Je me permets de vous déposer ici un poème d'amour que j'ai écrit à l'origine pour la Saint-Valentin comme un petit hommage à la femme ! En espérant que cela puisse vous plaire..
"Fou est l'homme"
Fou est l'homme qui ne sait reconnaître
En sa femme la sagesse qui s'en découle,
Car c'est de ses conseils bien souvent avisés
Que nous devenons bien plus, qu'un homme.
Fou est l'homme qui renie cette mère,
Cette femme qui nous fait naître,
Car c'est avec elle que nous apprenons,
À devenir comment être un homme.
Fou est l'homme qui ne sait combler
Cette femme qui le fait succomber,
Car c'est bien sous son charme,
Que nous laissons tout tomber.
Fou est l'homme qui ose porter la main
Sur la femme qui lui a tendu la main,
Car c'est de cette main, de ces câlins
Que nous apprenons à marcher, à nous lever.
Fou est l'homme qui se détourne de ce regard,
Car dans c'est dans celui de sa femme que se trouve
Le plus grand et le plus beau des trésors,
Celui qui ne peut rivaliser contre tout l'or du monde.
Aussi, fou est l'homme qui se détourne de cette folie douce,
Et qui oublie qui lui suffit d'une de ses douces paroles,
Le survol de ses gestes emplis de tant de tendresses,
Que par la simple caresse d'un baiser sur nos lèvres,
Et elles nous rendent fous, à lier.
"Fou est l'homme"
Fou est l'homme qui ne sait reconnaître
En sa femme la sagesse qui s'en découle,
Car c'est de ses conseils bien souvent avisés
Que nous devenons bien plus, qu'un homme.
Fou est l'homme qui renie cette mère,
Cette femme qui nous fait naître,
Car c'est avec elle que nous apprenons,
À devenir comment être un homme.
Fou est l'homme qui ne sait combler
Cette femme qui le fait succomber,
Car c'est bien sous son charme,
Que nous laissons tout tomber.
Fou est l'homme qui ose porter la main
Sur la femme qui lui a tendu la main,
Car c'est de cette main, de ces câlins
Que nous apprenons à marcher, à nous lever.
Fou est l'homme qui se détourne de ce regard,
Car dans c'est dans celui de sa femme que se trouve
Le plus grand et le plus beau des trésors,
Celui qui ne peut rivaliser contre tout l'or du monde.
Aussi, fou est l'homme qui se détourne de cette folie douce,
Et qui oublie qui lui suffit d'une de ses douces paroles,
Le survol de ses gestes emplis de tant de tendresses,
Que par la simple caresse d'un baiser sur nos lèvres,
Et elles nous rendent fous, à lier.
par :Ludovic Metzker
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