Texte d'amour pour le papa, un texte touchant par sa sincérité et la situation qu'il dépeint. Je pense qu'il s'agit d'un texte auto-biographique.
Je m'associe à votre chagrin et à votre douleur. C'est difficile de grandir sans un vrai papa. Dans le meilleur des cas, ça nous rend fort face aux difficultés de la vie, mais la faille est toujours là.
Dans le pire des cas, on grandit en déséquilibre : une mère c'est trop doux quelque fois (paroles d'une chanson de Georges Chelon : Père prodigue)
Lorsque j'ai espéré quelconque mot de toi,
Cette douce caresse qui ne me venait pas,
Que rien ne t'en empêchait, sauf les qu'en dira-t-on
Alors je restais seule, sans poser de questions.
Tu m'as laissée grandir sans me tendre la main
Tu as laissé grossir en mon cœur le chagrin
Il m'a fallu alors devenir la guerrière
Qui a dû oublier qu'elle n'avait pas de père.
Pourtant tu existais, mon sang en est la trace
Pourtant tu n'as rien fais pour me faire une place
Je me suis élevée comme font les oiseaux
Seule, car moi aussi, tombée du nid trop tôt.
Les années sont passées, m'a vie s'en est allée
Mais ma tête trop pleine de ces douleurs d'enfance,
Je me suis consolée avec quelque méfiance
Mais à travers autrui, c'est toi qui me manquait.
J'ai suivi ton cercueil sans savoir à l'intant
Que c'était toi mon père, qui reposais dedans
Ce n'est que bien plus tard, cruelle découverte
Que j'ai su, et alors j'ai couru à ma perte.
J'ai pleuré en silence, c'était ma vie à moi
Personne n'a rien su, de cette douleur là
J'ai mal en permanence, rien n'enfouit mon chagrin
Et à présent bien plus, car voilà la Toussaint.
Demain dès l'aube,,,,,
Un bouquet à la main, je partirai vers toi
Te raconter ma peine, te dire ô combien
A travers mes émois, à travers ce chagrin
Tu resteras mon père, que dis-je, mon Papa !
Je m'associe à votre chagrin et à votre douleur. C'est difficile de grandir sans un vrai papa. Dans le meilleur des cas, ça nous rend fort face aux difficultés de la vie, mais la faille est toujours là.
Dans le pire des cas, on grandit en déséquilibre : une mère c'est trop doux quelque fois (paroles d'une chanson de Georges Chelon : Père prodigue)
Lorsque j'ai espéré quelconque mot de toi,
Cette douce caresse qui ne me venait pas,
Que rien ne t'en empêchait, sauf les qu'en dira-t-on
Alors je restais seule, sans poser de questions.
Tu m'as laissée grandir sans me tendre la main
Tu as laissé grossir en mon cœur le chagrin
Il m'a fallu alors devenir la guerrière
Qui a dû oublier qu'elle n'avait pas de père.
Pourtant tu existais, mon sang en est la trace
Pourtant tu n'as rien fais pour me faire une place
Je me suis élevée comme font les oiseaux
Seule, car moi aussi, tombée du nid trop tôt.
Les années sont passées, m'a vie s'en est allée
Mais ma tête trop pleine de ces douleurs d'enfance,
Je me suis consolée avec quelque méfiance
Mais à travers autrui, c'est toi qui me manquait.
J'ai suivi ton cercueil sans savoir à l'intant
Que c'était toi mon père, qui reposais dedans
Ce n'est que bien plus tard, cruelle découverte
Que j'ai su, et alors j'ai couru à ma perte.
J'ai pleuré en silence, c'était ma vie à moi
Personne n'a rien su, de cette douleur là
J'ai mal en permanence, rien n'enfouit mon chagrin
Et à présent bien plus, car voilà la Toussaint.
Demain dès l'aube,,,,,
Un bouquet à la main, je partirai vers toi
Te raconter ma peine, te dire ô combien
A travers mes émois, à travers ce chagrin
Tu resteras mon père, que dis-je, mon Papa !
Texte À mon papa...
Encore une trace ,rien ne s'effaceun ans déjà
que de souvenir qui reste graver
Toi qui n'a jamais prie la peine
de m'aimer ,de me connaitre vraiment
un sourire ,une marque de tendresse
aurait fait beaucoup dans mon cœur
Comment as tu pu être cette homme la
Toi qui ma fait naître..
Tu aurais du penser au conséquence
souffrir de ton absence
est une douleur qui parle
qui a de cesse de ce retourner
De me torturer
Met je ne fléchis pas
Tu as été de passage
Te connaitre était ma joie
Met tu en n'as fait mon malheur
Aujourd'hui je n’approuve plus ce manque
met que quelques fois.
Car tu n'as pas été à la hauteur
Tu m'as abandonné ,laisser avec mes blessures du passé
Moi qui ne voulait qu'être aimé
Tu ne m'as pas désirer
Met fait de moi celle que je suis
Avec un amour immense qui n'a de cesse de grandir..
Une femme enfant devenue,une femme avec ses faiblesses
Des mots qui me blesse
une femme je suis,avec toutes sa tendresse
à partager
ma maladresse fait partie de moi
Une femme débordante d'envie,avec son grain de folie
un cœur très sensible , on me dit fragile.
mais je ne sais que donner , car j'ai appris à m'aimer et aimer
la vie, simplement
Repose en paix ..
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