Poeme d'amour pour la femme de ma vie
Telle une constellation sur votre peau, posés
Quatre grains de beauté dans votre cou dénudé
Sous vos cheveux relevé mes yeux les aperçoivent
Comme eux aussi mes lèvres aimerait le gout suave
A venir embrasser ces petits satellites
Qui fond doucement rêver mon coeur qui s'excite
Ne trouvez vous pas beau la ces petits cailloux
Qui cherche qu'à remonter pour atteindre la joue
_Quel joli dessin? C'est... un souvenir de naissance?
_Oui, c'est comme un patrimoine génétique de mes sens!
Dans leur disposition ces taches traces un chemin
Linaire, fabuleux moi j'en fais mon festin...
poème pour l'auteure (femme)de blog camélia
Je me hâte de vous lire, car vos poèmes sont des festins
Ainsi, si j'ose vous le dire, je vous laisse la page un peu
Juste un moment, je ne suis pas loin, ne craignez rien
Juste quelques jours, peut être cinq ou voir même deux
Vous l'avez compris, je souhaite que les poème de
camélia@ soient mis en avant sur cette page... moi, je continue à écrire mais
je souhaite prendre un recule un petit peu! Bon , camélia! Arrête de faire la moue !! Je sais que tu ne voulais pas ! mais , j'aime bien que l'on fasse la part des choses. cette page, on l'a créait à deux et nous la faisons vivre à deux, ok mais je pense qu'il faut que je fasse un pas en arrière dans l'ombre, pas très loin de toi, je suis là, juste pour que nos lecteurs puissent te lire d'avantage. Je pense que ta poésie est très belles et que le printemps moins que tes yeux... moins que ta bouche qui me sourit, moins que tes cheveux qui m’enlèvent mes mots ...
A présent, Publies ! je suis là et je te contemple ...
Tous comme nos lecteurs , moi aussi ....
J'aime tes mots , je t'aime
Laisse moi imaginer que dans la chambre noire
Sur le lit, allongée, tu me ferai la surprise
Dans ton beau corps sous mes caresses en déboire
Je sentirai l'envie de ton invitation exquise
Une lueur allumée d'une bougie je viendrais
Juste m’asseoir à coté de ton corps de déesse
Ainsi tu m’exciterai mes yeux à te contempler
Suivre tes courbes pour laisser de l'iris une caresse
Et la lumière belle sur ton corps qui m'enflamme
Mes yeux ont ton image et je viens te toucher
Je me vois fondre telle mon ombre dans ton âme
D'amour sur ton rivage ou je viens succomber
Mon amour, peignez vos mots d'amour sur mon corps
Laissez-moi être votre plus belle toile au soleil d'or
Et remplissez-moi toutes mes pensées de vos trésors
Et je vous promets de vous satisfaire toujours et encore...
_Sur cette lumière qui brûle votre peau de mes mots
Je ferai d'un tableau votre corps si précieux
Sur lequel je viendrais en vous prenant d'assaut
N'oublie pas que nos coeurs ont battu de nos poèmes d'amour
Que sans eux aujourd'hui, on ne se connait pas
Sans ces mots qui sourient, ce battement sous nos peaux
N'aurait pas cette musique qui résonne dans nos voix...
N'oublie pas que nos yeux avaient mille etoiles
Que même sous les nuages, elles eclairaient nos vies
N'oublie pas que j'ai eu aux pensées les plus pâles
L'envie de te montrer le fin fond de ma nuit...
Que mon corps à tremblé au soleil de juillet
Dans cette allée de roses que le vent parfumait
Là où je t'ai rencontrée et ta fleur j'ai touché...
Tu ne peux oublier que mon coeur t'a aimé
Sur le vent du printemps qui souffle toute ma peine
Je te lancerai des mots pour te dire mes je t'aime
Il passera des villes, des tours et des sillages
Pour atteindre dans la nuit les cloches de ton village
Tu l'entendras sonner le glas jusqu'à ta porte
À frôler le clocher qui chante en quelque sorte
Ma peine devenue bonheur puisque je lui aie dit
Qu'à tes yeux je te donne les sourires de ma vie...
Avez-vous vu mon âme fuir
Le long des rues au firmament
A la recherche de nos plaisirs
Et de notre bonheur tout ce temps
Elle cherche en vain votre douceur
Et puis vos yeux qui papillonnent
Lorsque ma main glisse sur votre cœur
Se défile quand votre corps s'étonne
Vous acclamant tard dans la nuit
Ou dans un rêve où je survis
Je vois vos lèvres qui me sourient
Et des je t'aime que l'on se dit
Et dans la nuit je vois en vains
Sur l'horizon de notre amour
Les étoiles filantes et nos mains
Qui se retiennent tour à tour..
_Comment puis-je vous dire que je suis ému
Et que mon corps éveillé juste là à vos côtés
Martelle sans cesse cette envie D'être à côté de vous nu
Pour sentir la chaleur de nos peaux et mon coeur en arrêt
_Et moi comment pourrais-je vous dire
Qu'il est plaisant de vous voir ainsi
De vous sentir vous affoler de désir
De nous voir, entendus là inertes dans ce lit
_Alors, laissez-moi vous donner en votre âme de femme
La vague ou mon sang pulse sous mon être en frénésie
En pénétrant l'intime de tout ce qui m'enflamme
Caressant le pourtour jusqu'au centre de vos envies...
_Sera t-elle celle qui sait me faire voir les cieux ?
Celle où j'aime être emportée sous les draps
Dans un duel d'un corps à corps délicieux
Qui nous envoie valser dans une danse en émoi
_Dans cette complicité, je vous emmènerai voyager
À l'instant où dès lors nos coeurs explosent à toucher l'infini.
À sentir sous les draps la sueur de nos ventres mouillés
Cette pulsion qui vous libère des fantasmes de vos nuits ....
_J'aime cette invitation qui nous emmène à l'évasion
D'une jouissance au plaisir qui compose un festin
Ne me laissant pas indifférente sous la fusion
De notre amour lors d'un soupire, expulsé sans fin ...
_Je sens venir en moi comme la chaleur d'un volcan
Et tous ces tremblements remontant sur mon épicentre
Retenir je ne pourrais dans ses va et vient ou je répands
Ce bonheur où enfin dans toutes vos pensées je rentre
_Voilà que vos mots me pénètrent, à m'étourdir
Me laissant ivre, jusqu'à perdre conscience
Sous l'ardeur d'un gémissement, ou viennent s'ouvrir
Nos sentiments en accords éveillant tous nos sens ...
C’est avec ma douceur que je te regarde
Frémir de ta peau sous mes baisers mouillés
Sur votre intime désir où ma bouche lézarde
Découvrant chaque courbe qui vient se dévoiler
A mes yeux mais aussi à tout mon odorat
Jubilant de douceur de fondre à ton corps
Pour atteindre la passion de tes soupirs là !
Suppliant de rester, murmurer tes encore…
Là sens-tu revenir comme la sève renaît
Ressens-tu reflotter dans l'air sur ton rivage
Ma chaleur printanière que j'aime à te donner
Le vent chaud qui resouffle au rayon du soleil
Nos poèmes sur la mer ou l'on entend je t'aime
Le parfum odorant des fleurs pour ces abeilles
Qui bourdonnent nos chansons dans l'espace qu'elles sèment
C'est une saison bien belle, ces jours avant l'été
C'est nos coeurs qui se cherchent sur nos textes qui fleurissent
C'est un peu un trésor qu'on ne voudrait cacher
D'écrire sur nos peaux où la liberté s'imisse...
Aimeras-tu encore longtemps le goût sucré de mes baisers
La fougue et l'audace que j'attache pour ainsi te faire tournoyer
Dans l'hémisphère de ton cœur ou le mien vient s'y noyer
Et perdre sens jusqu'à mes peurs m'envoyer doucement valser
Aimeras-tu encore l'entrain que j'ai quand je te fais l'amour
En douceur, sauvage dans l'étreint pour te faire planer en retour
Vers les horizons de nos mers et ainsi voir un nouveau jour
Sur des soleils rouges qui se couchent sur nos destins à leur carrefour
M’aimeras-tu encore le soir dans tes pensées toutes confondues
A imaginer mon pouvoir, te déshabiller, te mettre à nu
De te toucher là dans tes rêves dans tes désirs qui s’évacuent
Par soupires au bord de tes lèvres ou l'écume de nos mots se mue…
Au rayon du soleil qui passait le matin
Illuminant la vie sur son si doux visage
Le feu de ses cheveux qui lui allait si bien
Réchauffait cette envie de partir en voyage
Comme de s’envoler, de partir très loin
De laisser, d’oublier, d’imiter cet oiseau
Cet être si joyeux qu’elle tenait dans ses mains
Et qui la regardait en écoutent ses mots...
Juste l’envie de s’enfuir, l’envie de liberté
Ou d’échanger sa vie, pour rejoindre son amour
De planer dans le ciel au soleil de l’été
De voyager sans cesse au fil des beaux jours
Elle lui donna alors le plus précieux message
Qu’elle lui dit en chantant et aussi en sifflant
« Bel oiseau dites-lui, que mon cœur fait naufrage
Et puis que je l’attends au retour du printemps »
Ses bras haut dans les cieux elle tourna sur elle-même
Ne sachant où aller pour libérer l’enjeu
Et dans un dernier cri : « dites-lui que je l’aime !!! »
L’animal s’envola faisant pleurer ses yeux…
Dans mes allées et mes venues,
Ce sont envolées derrière moi
Des morceaux de moi mis à nu
Juste quelques plumes de mon émoi
Ressenti toujours dans tes bras
Quand d’un tremblement je ne suis plus
Qu’un poète rêveur ici bas
A chantonner dans ton avenue
Cette mélodie aux mille vertus
Rien que le claquement de tes pas
Qui anime mon corps détenu
Dans l’image de nos ébats…
Entre vos jambes je m'avance et vous tiens à la taille
Pour frôler la douceur qui m'enflamme et m'assaille
Approcher de votre mont pour atteindre la faille
Soupirer à votre oreille vous dire ce qui me tiraille
Quand dans une idée folle vos habits là s'envolent
Dénudés, nos corps nus, et nos deux cœurs s'affolent
Je vous vois me sourire dans un regard frivole
Je ne peux me contenir, je pénètre votre pôle…
Dans une danse néphrétique je deviens votre maitre.
Entre vos cuisses glisse, embrasant la fenêtre
L’ouverture qui suscite les envies de mon être
A vous donner plaisir sans nulle faute, commettre…
Ô mon ange viens, juste là te blottir
Tout contre moi et mon cœur en délire
Et effleures-moi, touches mon désir
En te posant sur mon sein pour franchir
Mon plus bel émoi et sentir la tiédeur
De mon amour, tambouriner de bonheur
Sous ma peau, entends-tu sa ferveur ?
Celle de vouloir, peindre ses couleurs
Aux creux de tes bras, suspendant le temps
Dans un ébat de douceur, ou les sentiments
De nos mots colorent de rouge le feu ardent