Toutes les roses sont noires, sans espoirs,
Et les rêves sont bleu, elles représentent l’infini,
Comme l’horizon, oh non, ne me dit pas que c’est fini,
Ça n’a même pas commencé, on peut mettre fin à un conte de fée,
J’ai rêvé de tes bras si longtemps,
Maintenant que tu es là, pendant,
Des nuits entières, j’ai rêvé de tes bras,
Maintenant que tu es là, tu ne me vois pas,
Pourquoi ça fait mal? Une aiguille au cœur,
Ce n’est pas possible de ressentir autant de malheur,
Je ne te connais même pas, tu aurais peut-être pu me sauver,
Et qui sait, combien j’ai besoin d’être sauver,
La vérité, personne ne l’a connaît,
Mais on dirait que toi, tu peux lire en mes yeux,
Troublante révélation,
Éternel passion,
C’est pour ça, que tu ne peux pas t’en aller,
Tu ne peux pas m’oublier, tu es partit,
Tu m’as quitté pour mieux me retrouver,
C’est ça le fin mot de l’histoire, tu es un nouveau départ,
Mon nouveau départ.
Toutes les roses sont noires, sans espoirs,
Et les rêves sont bleu, elles représentent l’infini,
Comme l’horizon, oh non, ne me dit pas que c’est fini,
Ça n’a même pas commencé, on ne peut mettre fin à un conte de fée,
Affleurant d'émotions incertaines et distantes
Les heures étirées de ses tout premiers pas
L'enfance se désole de sa marche déviante
Et au gré du hasard un matin elle s'en va…
Exigeant de ses mots douceurs qui la consolent
En n'offrant de ses phrases que le vain des combats
L'enfance se distrait de jardins en écoles
En oubliant déjà que demain elle s'en va….
Effacée d'un amour dont les fleurs sont trop bleues
Et voulant à jamais en retrouver la foi
L'enfance se consume en amante de peu
Ignorant pour autant le jour où elle s'en va…
Hésitante ou confiante entre vents et marées
Qui sont du cours des ans bonheurs ou désarrois
L'enfance se replie et s'endort rassasiée
Pour découvrir bien tard qu'à regrets elle s'en va…
Esquissée d'un regard émergeant d'Alzheimer
Dans l'absolu du vide en l'esprit mis à bas
L'enfance vient offrir à ce vieillard à terre
Les larmes et les rires du temps des années fières
Et devine à présent que ce soir elle s'en va….
Un jour sans te voir
C'est un matin sans soleil.
Ou tout deviens noir
Ou tout deviens pareil
Un jour sans t'entendre
C'est un après midi bien triste
Ou je ne fais qu'attendre
Ou il n'y a que l'amour qui subsiste
Un jour sans te toucher
C'est un soir sans lune
Ou rien ne sert de se coucher
Ou seule ton absence m'importune
Un jour sans toi
C'est un royaume sans roi
C'est un homme sans foi
C'est une vie sans loi.
Mon amour perdu
Où es-tu cher inconnu de mon cœur ?
Celui qui a traversé mon cœur,
En le laissant en pleurs comme la pluie qui tombe du ciel.
Nos yeux se sont croisés et perdus à jamais.
Tu étais mon premier et mon dernier
Pour qui mon cœur bat et s'accroche.
L'homme de ma vie, de mes rêves et de mes pensées.
L'homme à qui j'ai donné mon trésor.
L'homme pour qui je pleure et je meurs.
Je t'aime pour toujours et pour jamais !!
Quand on sait que rien n'y ferait
Pas même les mots de ceux a qui l'on tiens
Le cœur petit a petit s'éteint...
La joie qui file et qui s'envole
Abattu par toutes ces paroles
Plus l'envie d'aimer quoi que ce soit
Je ne suis plus vraiment moi ...
Les souvenir qui font tant de mal
Les marques sur mon corps toutes pales
Les fantômes qui me hante jour et nuit
Mais qui se sont enfuit...
Je suis un peu perdu, juste inconsolable
Tous ces souvenir a jamais incassables
Mon cœur qui se referme en laissant les plaies
De la haine, de la colère sans les soigner...
Une pensée noire,
Quelque chose qui ne me ressemble pas,
L'abandon de soi,
J'ai peine de tellement de choses,
Je me sens tout à coup ivre,
Je m'aperçois que ma vie n'est pas rose,
J'ai le mal de vivre,
Je prends soudainement un couteau,
Je fais pleurer mes veines,
Je sais que ce n'est pas beau,
Mais il n'y a aucune chance que le bonheur revienne,
Je pensais en avoir fini,
Je qualifiais tout cela de "passé",
C'est le silence sans aucun cri,
Et je réalise qu'il ne m'a jamais quittée,
Maintenant il est trop tard,
N'essayez de m'aider en aucune sorte,
Perdez toutes notions d'espoir,
Ca y est... Je suis morte.
La mort va nous prendre enfin
Ensemble nous mourrons, seuls,
Jamais ne nous reverrons, seuls
Au-delà, au-delà nous sommes
Ensemble nous brûleront, moi
T’aimant comme une pauvre pomme
Et toi, seule, qui ne m’aimais pas
Ton serviteur dévoué pleure
Car il a échoué sans toi
Et maintenant, aujourd'hui tu meurs
Je ne peux pas vivre sans toi
Au-delà, au-delà je meurs
Mais toi tu vivras encore, non?
Non bien sur, parce qu'il est l'heure
La mort ignore le pardon
Nous mourrons et la lumière noire est si terne
Pourquoi ce lot infâme, cette mort aussi triste?
Pour comprendre combien les mourants nous bernent
Et enfin se dire que rien n'est plus triste
Nous avons dis adieu à nos rêves d’enfant
A nos espoirs brisés et à tous nos tourments
Et nous avons fermé la porte du jardin
Sur nos mots échangés et sur tous nos chagrins
La terrasse esseulée se souvient de nos rêves
De toutes nos batailles et aussi de nos trêves
Nous aimions tous les deux les roses trémières
Pour leur douce majesté et pour leurs tiges altières
Tu n’as pas su me dire, je n’ai su t’écouter
Nous nous sommes éloignés chacun de son côté
Nous nous laissions bercer par le chant du matin
Mais j’ai lâché ta main au détour du chemin.
Tristesse d'amour
Quand on est triste d'amour
On prend du recule,
On tient plus à la vie.
Ce sont nos entrailles qui s'enflamment sans fumé.
On a envie de pleurer,
De crier fort,
De s'enfuir vers l'inconnu et errer.
Quand on est triste d'amour
On suit nos propres pensées,
On s'éloigne puis on s'égare entre les dédales de la solitude.
On change de régime et d'habitude
On mange au tremblement et on boit dans l'angoisse et l'inquiétude.
Quand on triste d’amour,
C'est le cœur qui se ronfle de mélancolie.
C'est le sang qui se gèle et se couvre d'embolies.
C'est l'amertume qui nous fixe puis nous enchaîne et nous délivre à la folie.
Quand on est triste d’amour,
On devient esclaves de nos souvenirs et cauchemars ressuscités d'un lointain passé
Amour
Rêve avec moi
Car je crève sans toi
Quand disparaissent tes atours
S’élèvent des ciels noirs griffant mes mers
Et le glaive de ton absence en moi s’insère….
Ma belle
Muse de vers
Toi, tu es sentinelle
De mes nuits libres de l’enfer
Abri oxydant, le soleil de l’est
Se levant sur ton tendre sourire céleste….
Tes yeux,
Illimitable
Lagon silencieux
Chatoiement incommensurable,
Où se reflète l’immortalité..
De l’obscurité de nos nuits de voluptés….
En rime
Mes mots rêveurs
Sur les tiens s’impriment
Pour devenir vagabonds conteurs
De mes tristesses quand je suis sans toi
Et de l’ivresse du temps passé dans tes bras.
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