meilleurs voeux d amour

Des petits poèmes pour souhaiter meilleurs voeux d'amour

Un bonhomme de neige

De glace et d’amour

Enfin là que sais-je

Si ce n’est qu’il fond

Sous les baisers chauds

Qu’un garçon à pour

Changer le scénario

Donner l’impression

Que son cœur écoute

Son âme tous les jours

Et qu’une seule goute

N’est que transpiration !

Au ciel s'élèvent les flammèches

Âmes allant

Quand viennent s'éteindre les mèches

Ultime élan

Voici des vives étincelles

Jaillissement

Lors des Jours beaux et des Nuits belles

Ravissement

Sans se perdre dansent les âmes

Passionnément

Là où je t'aime scintillent mille flammes

Eperdument ...

La nuit m’a enseveli une nouvelle fois

De son voile onirique mystérieux et froid

C’est l’heure de l’ultime évasion pour moi

Mon regard converti en escale de nuit

Je me laisse porter par le sifflement

Que le souffle du large donne au vent

Et je viens me glisser tout contre toi...

Ou je m'entends rêver de ton prénom

J’ai quelque chose en moi qui inonde mon cœur,

Mélange d’adoration, d’amour et de tendresse,

C’est un doux sentiment de paix et de bonheur,

Un sentiment de joie de gaieté et de liesse.

Ce sentiment profond il n’est rien que pour toi,

Et il est là en moi et comme mon cœur il bat,

Et à chaque moment que tu passes près de moi,

Ce sentiment profond me dit que tu es là.

Sous tes doigts qui se profilent, il y a ta lumière

Ou tu dessines en arabesque toutes tes caresses

Qui me réchauffent de leur amour en plein hiver

Quand moi je fonds comme de la neige sous leur tendresse

J'adore me laisser voyager par ta douceur

Ou j’abandonne tous mes désirs sans un retour

Qui sur les draps mon corps s’imprègne de ton bonheur

Seule face à tes envies je n’ai aucun recours

Quand tes mains viennent à m’envelopper comme tu le veux

Et dans tes yeux tu me laisse rejoindre ton rivage

Tu me désarmes sous l'éclat de tes mille feux

Sous tes doigts qui se profilent, il y a mon visage…

Il est tôt, sur les toits, la nuit dessine encore

Quelques ombres argentées d’une lune endormie.

Mon amour se réveille et déjà nos deux corps

Se frôlent peau à peau, se retrouvent sans bruit.

Sur la fenêtre nue la buée me rappelle

Les fous rires étouffés de nos jeux interdits,

Quand mes mains inspirées se font tendres et rebelles

Pour attiser le feu de ses moindres envies.

Et je ferme les yeux pour mieux me souvenir

Du désir infini qui m’étreignait la veille,

De toutes nos caresses et de tous nos soupirs,

Et puis de son regard juste avant le sommeil.

J’avais rêvé l’amour comme une symphonie,

Concerto pour violons et piano à deux mains,

Et voilà qu’aujourd’hui je savoure l’harmonie

De deux âmes égarées sur le même chemin.