POÈME : CE TEMPS QUI NOUS FUIT
Le bleu azur,nous observe madame,
Un témoin fin tendre et le premier.
A connaitre le secret de nos âmes,
Il est le seul qui peut être discret.
Ta flamme brûla mon cœur rebelle
M'emportant en haut dans les cieux
Mon corps en ta compagnie ma belle
Plane et bouscule vraiment les dieux.
Tu sais bien, ma jolie maîtresse,
Toi, mon chocolat, quand je pense,
Que le temps s'échappe sans liesse
Ce temps, qu’en folie on dépense.
Et la vie et les journées perdues
Tout file et s’en va comme fumée,
Aussi, les nuits ne reviennent plus.
Durant les longues nuits,je meurs,
Pour cueillir, ton immortelle beauté,
Je m’éveille toutes les deux heures,
La fièvre me secoue, pour un baiser.
© Med Riahi
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