poésies d'amour
Cette nuit je veux que tu oses et que tu posesTes caresses sur ma peau parfumée de miel
Avec l'agilité d'un céleste virtuose
Profaner mon corp et ma vertu sans cérémoniel
M'enivrer de ton odeur à grandes doses
Entendre ton râle fondre le silence du ciel
D'une passion et d'une fougue brûlante et grandiose
D'une pression presque étouffante et atemporelle
Deux âmes échouées en parfaite symbiose
Qui inventent des soupirs de plaisirs charnels
De désirs rauques et muets qui fusionnent en apothéose
Et se noient jusqu'à perdre toute réalité sensorielle.
poème d'amour connu
De désespoirs en désespoirs j'ai perdu mes pouvoirsDe malheurs en malheurs mon coeur s'habille de noir
Mon ame cris et mes reves sont illusoires
Tu colonises ma memoire et tu m'emprisonnes dans tes couloirs
Bloqué entre des murs et des miroirs pleines d'image et d'histoires
Si la vie ne m'a pas choisit pour t'avoir
T'avoir comme un present plein d'espoirs
Alors la mort rira de mon vouloir
Elle se rejouira de ma torture au plus profond de mes tiroirs
Je suis le prince orfelin de la vie
Je suis un malheureux qui revit
L'amour me là dit et le bon dieu me là prédit
Tu es cette belle histoire qui brulle mes sentiments dérisoires
Tu es la déesse de ma mémoire qui voile mes espoirs
Tu es mon ciel plein de nuage gris qui empoisonne ma vie
Sans toi je me suis permit d'aimer une autre furie
C'est solitude qui m'accable et cette amour qui m’envoie au diable
poème d'amour pour un homme
Jamais d'autre que toiJamais d'autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes
En dépit des mutilations d'arbre à la tombée de la nuit
Jamais d'autre que toi ne poursuivra son chemin qui est le mien
Plus tu t'éloignes et plus ton ombre s'agrandit
Jamais d'autre que toi ne saluera la mer à l'aube quand
Fatigué d'errer moi sorti des forêts ténébreuses et
Des buissons d'orties je marcherai vers l'écume
Jamais d'autre que toi ne posera sa main sur mon front
Et mes yeux
Jamais d'autre que toi et je nie le mensonge et l'infidélité
Ce navire à l'ancre tu peux couper sa corde
Jamais d'autre que toi
L'aigle prisonnier dans une cage ronge lentement les barreaux
De cuivre vert-de-grisés
Quelle évasion !
C'est le dimanche marqué par le chant des rossignols
Dans les bois d'un vert tendre l'ennui des petites
Filles en présence d'une cage où s'agite un serein
Tandis que dans la rue solitaire le soleil lentement
Déplace sa ligne mince sur le trottoir chaud
Nous passerons d'autres lignes
Jamais jamais d'autre que toi
Et moi seul seul comme le lierre fané des jardins
De banlieue seul comme le verre
Et toi jamais d'autre que toi.
les plus beaux poemes d'amour
Toi mon âme sœurToi qui m’as plongé dans les pleurs
Toi qui détruis mon cœur
Ton cœur est comme un jardin de fleurs
Tous le mondes se l'arrachent
Mais un seul reste dans ton cœur
Je t'ai visité en admirant ta beauté
Mais tes fleurs comme des épais
M’ont fracturé le cœur et m'ont blessé
Je le vois il s'approche de toi
Pat a pat je suis certain j’entends son cœur qui bat
Que pourrai-je faire mon dieu
Je suis comme un petit garçon malheureux
Tu sais malgré tous cela
Je voudrais te voir heureuse et pleine de joie
Malgré toute ma peine je voudrais être avec toi
Te voir porté cette robe blanche avec un autre que moi
C’est sur je serai mort mais j'adorerai mourir
Âpres avoir vénéré ton divin sourire
Je mourrais en sachant que tu seras comblé
Et tu sauras qu'elle fort amour j'ai put t'aimé
Je pleur en écrivant ce poème d'amour
Je suis dans l'enfer du mot "je t'aime"
Tu es un symbole pour moi tu es l'idéale
Jamais je n’aimerai une autre comme toi quoi qu'il advienne
Je suis persuadé que jamais tu trouveras un homme
Une âme qui t'aimera comme moi jusqu‘a ce que mort survienne .
poeme d'amour court
Mes pensées envers toi ne me quittent jamais, de façon surprenante elles prennent souvent ta direction. Ton absence n'est qu'un lourd fardeau à supporter et une amertume dure à avaler . Je veux franchir le gouffre de ton absence et retrouver le refuge de tes caresses.Serre moi si fort dans tes bras pour que toutes mes pièces cassées se remettent en place.Ta douceur a changé la couleur de mon paysage et la musique de mon coeur!Sauras-tu jamais ce qui me traverse
Qui me boulverse et qui m'envahit
Sauras-tu jamais ce qui me transperce
Ce que j'ai trahi quand l'ai tressailli
Ce que dit ainsi le profond langage
Ce parler muet de sens animaux
Sans bouche et sans yeux miroir sans image
Ce frémir d'aimer qui n'a pas de mots
Il était un grand nombre de fois
Un homme qui aimait une femme
Il était un grand nombre de fois
Une femme qui aimait un homme
Il était un grand nombre de fois
Une femme et un homme
Qui n'aimaient pas celui et celle qui les aimaient
Il était une fois
Une seule fois peut-être
Une femme et un homme qui s'aimaient
poème d'amour triste
Pour toi ...cette lumière .... **********.
Pour toi, il y a déjà cette lumière allumée
Pour toi, qui es si seul.......et trop esseulé ...
Viens, je serai là.......et là je t'accueillerai ...
Vois, vois j'y suis déjà....dans mon amitié
.
Viens mon ami, viens.....je te surveillerai
Je serai là. De là, je t' attendrai, te verrai....
Je le saurai lorsque tu penseras à arriver .....
Je saurai : alors la lumière, sera allumée !
.
J'irai, au-devant certain, et te rencontrer ...
J'irai et oui ......au-delà même de l'amitié
J'irai et me ferai telle douce générosité .....
Même, si ces froids étaient commencés
.
Si jamais, les lacs, étaient déjà solidifiés
Dans ma maison,vois .......ma cheminée...
Il y aura le beau feu de foyer à incendier
Ton coeur, ton âme, et ton souffle, gelés ...
Si jamais, tu pensais longtemps t'arrêter
Je pourrais, attention....peut-être t'Aimer
poeme amour a distance
Etreintes éternellesNos corps se retrouvent
S’approuvent
Cherchent la faille
Tous ses détails
Qui nous unissent
Nous étourdissent
Le désir
Se fait sentir
Sur nos peaux veloutées
Désorientées
En détresse
Par le manque de caresses
Nos bouches s’affolent
Se collent
S’explorent doucement
Puis fougueusement
Nos mains glissent
S’immiscent
Sur nos peaux mates
Délicates
Se perdent passionnément
Amoureusement
Vers les effluves du plaisir
De cet amour à assouvir
Parfum frémissant
Presque aveuglant
D’un amour exceptionnel
Nous emportant vers l’éternel
poème d'amour pour lui
Certes, il ne faut avoir qu’un amour en ce monde,Un amour, rien qu’un seul, tout fantasque soit-il ;
Et moi qui le recherche ainsi, noble et subtil,
Voilà qu’il m’est à l’âme une entaille profonde.
Elle est hautaine et belle, et moi timide et laid :
Je ne puis l’approcher qu’en des vapeurs de rêve.
Malheureux ! Plus je vais, et plus elle s’élève
Et dédaigne mon cœur pour un œil qui lui plaît.
Voyez comme, pourtant, notre sort est étrange !
Si nous eussions tous deux fait de figure échange,
Comme elle m’eût aimé d’un amour sans pareil !
Et je l’eusse suivie, en vrai fou de Tolède,
Aux pays de la brume, aux landes du soleil,
Si le Ciel m’eût fait beau, et qu’il l’eût faite laide !
Il a quelque chose qui ne s'explique pas.
Quelque chose qui me rentre dans l'être, avec douceur.
Là où les autres ne font que m'effleurer ou me passer à côté, lui, s'infiltre. Il m'infuse. Comment fait-il ça ?
Je ne sais pas. Lui non plus, sans doute. Il porte cette beauté inexplicable des gens qui se connaissent si bien et n'attendent rien sinon d'eux-mêmes.
De ces êtres libres et profonds. Il me touche plus loin que moi, je crois. Il porte notre évidence, comme ça, l'air de rien. Dans un simple sourire.
Qui vaut tous les discours du monde.
poème d'amour pour une femme
Les pasTes pas, enfants de mon silence,
Saintement, lentement placés,
Vers le lit de ma vigilance
Procèdent muets et glacés.
Personne pure, ombre divine,
Qu'ils sont doux, tes pas retenus !
Dieux !... tous les dons que je devine
Viennent à moi sur ces pieds nus !
Si, de tes lèvres avancées,
Tu prépares pour l'apaiser,
A l'habitant de mes pensées
La nourriture d'un baiser,
Ne hâte pas cet acte tendre,
Douceur d'être et de n'être pas,
Car j'ai vécu de vous attendre,
Et mon cœur n'était que vos pas.
Plus je vieillis et plus je trouve qu’on ne peut vivre qu’avec les êtres qui vous libèrent, qui vous aiment d’une affection aussi légère à porter que forte à éprouver. La vie d’aujourd’hui est trop dure, trop amère, trop anémiante, pour qu’on subisse encore de nouvelles servitudes, venues de qui on aime. À la fin, on mourrait de chagrin, littéralement. Et il faut que nous vivions, que nous trouvions les mots, l’élan, la réflexion qui fondent une joie, la joie. Mais c’est ainsi que je suis votre ami, j’aime votre bonheur, votre liberté, votre aventure en un mot, et je voudrais être pour vous le compagnon dont on est sûr, toujours.
Il suffit d’une chaîne pour rêver de liberté......
Il suffit d’un mur pour vouloir s’évader.......
Il suffit d’une douleur pour se rappeler le bien-être perdu......
Mais il suffit d’une main tendue
Pour espérer à nouveau entrevoir le bonheur
Que la vie en vaut la peine
C'est une chose étrange à la fin que le monde
Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit
Ces moments de bonheur ces midis d'incendie
La nuit immense et noire aux déchirures blondes
Rien n'est si précieux peut-être qu'on le croit
D'autres viennent Ils ont le cœur que j'ai moi-même
Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime
Et rêver dans le soir où s'éteignent les voix
Il y aura toujours un couple frémissant
Pour qui ce matin-là sera l'aube première
Il y aura toujours l'eau le vent la lumière
Rien ne passe après tout si ce n'est le passant
C'est une chose au fond que je ne puis comprendre
Cette peur de mourir que les gens ont en eux
Comme si ce n'était pas assez merveilleux
Que le ciel un moment nous ait paru si tendre
Malgré tout je vous dis que cette vie fut telle
Qu'à qui voudra m'entendre à qui je parle ici
N'ayant plus sur la lèvre un seul mot que merci
Je dirai malgré tout que cette vie fut belle
Nous sommes en plein soleil de juin
Mais il est à neiger sur ma solitude
Il y a soleil, et chaleur pour chacun
On m'a oubliée avec toute lassitude
*
Je tremble, sous cette neige de pluie
Les cristaux m'enveloppent de froid
Des frissons me couvrent cette nuit
Il y a rupture entre l'amour et ses lois
*
Le chaud s'essaie à fondre ma glace
Ma peau a mal de ce gel et ce dégel
Le givre tombe et reprend sa place
Cette liquéfaction n'est point belle
*
Amis, laissez-moi lors vous quitter
Mon âme hier morte est déjà si loin
Autant, je ne briserai pas votre été
Je n'irai pas aider à faire les foins ....
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