Viola donc quelques mots d'amour pour mon fils qui vit en ce moment un chagrin d'amour, Comme c'est triste et comme je vous comprend... et comme il a de la chance s’être si bien entourer, avec le temps va tout s'en va ... même les chagrins, la mort d'un amour donne la vie a un autre... il faut être patient, il trouvera son âme sœur, j'en suis sure.
Ces moments où tout vacille
Où la vie parait injuste
Où ton coeur est si vétuste
Oui je sais, ça fait souffrir
Tu t'vois déjà dépérir
Tout s'écroule autour de toi
Tu ne comprends pas pourquoi
Oui je sais que ton coeur saigne
Mais ce que la vie t'enseigne
C'est qu'il faut te relever
Continuer à avancer
Oui je sais que tu l'aimais
Qu'à cette histoire d'amour tu croyais
Si elle a voulu partir
C'est qu'ailleurs est ton avenir
Oui je sais que tu refuses
Qu'elle te quitte sans excuse
Tu as la vie devant toi
Et je serai toujours là.
Je donnerai tout pour revivre ce passé... je donnerai tout pour t'avoir de nouveau dans mes bras... dis moi juste que c'est possible, quand peut tout recommencer... même si tout ce ci n'est désormais qu'une histoire pour toi, je te demande de mettre celle ci parmi tes meilleurs souvenirs... quand à moi, je t'aime comme au premier jour!!
Mon fils
Tu es devenu grand, où est passé le temps
Qui fit grandir l’enfant, l’ange que j’aimais tant !
Ton rire et tes chansons remplissaient la maison
Tendre petit garçon jouant dans mon giron.
Enfant c’est ta présence qui comblait les silences
Parfois ton impatience devenait exigence,
Tu étais la lumière, cette part singulière
De mon âme trop fière qui respirait mon air.
Tu me semblais fragile, ta silhouette gracile
Était le fil subtil d’une vie difficile,
D’un sourire radieux, gaité au fond des yeux
Moi je voyais les cieux quand tu étais heureux.
Voix pleine de tendresse tu cherchais les caresses
Ta plus grande faiblesse notre chatte Tigresse,
Il y en eut des combats, de ceux que tu gagnas
Il y eut celui-là, contre ce cancer-là.
Et toi tu grandissais tu avais des secrets
Bien peu tu les gardais, et moi je t’écoutais,
C’est à l’adolescence, quand il faut faire confiance
Et garder la prudence, qu’alors on prend conscience.
T’ai-je bien éduqué, es-tu bien informé
Il y a tant de danger es-tu bien protégé ?
Aujourd’hui je vois bien tu es un homme serein
Et subsistent nos liens, mon fils est un homme bien.
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