mardi 22 mars 2016

10 poèmes d'amour coquins

Poèmes d'amour coquins: Dans mon rêve cette nuit, j’ai parcouru ton corps,

plus ou moins ébloui, à la recherche d’un trésor.
A tes formes si jolies, j’ai trouvé un diamant
Un caillou mystérieux ou ton corps simplement.
Et face à ta silhouette, à tes formes si pures,
J’ai succombé ainsi au chemin de la luxure
A ton amour quand je le vois déshabillée.
Nue devant moi, ton âme ! je ne peux que savourer !
De tes lèvres si douces à la fraîcheur de tes seins
De la courbe de tes hanches à la chute de tes reins,
Mes nuit sucrées connaissent tout le goût de ton corps
Ta fleur que je butine, tes arômes et plus encore.
Tes Senteurs sucrées s’imprègnent dans ma longue nuit,
Ou doucement dans mon rêve tout s’évapore ainsi
La flamme suprême de ma vie redonnant à mon corps
Cette envie folle de venir me plonger dans tes accords …

Sur le marbre fragile,
Je dessine en gestes répétés,
Les courbes d'un corps à corps.
Pas de témoin,
Juste le noir des heures pleines.
Je trace la forme sombre d'ébène du lit,
De ces deux amants aux souffles maudits,
Qui se sont aimé au silence mortuaire.
Aux contours de mes mains,
Des ombres folles s'agitent,
Elles veulent goûter à l'espace de la peau.
Sous mes traits l'intime se fait lèvre rêveuse,
Les draps de cet instant s'ouvrent sous un désir,
Naître nu d'un voeu sous l'esquisse de l'amour.

Pénètre mon être

Ventre allongé sur ton lit,
dénudé de tous mes habits,
je t’attends submergé d’envie.
Au-dessus du chevet noir,
je m’aperçois dans un miroir.
Je me regarde pour revoir
ces ébats qu’on va pratiquer,
ton corps que je vais contempler,
ainsi que toute ta beauté.
Un, deux, et trois pas résonnent comme une pulsation musicale.
Soudain... je ressens le réveil de mes pulsions animales.
Tu t’avances. Tu es là pour réaliser mon fantasme :
celui de l’excitant plongeon dans mes profondeurs anales.
Pénètre mon être. Glisse-toi en moi.
Apprends-moi de nouvelles sensations que je n’ai pas osé vivre par le passé.
Pénètre mon être. Entre en mon séant.
Chevauche-moi comme un cheval. Jouer au doué cavalier, j’en ai plus qu’assez !
Pénètre mon être. Échangeons nos positions.
Changeons nos habitudes sexuelles. Essayons aussi de ne pas nous tracasser.

J'ai cette envie malsaine de soudoyer le ciel,
Ce désir qui s'emmêle aux brumes de son lit,
Quitte à offrir mon corps au diable de la nuit,
Et que la fièvre blanche dénonce l'âme infidèle.
A crever de mes lames l'antre de son voile,
Pour y apercevoir l'Eden rouge, interdit,
Je me damne et je lèche l'air jouissif de ce mal,
Où les lèvres de Satan ont le goût de ta vie.

Pour votre plaisir je vagabonde,

Sur le grain infini de votre peau,
D'un oeil expert je vous sonde,
Pour découvrir ce qui est beau.
Sensuelles sont alors mes mains,
Naviguant sur l'eau de vos désirs,
Le touché immédiat est billet de plaisir,
Et vaut bien qu'on laisse partir demain.
Dessiner sous mes doigts les contours,
De vos rêves accrochés à mes yeux,
D'un regard me faire aimer toujours,
Et dans vos yeux deviner le bleu.
Sous votre charme je déclame,
Que nos corps sont fous et ivres,
Mais qu'un seul autre vienne et condamne,
Ce grand frisson qui nous délivre.
Je mets des couleurs au sombre,
Vous m'offrez des sourires en partage,
Et tous ces poèmes d'amour coquins plus ou moins sages,
Se font caresses dans la pénombre.

Il est son aile

Il est son aile
Sur laquelle, elle se repose
Il ne vit que pour elle
D’un baiser qu’elle lui dépose
Il est l’amour le plus bel
Sur la vague, elle se repose
Souhaitant ce moment éternel
Jusqu’à la mort, elle le suppose
Dans ce jeu très sensuel
Tous les soirs, ils composent
Une tenue sans jarretelle
Tendrement le lui propose
En lui offrant ses mamelles
Volontiers, il en dispose
Elle n’est plus pucelle
Ils se superposent
Dans ce merveilleux rituel
Rien ne les oppose
Juste l’amour bien réel
Aux positions qu’ils transposent
Ce jeu en vaut la chandelle
À demain, elle se l’impose
S’ils devaient noter l’échelle
7éme ciel, ils apposent…

Etreintes innocentes

Tendresse
Délicatesse
Sensualité
De leurs corps enlacés
Beauté
Fragilité
Dans leurs caresses
Qui avec adresse
Se frôlent continuellement
Amoureusement
Leurs peaux frissonnent
Leurs mains s’emprisonnent
Les bouches se cherchent avec passion
Au-delà de la raison
Etreintes fusionnelles
Presque irréelles
Chancelantes
Tremblantes
Elles se tiennent
Se retiennent
A cet amour naissant
Innocent
Au désir brûlant
Qui les consume entièrement

Douceur d’un tapis
Sa peau est un tapis persan
Qui devient douce en la caressant
un peu comme une étoffe
lorsqu'il devient son prof
elle aurait pu etre de la flanelle
dans une entente passionnelle
Elle est une femme admirable
Etre à ses côtés c’est formidable.
Jouant souvent son rôle
Parfois pas toujours drôle
Elle vient d’être touchée
Il ne veut pas l’ébranlée.
Du bout des doigts, il l’effleure
Il ne voit pas qu’elle pleure
Ce sont des larmes de joies
Qui coulent sur la soie.
De ces moments instantanés
Qu’il sait si bien tanner
Le charme qu’il déploie
Lorsque vous êtes sa proie
Il vous l’offre en amour
Sans contrainte, ni détour…

"Mon cher ami,

Je vous écris à nouveau, un baiser à la main car l'ennui me tenaille et je doute de demain, je ne cherche plus à briller, sans vos doigts ma terre n'est plus fertile et mon lit n'a plus d'enfant.
Comment vous dire, cet espace perdu, l'inutile de mes bras sans vous ? Je cède à la démence, mes soirs ont des fruits qui pleurent votre nom sur la table de la nuit, l'herbe a la couleur froide de la solitude et même mon ombre ne me suit plus sur les cailloux blancs de ma tristesse.
Parmi les fleurs, les parfums se meurent sur la ligne de mon présent,
à quoi bon regarder la mer et n'y voir que le néant, je vous voudrais
sur mon corps mais vous n'êtes qu'un absent.
Mon cher ami, ici ma voix croise le vent, elle a la beauté de la mort, la pureté d'un innocent, comme j'aimerais déposer son cristal sur les rives de votre être amant, que Dieu me pardonne de vouloir vous aimer encore sur les marches de son temple. Vous guidiez la brise
de mes jours, nos soeurs tenaient le bouclier qui repoussait l'absence, vous étiez le lait de l'aurore et la mère de l'aube et vous écrire est un acte douloureux car je me retrouve orpheline de votre amour.
Mon cher ami, ce bel été vous ressemble et je veux bien mourir au soleil de vos courbes, regardez donc à quel point mes étoiles attendent de vous rencontrer à nouveau, soyez sensible à l'heure promise et aux poèmes d'amour coquins  qui se couchent à vos pieds, donnez-moi la robe d'un espoir pour que je vous plaise, insouciante de l'avenir, offrez encore une fois votre peau à la fragilité de la mienne, votre bouche à la blancheur de ma nuque ainsi des rêves bleus pousseront à jamais dans le délicat jardin de mon coeur."

Délicieuse attente

Transparence
Elégance
De blanc vêtue
Presque nue
Elle attend
Impatiemment
Le regard
Qui s’égare
Dans cette immensité
Cette douce clarté
Son amant
Eperdument
Son corps en détresse
Se presse
Vibrante
En attente
De ses caresses
Sur sa peau de tigresse
Tourmentée de désir
L’amour est son élixir
Délicieux frissons
Parcourant avec passion
Sa bouche enflammée
De ses derniers baisers..

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