m'approcher du soleil, pour toi
Afin de te ramener la chaleur, pour toujours
Tu rirais, j'en suis certaine de mes exploits
En lettres de feu, je graverai tout mon amour.

Je sèmerai à tout vent, l'espoir et la tendresse
Imaginant mes mains parcourant, ton visage
J'insufflerai dans mes doigts, ma délicatesse
Ce moment, deviendra le plus beau partage.

Femme jusqu'au bout des ongles et loubarde
J'opterai enfin, pour la coiffure qui te plaira
Que ton regard amoureux sur moi, s'attarde
Pour toi, mon bien-aimé, mon cœur battra.

Ton appel résonnera au-delà des distances
Tu es ma plage, mon horizon, ma maison
Viens, dans ma vie, tu seras de connivence
Pour nous, je quémande quelques saisons.


poémes et amour


Je ne vis plus, si ce n'est par ta vie ;
Tout mon esprit a passé par mon cœur ;
Je n'écris rien, ô ma céleste amie,
Que n'ait dicté notre commun bonheur ;

Quand ta beauté seule habite mon âme,
Quand près de toi s'écoule chaque jour,
Que tes beaux yeux me retracent ta flamme ;
Puis-je chanter si ce n'est pour l'amour !

Va, que mes pleurs touchent peu ta tendresse,
Craignons tous deux de précoces plaisirs,
Résiste-moi, résiste à ma faiblesse ;
N'accorde rien à mes brûlants désirs !

Promets beaucoup, fais-moi toujours attendre,
Prends tout mon temps, il n'appartient qu'à toi ;
Rendu parfait par l'Amour le plus tendre,
C'est à tes pieds que je suivrai ta loi.

Qu'un mot d'Amour de ta bouche mi-close
De mes serments soit l'unique soutien ;
Tel au zéphyr se dérobe la rose,
De sa pudeur enveloppant son sein.

Sois mon amie et non pas mon amante,
Que tes vertus éclipsent tes appas ;
Vivons toujours d'une flamme constante,
Aimons l'Amour mais ne nous aimons pas !


poémes et amour


Printemps, que me veux-tu ? pourquoi ce doux sourire,
Ces fleurs dans tes cheveux et ces boutons naissants ?
Pourquoi dans les bosquets cette voix qui soupire,
Et du soleil d'avril ces rayons caressants ?

Printemps si beau, ta vue attriste ma jeunesse ;
De biens évanouis tu parles à mon coeur ;
Et d'un bonheur prochain ta riante promesse
M'apporte un long regret de mon premier bonheur.

Un seul être pour moi remplissait la nature ;
En ses yeux je puisais la vie et l'avenir ;
Au souffle harmonieux de sa voix calme et pure,
Vers un plus frais matin je croyais rajeunir.

Ô combien je l'aimais ! et c'était en silence !
De son front virginal arrosé de pudeur,
De sa bouche où nageait tant d'heureuse indolence,
Mon souffle aurait terni l'éclatante candeur.

Par instants j'espérais. Bonne autant qu'ingénue,
Elle me consolait du sort trop inhumain ;
Je l'avais vue un jour rougir à ma venue,
Et sa main par hasard avait touché ma main.


poémes et amour


Comme la fleur sur la prairie,
Comme l'étoile au firmament,
J'ai, dans les yeux de mon amie,
Vu des pleurs briller doucement,
Comme l'étoile au firmament,
Comme la fleur sur la prairie.

Dans les ombres de ma souffrance,
Il me semblait qu'à l'horizon,
À travers ces pleurs, l'espérance
M'envoyait un premier rayon
Dans les ombres de ma souffrance.

Ah ! si l'on avait pu connaître
Le fond de ce penser rêveur !
Il contenait, pour moi peut-être,
Tout un avenir de bonheur...
Ma part dans ce penser rêveur,
Oh ! si j'avais pu la connaître !

Tout devint plus vague que tendre ;
Par elle un mot fut prononcé,
Mais, si bas qu'on ne put l'entendre :
Au ciel son œil s'était fixé...
Tout resta plus vague que tendre.

Et je n'en sais pas davantage
Aujourd'hui que le premier soir ;
Et, pour relever mon courage,
Je n'ai rien ! pas même l'espoir,
Demain mieux que le premier soir,
D'en savoir jamais davantage !

Ah ! l'on sonderait le mystère
De la mer et du firmament
Ou de l'Etna l'ardent cratère
Avant d'avoir pu seulement
D'une âme entrevoir le mystère !

Tout cœur de femme est un problème
Qu'on n'a que s'il veut se livrer ;
Et c'est lorsque le mieux on aime
Qu'on sait le plus mal pénétrer,
Tant qu'il ne veut rien nous livrer,
Ce charmant et fatal problème !

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