Vous cherchez des très jolies mots et phrase poétiques et poèmes d'amour romantiques? voila une belle liste des très beaux phrases et mot poétiques et poèmes d'amour avec multiple façon pour dire je t'aime..
Des mots poétiques mélodieux venant vers moi,
Par le souffle généreux du vent
Berçant mon âme
Même dans ce froid si pénétrant
Je crois sentir ta main
Tout près de mon cœur,
Dans la douce caresse d'une feuille
Qui se meurt
Alors même si je dérive sur la rivière
De mon imagination,
Je voyage encore dans le lit
De nos belles émotions
Celles qui me transportent
Et m'apaisent un peu tous les jours
Dans la quintessence même de l'amour.
Le dire encore et toujours...
Le silence est lourd de tous ces mots poétiques non dits
Qui volent en suspens sommes-nous donc maudits
Ne pas savoir dire ces paroles douces
Dont on comprend le sens à peine on est mousse.
Je t'aime
De quoi avons nous peur pour tant nous en priver
Ces motspoétiques sur l'amour sont magiques à peine prononcés
Ils ouvrent tant de portes dans nos cœurs enfermés
Ils jettent tant de ponts sur des rives blessées.
Je t'aime
Alors entraînons nous souvent à les goûter
Plus forts que nos pudeurs, plus forts même que nos peurs
Ce sont des remèdes à bien de nos malheurs
Y a pas que les poètes pour nous y inviter
Je t'aime
Bien des façons existent pour passer ce message
Que l'on soit endiablé ou bien que l'on soit sage
Seule l'intention compte, bien au delà des mots poétiques
On habille l'amour de ces atours si beaux
Je t'aime
Ce n'est pas un calcul, ça vient du plus profond
C'est un élan si fort qu'il ne faut le brider
On se fait tant de mal souvent à le freiner
Que cet élan d'amour, devant lequel on fond
Peau discréte, tu renais cantatrice vibrante, grâce à mes caresses polissonnes posées sur ta corde sensible, à l'écoute de ma belle cantate.
De chatte sage , tu redeviens féline, griffures enfoncées dans mon cou, marque indélèbile de ta cambrure dévoilée.
Tu plonges en apné, dernier sursaut orgueilleux, quand tu offres à mes yeux, ta grotte interdite à tous publics. Silencieux,
J'écoute tes états d'amoureuse, quand farouche, tu tournais ta jungle devant des vantards, des ridicules.
Tu es redevenu reine de ta forteresse, la pensant en ruine, triste méprise aprés tant d annèes de solitude.
Avant toi, je n'étais pas avare de beaux récits, maintenant je n'ose plus, devant ton accord sans faille, ma menue et inventive.
Je resterai à jamais muet, devant ma faiblesse par tant d'ardeurs.
Tu bois enivré ce nectar oublié, velours et cotonneux, grappe de raisins juteux, croquée à pleines dents, devant ton assoiffé..silencieux.
On finirait par s'enfermer dans la solitude
À force de faire de l'absence une habitude
Quand on est seul on compte les heures
Quelques secondes durent des siècles
On repasse en boucle des moments de bonheur
Mais on sait bien que c'est un leurre
Elle est omniprésente cette peur
De tout perdre d'être abandonnée
Une souffrance s'installe dans le coeur
Qu ´on voudrait tant vouloir cesser
C'est une violence sans mot poétiques
Quand il vibre sans écho
On est si seul sans ce lien qui réconforte
Car l'amour ouvre grand des
portes
Et libère ce qui nous emporte
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Pour aimer pas besoin de comprendre
Il suffit d'ouvrir son coeur
D écouter de l'intérieur
Lui seul sait sonder la profondeur
De ce qui n'est pas audible de l'extérieur
Aimer c'est se libérer
Tous les aprioris les balayer
Aimer c'est surtout être interpellé
Sur la sensation d'exister
Mais pas confiné sur soi
Quand on se sent aimé
On s'approprie un autre soi
On en vient à davantage s'aimer
Car on découvre cette part de soi
Qu'on ne connaissais pas
Qui rejaillit adoré adulé
Et cela ouvre des perspectives
Beaucoup plus vaste presque infinies
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Même si l'amour un jour s'enfuit
Le coeur garde ses acquis
Il a la capacité de réinventer
Tout ce qui le remplit
Et qui l'a réjouit
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
L'amour lui ne s'enferme pas
Il a besoin d'espace
Il laisse tant de traces
Il ne part jamais loin
On retrouve son chemin
Comme le jour se lève chaque matin
L'amour renaît comme un refrain
Avoir aimer un jour
Nous apprend tant sur l'amour...
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
C'est une vraie capture
Mais pas une imposture
Le soin mutuel de chacun
Fait le lit d'un printemps qui revient
Et qui fait tant de bien
Qu'on fera tout pour qu'il dure
Les intentions les plus pures
Contiennent les ingrédients
D'un amour qui se maintient
Et la patience s ´apprend
Les liens de l'amour les retend
Le temps qui passe l'espoir le soutend
L'amour devient épanouissant
Et s'envisage durablement.
Le cœur a deux mains
Les utilise au quotidien
S’il rythme avec aimer
Ses deux mains ne peuvent semer
Que le bonheur d’autrui
Non une main construit
Et l’autre main détruit
Non une main irrigue
Et l’autre main intrigue
Non une main honore
Et l’autre main minore
Non une main caresse
Et l’autre main agresse
Le cœur a un cerveau
Il reconnaît ce qui vaut
Un vrai bijou un joyau
S’il se connecte à l’âme
Il garde sa mémoire sans nulle blâme
Il pense comment faire sourire
Non comment créer les soupirs
Il pense comment apporter grâce
Non comment apporter ce qui agace
Il pense comment panser la douleur
Non comment déclencher les pleurs
Il pense comment offrir plaisir
Non prendre plaisir à faire gésir
C'est l'automne, les feuilles tremblent,
La campagne se désassemble,
Les roses mélancoliques se fanent,
La nature gémit, un bruit diaphane
Touche certaines fleurs déjà défuntes.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
La peur de la nuit n'est qu'une feinte,
La lumière n'est qu'une vaine parade.
Les humains, dans un jour peu fade
Vont où vont ces fleurs séchées
Emportées par septembre et écorchées
Par l'automne qui bruite en silence.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
La terre ralentit les semences,
Les amours même s'embrasent,
L'univers flétrit et sèche son vase.
Le silence du monde est un bruit
Pour les âmes qui habitent la nuit.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Le froid mourra au déclin de la saison,
Je sais, l'azur retrouvera sa raison,
Je sais, le temps regagnera du temps,
Je sais, les fleurs renaîtront au printemps.
Mais je ne sais pas, âpre folie,
Quand rentrera ma mère du paradis.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Non, je ne suis pas orphelin de mère,
Ma mère vit, elle respire, elle erre
Dans mon univers, dans mon coeur.
Son silence est leurre, moqueur.
Non, le silence n'a de caducité,
La nuit, elle, est pleine de luminosité.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Il y a toujours au fond de la mort
Une petite vie tranquille et d'or,
Il y a toujours au fond de l'automne
Une petite chaleur grise et autonome,
Il y a toujours au fond du silence
Un bruit clair caché dans son essence.
Je ne serais jamais qu'une étrangère dans cette ville
Qui ne me connait pas, qui ne m'accepte pas
Je ne suis pas d'ici, je t'ai juste suivi
Toi qui as volé mon coeur, toi qui fais mon bonheur
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Debout à la fenêtre, je te regarde faire
Tu ne me vois pas, mais tu me devines
Tu te retournes, le sourire aux lèvres
Du bout des doigts tu m'envoies un baiser
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Je prends ce que tu me donnes avec générosité
Avec toi je m'abandonne, je me laisse aller
Tu es tout crotté, dehors il fait mouillé
Peu m'importe, je veux t'enlacer
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Je te suivrai jusqu'au bout de nos délices
Tes mains sur mes cuisses, ton bisou dans le cou
Et soudain je me sens d'ici, j'aime ce pays
Qui m'a offert l'amour, qui m'a offert l'envie.
Regarde le cœur comment réagir
Regarde où il peut s’assagir
Regarde où il peut rugir et où il peut rougir
Regarde où il veut toujours courir
Regarde qui il ne cesse de chérir
Tu sauras pour qui son cœur bat sans mentir
Regarde d’où il ne désire que partir
Regarde avec qui il ne peut compatir
Tu sauras de quel cœur il va bientôt sortir
Regarde qui il ne cesse de fleurir
Regarde qui il veut faire guérir
Tu sauras dans quel cœur il ne cesse de grandir
Regarde qui il fait souffrir
Regarde à qui il vole sourire
Tu sauras dans quel cœur il va peut être mourir
Regarde qui il ne cesse de munir
D’attention et d’affection le garnir
Tu sauras avec quel cœur il ne peut que s’unir
Il m'arrivait de promener
Quelques instants de nonchalance
Et de m'asseoir près d'un rocher
A regarder la mer qui danse.
Je restais telle une sirène
A contempler les flots bleutés
Attendre un bateau oublié
Que mon doux chant, à moi ramène.
De ci de là, quelques mouettes
Dans un ballet me survolaient
Passant au-dessus de ma tête
Comme pour mieux me saluer.
Soudain quelques larmes de pluie
Dessinaient sur le sable blanc
D'un pas léger comme le vent
Je courrais me mettre à l'abri.
Les gouttes d'eau se mélangeaient
Au bruit que fait le clapotis
Des vagues qui se balançaient
Alors que s'installait la nuit.
Nuit de rêve sous ciel enflammé
Coucher de soleil rougeoyant
Je restais là, émerveillée
Devant ce tableau chatoyant.
J'ai fait et j'ai défait ton écharpe de laine
J'ai cousu décousu ta chemise de soie
Je me suis endormie sur le fil de ma peine
Lorsque arrivait la nuit, que tu ne venais pas.
J'ai regardé le ciel, admiré les étoiles
Essayé d'y trouver quelque part ton regard
Mais je n'ai vu hélas, qu'un long tissu de voile
Qui recouvrait la nuit, sans que je puissse y voir,
J'ai peur de cet hiver, et de son manteau blanc
Des fenêtres fermées qui me coupent du temps
De ces nuits bien trop froides, dans le lin de tes draps
Qui gardent ton odeur, mais plus jamais tes bras.
Jamais plus l'oreiller où je posais ma tête
Pour être près de toi, ici se froissera
Il n'a plus que mes larmes qui coulent malgré moi,
Mes mains qui le caressent, en souvenir de toi.
Mon automne frissonne, ma chandelle s'éteint
Jamais plus ne fredonnent les oiseaux du jardin
Je vais devoir dormir, oublier si possible
Cet amour que pourtant, je croyais indicible.
Tu as posé l'échelle, au dessous du pommier
Puis tu m'as dit ma belle, si tu veux bien monter
Tu as tenu l'échelle et je me suis pliée
Aux barreaux bien que frêle, alors je suis grimpée.
Il y avait des pommes, tout là-haut par millier
Et sous le ciel d'automne, alors j'ai dégusté
Ce fruit juteux et tendre que j'ai affectionné
Pendant que sous l'échelle, mes jambes tu scrutais.
Quand perdant ton sang froid, obscédé par la scène
L'échelle tu lâchas, de même qu'un je t'aime
Ne sachant plus que faire, alors que je tombais
Tu proposas ton corps, pour le mien protéger.
Il n'en fallut pas plus à tes sens exaltés
Pour me faire comprendre ton désir de croquer,
Une pomme est tombée, du plus haut du pommier
Et comme Adam et Eve, nous l'avons savourée.
Oubliant qu'elle était la cause du péché !
Le ciel s'est entouré de larmes
Quand se lève le petit jour
L'orage tonne en un vacarme
Par la fenêtre entrebaillée,
Filtre un léger rai de lumière
Dites-moi donc ce qu'il en est
De ce bonheur si éphémère.
Me suis couchée un soir d'été
Avec des flonflons plein la tête
Quand l'automne m'a réveillée
Il n'était plus rien de la fête.
Pleurent saisons sur mes amours
Larmes de pluie, perles de jour
Je vous efface de la main
Laissant s'enfuir tous mes chagrins.
Passer presque toutes ses journées à délirer,
Sans savoir se souvenir ce qu'on désire,
Au même instant s'étonner de rire et pleurer,
Sans raison de pleurer et sans raison de rire.
Redouter le soir, et sentir les larmes couler,
Sortir le mouchoir et chercher à se confier,
Avoir mal au ventre, craindre de se plaindre,
Et affirmer son manque sans jamais geindre.
Se montrer tour à tour discret et sincère,
Trembler en sacrifiant, toute sa vie entière,
Timide, audacieux, au point de se laisser faire,
Et se conforter sans bruit dans de tristes prières.
Adorer, détester ses tracas, ses tourments,
Puis s'effrayer de voir arriver le printemps,
Glisser légèrement sur la pente savonneuse,
Et entrouvrir sa porte à la grande faucheuse.
Être le jour, la nuit, en guerre avec soi-même,
Soupçonner son entourage qu'on devrait chérir,
Surtout ne rien dire ni ressentir quand on aime,
Et mourir lentement quand on voit son amour partir…
Sur le quai d’une gare
Tu me laisses sur le quai d’une gare
Et je repars hagard
Je te laisse mon cœur
Cueille-le avec bonheur
Afin qu’il vive de ton souvenir
Dans ce train je revois chaque moment
Ces sourires, ces rires, ces baisers encore présents
Qui me réchauffent pour les jours solitaires à venir
Mon cœur en liesse attend ton retour
Sur ce quai d’un baiser tendre
Sans rien attendre en retour
Seulement ta présence chaleureuse
Pour toujours
Si tu le veux
Poème d'amour
J'entends encore le son de ta voixDes mots poétiques mélodieux venant vers moi,
Par le souffle généreux du vent
Berçant mon âme
Même dans ce froid si pénétrant
Je crois sentir ta main
Tout près de mon cœur,
Dans la douce caresse d'une feuille
Qui se meurt
Alors même si je dérive sur la rivière
De mon imagination,
Je voyage encore dans le lit
De nos belles émotions
Celles qui me transportent
Et m'apaisent un peu tous les jours
Dans la quintessence même de l'amour.
Le dire encore et toujours...
Le silence est lourd de tous ces mots poétiques non dits
Qui volent en suspens sommes-nous donc maudits
Ne pas savoir dire ces paroles douces
Dont on comprend le sens à peine on est mousse.
Je t'aime
De quoi avons nous peur pour tant nous en priver
Ces motspoétiques sur l'amour sont magiques à peine prononcés
Ils ouvrent tant de portes dans nos cœurs enfermés
Ils jettent tant de ponts sur des rives blessées.
Je t'aime
Alors entraînons nous souvent à les goûter
Plus forts que nos pudeurs, plus forts même que nos peurs
Ce sont des remèdes à bien de nos malheurs
Y a pas que les poètes pour nous y inviter
Je t'aime
Bien des façons existent pour passer ce message
Que l'on soit endiablé ou bien que l'on soit sage
Seule l'intention compte, bien au delà des mots poétiques
On habille l'amour de ces atours si beaux
Je t'aime
Ce n'est pas un calcul, ça vient du plus profond
C'est un élan si fort qu'il ne faut le brider
On se fait tant de mal souvent à le freiner
Que cet élan d'amour, devant lequel on fond
Mots romantique
Silencieux, j'écoute ta désireuse, étincelle de ton feu intime, que tu croyais éteint.Peau discréte, tu renais cantatrice vibrante, grâce à mes caresses polissonnes posées sur ta corde sensible, à l'écoute de ma belle cantate.
De chatte sage , tu redeviens féline, griffures enfoncées dans mon cou, marque indélèbile de ta cambrure dévoilée.
Tu plonges en apné, dernier sursaut orgueilleux, quand tu offres à mes yeux, ta grotte interdite à tous publics. Silencieux,
J'écoute tes états d'amoureuse, quand farouche, tu tournais ta jungle devant des vantards, des ridicules.
Tu es redevenu reine de ta forteresse, la pensant en ruine, triste méprise aprés tant d annèes de solitude.
Avant toi, je n'étais pas avare de beaux récits, maintenant je n'ose plus, devant ton accord sans faille, ma menue et inventive.
Je resterai à jamais muet, devant ma faiblesse par tant d'ardeurs.
Tu bois enivré ce nectar oublié, velours et cotonneux, grappe de raisins juteux, croquée à pleines dents, devant ton assoiffé..silencieux.
On finirait par s'enfermer dans la solitude
À force de faire de l'absence une habitude
Quand on est seul on compte les heures
Quelques secondes durent des siècles
On repasse en boucle des moments de bonheur
Mais on sait bien que c'est un leurre
Elle est omniprésente cette peur
De tout perdre d'être abandonnée
Une souffrance s'installe dans le coeur
Qu ´on voudrait tant vouloir cesser
C'est une violence sans mot poétiques
Quand il vibre sans écho
On est si seul sans ce lien qui réconforte
Car l'amour ouvre grand des
portes
Et libère ce qui nous emporte
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Pour aimer pas besoin de comprendre
Il suffit d'ouvrir son coeur
D écouter de l'intérieur
Lui seul sait sonder la profondeur
De ce qui n'est pas audible de l'extérieur
Aimer c'est se libérer
Tous les aprioris les balayer
Aimer c'est surtout être interpellé
Sur la sensation d'exister
Mais pas confiné sur soi
Quand on se sent aimé
On s'approprie un autre soi
On en vient à davantage s'aimer
Car on découvre cette part de soi
Qu'on ne connaissais pas
Qui rejaillit adoré adulé
Et cela ouvre des perspectives
Beaucoup plus vaste presque infinies
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Même si l'amour un jour s'enfuit
Le coeur garde ses acquis
Il a la capacité de réinventer
Tout ce qui le remplit
Et qui l'a réjouit
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
L'amour lui ne s'enferme pas
Il a besoin d'espace
Il laisse tant de traces
Il ne part jamais loin
On retrouve son chemin
Comme le jour se lève chaque matin
L'amour renaît comme un refrain
Avoir aimer un jour
Nous apprend tant sur l'amour...
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
C'est une vraie capture
Mais pas une imposture
Le soin mutuel de chacun
Fait le lit d'un printemps qui revient
Et qui fait tant de bien
Qu'on fera tout pour qu'il dure
Les intentions les plus pures
Contiennent les ingrédients
D'un amour qui se maintient
Et la patience s ´apprend
Les liens de l'amour les retend
Le temps qui passe l'espoir le soutend
L'amour devient épanouissant
Et s'envisage durablement.
Phrases poétiques sur l'amour
Le cerveau du cœur reflète ses actions les deux mains du cœur ne peuvent être en contradiction !!Le cœur a deux mains
Les utilise au quotidien
S’il rythme avec aimer
Ses deux mains ne peuvent semer
Que le bonheur d’autrui
Non une main construit
Et l’autre main détruit
Non une main irrigue
Et l’autre main intrigue
Non une main honore
Et l’autre main minore
Non une main caresse
Et l’autre main agresse
Le cœur a un cerveau
Il reconnaît ce qui vaut
Un vrai bijou un joyau
S’il se connecte à l’âme
Il garde sa mémoire sans nulle blâme
Il pense comment faire sourire
Non comment créer les soupirs
Il pense comment apporter grâce
Non comment apporter ce qui agace
Il pense comment panser la douleur
Non comment déclencher les pleurs
Il pense comment offrir plaisir
Non prendre plaisir à faire gésir
C'est l'automne, les feuilles tremblent,
La campagne se désassemble,
Les roses mélancoliques se fanent,
La nature gémit, un bruit diaphane
Touche certaines fleurs déjà défuntes.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
La peur de la nuit n'est qu'une feinte,
La lumière n'est qu'une vaine parade.
Les humains, dans un jour peu fade
Vont où vont ces fleurs séchées
Emportées par septembre et écorchées
Par l'automne qui bruite en silence.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
La terre ralentit les semences,
Les amours même s'embrasent,
L'univers flétrit et sèche son vase.
Le silence du monde est un bruit
Pour les âmes qui habitent la nuit.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Le froid mourra au déclin de la saison,
Je sais, l'azur retrouvera sa raison,
Je sais, le temps regagnera du temps,
Je sais, les fleurs renaîtront au printemps.
Mais je ne sais pas, âpre folie,
Quand rentrera ma mère du paradis.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Non, je ne suis pas orphelin de mère,
Ma mère vit, elle respire, elle erre
Dans mon univers, dans mon coeur.
Son silence est leurre, moqueur.
Non, le silence n'a de caducité,
La nuit, elle, est pleine de luminosité.
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Il y a toujours au fond de la mort
Une petite vie tranquille et d'or,
Il y a toujours au fond de l'automne
Une petite chaleur grise et autonome,
Il y a toujours au fond du silence
Un bruit clair caché dans son essence.
Je ne serais jamais qu'une étrangère dans cette ville
Qui ne me connait pas, qui ne m'accepte pas
Je ne suis pas d'ici, je t'ai juste suivi
Toi qui as volé mon coeur, toi qui fais mon bonheur
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Debout à la fenêtre, je te regarde faire
Tu ne me vois pas, mais tu me devines
Tu te retournes, le sourire aux lèvres
Du bout des doigts tu m'envoies un baiser
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Je prends ce que tu me donnes avec générosité
Avec toi je m'abandonne, je me laisse aller
Tu es tout crotté, dehors il fait mouillé
Peu m'importe, je veux t'enlacer
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Je te suivrai jusqu'au bout de nos délices
Tes mains sur mes cuisses, ton bisou dans le cou
Et soudain je me sens d'ici, j'aime ce pays
Qui m'a offert l'amour, qui m'a offert l'envie.
Texte poétique sur l'amour
Les actions sont bavardes juste regarde …Regarde le cœur comment réagir
Regarde où il peut s’assagir
Regarde où il peut rugir et où il peut rougir
Regarde où il veut toujours courir
Regarde qui il ne cesse de chérir
Tu sauras pour qui son cœur bat sans mentir
Regarde d’où il ne désire que partir
Regarde avec qui il ne peut compatir
Tu sauras de quel cœur il va bientôt sortir
Regarde qui il ne cesse de fleurir
Regarde qui il veut faire guérir
Tu sauras dans quel cœur il ne cesse de grandir
Regarde qui il fait souffrir
Regarde à qui il vole sourire
Tu sauras dans quel cœur il va peut être mourir
Regarde qui il ne cesse de munir
D’attention et d’affection le garnir
Tu sauras avec quel cœur il ne peut que s’unir
Il m'arrivait de promener
Quelques instants de nonchalance
Et de m'asseoir près d'un rocher
A regarder la mer qui danse.
Je restais telle une sirène
A contempler les flots bleutés
Attendre un bateau oublié
Que mon doux chant, à moi ramène.
De ci de là, quelques mouettes
Dans un ballet me survolaient
Passant au-dessus de ma tête
Comme pour mieux me saluer.
Soudain quelques larmes de pluie
Dessinaient sur le sable blanc
D'un pas léger comme le vent
Je courrais me mettre à l'abri.
Les gouttes d'eau se mélangeaient
Au bruit que fait le clapotis
Des vagues qui se balançaient
Alors que s'installait la nuit.
Nuit de rêve sous ciel enflammé
Coucher de soleil rougeoyant
Je restais là, émerveillée
Devant ce tableau chatoyant.
J'ai fait et j'ai défait ton écharpe de laine
J'ai cousu décousu ta chemise de soie
Je me suis endormie sur le fil de ma peine
Lorsque arrivait la nuit, que tu ne venais pas.
J'ai regardé le ciel, admiré les étoiles
Essayé d'y trouver quelque part ton regard
Mais je n'ai vu hélas, qu'un long tissu de voile
Qui recouvrait la nuit, sans que je puissse y voir,
J'ai peur de cet hiver, et de son manteau blanc
Des fenêtres fermées qui me coupent du temps
De ces nuits bien trop froides, dans le lin de tes draps
Qui gardent ton odeur, mais plus jamais tes bras.
Jamais plus l'oreiller où je posais ma tête
Pour être près de toi, ici se froissera
Il n'a plus que mes larmes qui coulent malgré moi,
Mes mains qui le caressent, en souvenir de toi.
Mon automne frissonne, ma chandelle s'éteint
Jamais plus ne fredonnent les oiseaux du jardin
Je vais devoir dormir, oublier si possible
Cet amour que pourtant, je croyais indicible.
Tu as posé l'échelle, au dessous du pommier
Puis tu m'as dit ma belle, si tu veux bien monter
Tu as tenu l'échelle et je me suis pliée
Aux barreaux bien que frêle, alors je suis grimpée.
Il y avait des pommes, tout là-haut par millier
Et sous le ciel d'automne, alors j'ai dégusté
Ce fruit juteux et tendre que j'ai affectionné
Pendant que sous l'échelle, mes jambes tu scrutais.
Quand perdant ton sang froid, obscédé par la scène
L'échelle tu lâchas, de même qu'un je t'aime
Ne sachant plus que faire, alors que je tombais
Tu proposas ton corps, pour le mien protéger.
Il n'en fallut pas plus à tes sens exaltés
Pour me faire comprendre ton désir de croquer,
Une pomme est tombée, du plus haut du pommier
Et comme Adam et Eve, nous l'avons savourée.
Oubliant qu'elle était la cause du péché !
Mots poétique
Comme il a plu sur mes amoursLe ciel s'est entouré de larmes
Quand se lève le petit jour
L'orage tonne en un vacarme
Par la fenêtre entrebaillée,
Filtre un léger rai de lumière
Dites-moi donc ce qu'il en est
De ce bonheur si éphémère.
Me suis couchée un soir d'été
Avec des flonflons plein la tête
Quand l'automne m'a réveillée
Il n'était plus rien de la fête.
Pleurent saisons sur mes amours
Larmes de pluie, perles de jour
Je vous efface de la main
Laissant s'enfuir tous mes chagrins.
Passer presque toutes ses journées à délirer,
Sans savoir se souvenir ce qu'on désire,
Au même instant s'étonner de rire et pleurer,
Sans raison de pleurer et sans raison de rire.
Redouter le soir, et sentir les larmes couler,
Sortir le mouchoir et chercher à se confier,
Avoir mal au ventre, craindre de se plaindre,
Et affirmer son manque sans jamais geindre.
Se montrer tour à tour discret et sincère,
Trembler en sacrifiant, toute sa vie entière,
Timide, audacieux, au point de se laisser faire,
Et se conforter sans bruit dans de tristes prières.
Adorer, détester ses tracas, ses tourments,
Puis s'effrayer de voir arriver le printemps,
Glisser légèrement sur la pente savonneuse,
Et entrouvrir sa porte à la grande faucheuse.
Être le jour, la nuit, en guerre avec soi-même,
Soupçonner son entourage qu'on devrait chérir,
Surtout ne rien dire ni ressentir quand on aime,
Et mourir lentement quand on voit son amour partir…
Sur le quai d’une gare
Tu me laisses sur le quai d’une gare
Et je repars hagard
Je te laisse mon cœur
Cueille-le avec bonheur
Afin qu’il vive de ton souvenir
Dans ce train je revois chaque moment
Ces sourires, ces rires, ces baisers encore présents
Qui me réchauffent pour les jours solitaires à venir
Mon cœur en liesse attend ton retour
Sur ce quai d’un baiser tendre
Sans rien attendre en retour
Seulement ta présence chaleureuse
Pour toujours
Si tu le veux
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