Mes exils étaient les milles déserts asséchés
Où rien n’arrêtait la course de mon cheval effrénée
Ni tourbillons de sable, ni ouragans, ni vautours
Sublimé par la présence magique des silences alentours
Nuit féérique aux rêves d’orient romantique
La Lune me dévoila une évanescence poétique
L’inconnue miroitait l’étrange et l’exotisme
S’approchant en rythmes mélodieux emplis de lyrisme
Féminité explosion de couleurs éclatantes
M’enivrant un instant de sa sensualité étincelante
Ses teintes cristallisées de magique poésie inspirée
Mon regard attiré vers son ardente peinture vénérée
Me prenant par la main, elle m’ouvrit le palais de ses arts
Lumières orientales inondant mon âme de perles rares
De son cœur m’ouvrit son sérail fleuri
Où jouait son luth en passion ébloui
Le désert par enchantement sombra dans l’oubli
Ses sublimes chants la laissant dans mes bras évanouie
Femme devenue Déesse laissée après elle
Mes siècles tresseront sa couronne immortelle
Ta Féminité, je l’ai admiré sous ton ciel enchanté
De ton corps entrouvert j’ai perçu ta beauté
Devenu l’autel dont j’enlace les marches sacrées
Enthousiaste à gagner ton royaume nacré
Tes paroles sont un ruisseau qui rassasie mon âme
Ta manne du ciel m’a nourrit et fait tomber mes armes
Jardin aux mille fleurs capiteuses, les plus belles et les plus odorantes
Captivé par tes courbes irisées et tes lueurs luminescentes
Tu as peint en moi l’œuvre du pouvoir de ton amour
Me guidant sur ton chemin d’éternelles félicités pour toujours
Atteignant tes vastes plaines de béatitudes irréelles
Héritière de la lumière et du feu, tu m’as crée immortel
Amour sensible à ta présence éternelle dans toute nature
Constellées de rares pierreries et fascinantes peintures
Contempler ton cœur tel un miroir sensuel et infini
Contempler la beauté de ton ciel aux milliers d’étoiles irradiées d’harmonie
Ta loi sublime et première de femme devenue divinité
Admirable contemplation de ton chef-d’œuvre parachevé
La beauté de ton corps, sont montagnes et vallées créant celle d’un paysage
C’est dans ton amour que je puise ma vie à la chaleur de ton visage.
Mark Hamon COPYRIGHT ©
Où rien n’arrêtait la course de mon cheval effrénée
Ni tourbillons de sable, ni ouragans, ni vautours
Sublimé par la présence magique des silences alentours
Nuit féérique aux rêves d’orient romantique
La Lune me dévoila une évanescence poétique
L’inconnue miroitait l’étrange et l’exotisme
S’approchant en rythmes mélodieux emplis de lyrisme
Féminité explosion de couleurs éclatantes
M’enivrant un instant de sa sensualité étincelante
Ses teintes cristallisées de magique poésie inspirée
Mon regard attiré vers son ardente peinture vénérée
Me prenant par la main, elle m’ouvrit le palais de ses arts
Lumières orientales inondant mon âme de perles rares
De son cœur m’ouvrit son sérail fleuri
Où jouait son luth en passion ébloui
Le désert par enchantement sombra dans l’oubli
Ses sublimes chants la laissant dans mes bras évanouie
Femme devenue Déesse laissée après elle
Mes siècles tresseront sa couronne immortelle
Ta Féminité, je l’ai admiré sous ton ciel enchanté
De ton corps entrouvert j’ai perçu ta beauté
Devenu l’autel dont j’enlace les marches sacrées
Enthousiaste à gagner ton royaume nacré
Tes paroles sont un ruisseau qui rassasie mon âme
Ta manne du ciel m’a nourrit et fait tomber mes armes
Jardin aux mille fleurs capiteuses, les plus belles et les plus odorantes
Captivé par tes courbes irisées et tes lueurs luminescentes
Tu as peint en moi l’œuvre du pouvoir de ton amour
Me guidant sur ton chemin d’éternelles félicités pour toujours
Atteignant tes vastes plaines de béatitudes irréelles
Héritière de la lumière et du feu, tu m’as crée immortel
Amour sensible à ta présence éternelle dans toute nature
Constellées de rares pierreries et fascinantes peintures
Contempler ton cœur tel un miroir sensuel et infini
Contempler la beauté de ton ciel aux milliers d’étoiles irradiées d’harmonie
Ta loi sublime et première de femme devenue divinité
Admirable contemplation de ton chef-d’œuvre parachevé
La beauté de ton corps, sont montagnes et vallées créant celle d’un paysage
C’est dans ton amour que je puise ma vie à la chaleur de ton visage.
Mark Hamon COPYRIGHT ©
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire