Ô l'amour d'une mère,
Un jour tu sens vibrer cette petite chose
Te voilà transformée, te voilà toute chose
Jusqu'à l'instant béni où posé sur ton corps
il réécrit ta vie, sous de tendres accords.
Et tu en oublieras le monde qui t'entoure
Tellement il prendra chaque heure de ton amour
Cet amour combien fort qu'on ne peut le décrire
Qui te fait le veiller et bien souvent empire.
Tu veilles sur ses nuits, tu surveilles ses jours
Lorsqu'un jour il grandit, tu crains pour ses amours.
Il sera à jamais le fruit de tes entrailles
Et quoique la vie fait, tu seras la muraille
Qui le protégera, ce don venu du ciel
Cet éclair dans ta vie, ton merveilleux soleil.
Puis un jour grandissant il modifie sa route
Et tu le vois changer, et tu émets des doutes
Lorsque soudain son cœur, se met à basculer
le tien alors a peur,,, et si il se trompait.
La distance se met, il parle moins souvent
Tu essaies de savoir, mais il reste distant
C'est comme un vent nouveau qui souffle sur sa vie
Mais tu n'en sauras rien, tu le sens indécis.
Puis un jour les valises se posent à l'entrée
Dans le fond de ses yeux, un malaise discret
Dans les tiens il voit bien la douleur qui se met
Et tes larmes soudain, se mettent à couler.
Il est là ton petit, il va quitter le nid,
Ton cœur plein de regrets se blottit dans l'ennui
Il lui faut s'en aller et poursuivre sa route
Cache lui que ton cœur soudain est en déroute.
Ô l'amour d'une mère, amour que nul n'oublie
Victor Hugo l'a dit et j'en fais ma prière
On les a tant aimés, on les aime toujours
Depuis l'instant sacré jusqu'à nos derniers jours !
Un jour tu sens vibrer cette petite chose
Te voilà transformée, te voilà toute chose
Jusqu'à l'instant béni où posé sur ton corps
il réécrit ta vie, sous de tendres accords.
Et tu en oublieras le monde qui t'entoure
Tellement il prendra chaque heure de ton amour
Cet amour combien fort qu'on ne peut le décrire
Qui te fait le veiller et bien souvent empire.
Tu veilles sur ses nuits, tu surveilles ses jours
Lorsqu'un jour il grandit, tu crains pour ses amours.
Il sera à jamais le fruit de tes entrailles
Et quoique la vie fait, tu seras la muraille
Qui le protégera, ce don venu du ciel
Cet éclair dans ta vie, ton merveilleux soleil.
Puis un jour grandissant il modifie sa route
Et tu le vois changer, et tu émets des doutes
Lorsque soudain son cœur, se met à basculer
le tien alors a peur,,, et si il se trompait.
La distance se met, il parle moins souvent
Tu essaies de savoir, mais il reste distant
C'est comme un vent nouveau qui souffle sur sa vie
Mais tu n'en sauras rien, tu le sens indécis.
Puis un jour les valises se posent à l'entrée
Dans le fond de ses yeux, un malaise discret
Dans les tiens il voit bien la douleur qui se met
Et tes larmes soudain, se mettent à couler.
Il est là ton petit, il va quitter le nid,
Ton cœur plein de regrets se blottit dans l'ennui
Il lui faut s'en aller et poursuivre sa route
Cache lui que ton cœur soudain est en déroute.
Ô l'amour d'une mère, amour que nul n'oublie
Victor Hugo l'a dit et j'en fais ma prière
On les a tant aimés, on les aime toujours
Depuis l'instant sacré jusqu'à nos derniers jours !
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