jeudi 13 août 2015

poème je t'aime - poème d'amour

Meilleures 11 poèmes d'amour pour dire je t'aime, collections poèmes je t'aime pour vous mes amours.

Je t'aime tant, je t'aime tant :
Je ne puis assez te le dire,
Et je le répète pourtant
À chaque fois que je respire.
Absent, présent, de près, de loin,
Je t'aime est le mot que je trouve :
Seul, avec toi, devant témoin,
Ou je le pense ou je le prouve.
Tracer je t'aime en cent façons
Est le seul travail de ma plume ;
Je te chante dans mes chansons,
Je te lis dans chaque volume.
Qu'une beauté m'offre ses traits,
Je te cherche sur son visage ;
Dans les tableaux, dans les portraits
Je veux retrouver ton image.

En ville, aux champs, chez moi, dehors,
Ta douce image est caressée ;
Elle se fond, quand je m'endors,
Avec ma dernière pensée ;Meilleures 11 poèmes d'amour pour dire je t'aime, collections poèmes je t'aime pour vous mes amours.Quand je m'éveille, je te vois
Avant d'avoir vu la lumière,
Et mon cœur est plus vite à toi
Que n'est le jour à ma paupière.
Absent, je ne te quitte pas ;
Tous tes discours, je les devine.
Je compte tes soins et tes pas ;
Ce que tu sens, je l'imagine.
Près de toi suis-je de retour,
Je suis aux cieux, c'est un délire ;
Je ne respire que l'amour,
Et c'est ton souffle que j'aspire.
Ton cœur m'est tout. mon bien, ma loi,
Te plaire est toute mon envie ;
Enfin, en toi, par toi, pour toi,
Je respire et tiens à la vie.
Ma bien-aimée, mon trésor !
Q'ajouterai-je à ce langage ?
Combien je t'aime ! Eh bien ! encore
Je voudrais t'aimer davantage.

Ton souvenir est comme un livre bien aimé,
Qu'on lit sans cesse, et qui jamais n'est refermé,
Un livre où l'on vit mieux sa vie, et qui vous hante
D'un rêve nostalgique, où l'âme se tourmente.
Je voudrais, convoitant l'impossible en mes vœux,
Enfermer dans un vers l'odeur de tes cheveux ;
Ciseler avec l'art patient des orfèvres
Une phrase infléchie au contour de tes lèvres ;
Emprisonner ce trouble et ces ondes d'émoi
Qu'en tombant de ton âme, un mot propage en moi ;
Dire quelle mer chante en vagues d'élégie
Au golfe de tes cheveux où je me réfugie ;
Dire, oh surtout ! tes yeux doux et tièdes parfois
Comme une après-midi d'automne dans les bois ;
De l'heure la plus chère enchâsser la relique,
Et, sur le piano, tel soir mélancolique,

Amie, il faut aimer quand le feu couve encore
Et qu'une main fidèle en refait les apprêts ;
Il faut rendre à l'autel ce qui tout bas dévore
Et qu'on regrette après.
Il faut aimer tandis que l'âme endolorie
N'a laissé qu'un éclair au front inaltéré,
Et qu'à de jeunes yeux l'amant soumis s'écrie :
« Par toi je revivrai ! »
Amie, il faut aimer pour qu'à l'heure où tout passe,
À l'âge où toutes fleurs quitteront le chemin,
Dans les landes du soir, en entrant, tête basse,
Nous nous serrions la main.
Il faut aimer pour l'heure où les suprêmes transes
Dans un temps qui se brise éteindront les soupirs :
Le dernier nous rendra toutes les espérances
Et tous les souvenirs !

 Où sont-ils ces jours enchanteurs,
Où sont ces nuits délicieuses ?...
Tes cheveux, prestiges menteurs,
Aux retraites silencieuses
Un instant soulagent mon cœur :
Auprès de ta beauté qu'est-ce que l'espérance ?
Lorsque tu donnes le bonheur,
Je n'ai plus qu'amour et souffrance !
Je vois sourire et je me dis :
Je suis heureux de ma tristesse ;
Que je préfère mes soucis,
À cette ignorante allégresse !
Je chéris jusqu'au sombre effroi
Qui la nuit agite mes songes,
Et je maudirais les mensonges
Qui me calmeraient loin de toi !
Ma flamme est un orage : il brûle, il me dévore
Et cependant je ne veux pas,
Riche de tes vertus, heureux de tes appas,
Je ne veux pas mourir encore !

si tu savais, ô jeune fille,
Le mal que peut faire un regard,
Tu voilerais, sous ta mantille,
Tes yeux dont la flamme scintille
Et perce l'âme comme un dard.
Quand tu parais aux promenades,
Lorsque tu traverses les rangs
De ceux que brûlent tes œillades,
On verrait moins de cœurs malades
Et moins de cerveaux délirants :
Pourquoi te faire ainsi, cruelle,
Un jeu de voir couler nos pleurs ?
Si Dieu voulut te créer belle,
Ce n'est point pour que ta prunelle
Devienne un foyer de douleurs.
Le regard, comme la parole,
Te fut donné pour nous charmer :
La femme est l'ange qui console
Et non le lutin qui désole ;
C'est l'être qu'il est doux d'aimer.
De tes yeux ne sois plus si fière,
Belle enfant, car un jour viendra
Où l'éclair d'une autre paupière
T'éblouira de sa lumière,
Et ton regard se troublera ;
L'orgueilleux éclat dont il brille
Voudra se voiler, mais, trop tard ;
Alors, cachant sous ta mantille
Tes pleurs, tu sauras, pauvre fille,
Le mal que peut faire un regard !

L'amour est un regret.... peut-être une espérance,
Quel vide il laisse au cœur lorsqu'il a disparu !
De quels plaisirs il dote l'innocence,
Qui sait le respecter comme une autre vertu !...
Longtemps je passai seul, et seul avec mon ombre,
Quand d'autres jouissaient du bonheur d'être deux :
Ma vie était comme un nuage sombre
Sous un ciel triste et vaporeux ;
Et cependant à notre heure dernière
Que reste-t-il de nous ?... un nom !... de la poussière !...
Si l'on eut de la gloire, un nom calomnié,
Une poussière inconnue et légère,
Si par l'envie encore notre éloge est nié !...
Ah ! l'amour seul peut consoler la vie,
Il peut lui seul en embellir le cours,
Cette existence à jamais poursuivie
Compte par lui des heures et des jours
Que n'ont point agités le malheur, ni l'envie ;
Des moments de bonheur... qu'on regrette toujours !...
Ô de mes sens ravis ineffable délire !
Bonheur des voluptés qu'annonçait ton sourire,
Plus pur que l'ambroisie et plus doux que le miel,
L'ombre enfin des plaisirs que renferme le ciel,
Que nul mortel encore n'a décrit, n'a su peindre,
Que moi seul ai goûté, que nul ne saurait feindre !
Dont la tristesse suit les rapides éclairs,
Comme pour annoncer la fin de l'univers,
Ou comme ces regrets que l'on accorde à l'être
Qui pour pleurer toujours parmi nous vient de naître ;
Abattement cruel qui succède à l'amour,
Ombre d'un beau tableau, sombre nuit d'un beau jour !
L'amour, l'amour, voilà notre génie !
Sans lui, sans toi, la vie est sans couleur :
C'est la lyre sans harmonie,
Ce sont les roses sans odeur.

Quand je t'aimais de l'amour le plus tendre,
Quand tu causais ma peine ou mon bonheur,
Au seul plaisir de te voir, de t'entendre,
Je consacrais tous les vœux de mon cœur.
Je n'avais plus, vers toi seul attirée,
Qu'un sentiment, qu'un espoir, qu'un désir ;
De mon amour constamment enivrée,
Ne pas t'aimer me paraissait languir !
Las ! ce penchant, qui dominait ma vie,
À moins charmé que tourmenté mes jours !
Craintes, regrets, pénible jalousie,
En remplissaient, en agitaient le cours.
Mon cœur enfin, sortant de ce délire,
Sut de l'amant se créer un ami,
Qu'il aime encore, plus qu'il n'ose le dire ;
Mais... qu'est-ce auprès de ce qu'il a senti !

Quand on a le bonheur d'aimer,
On croit tout voir en ce qu'on aime
S'épanouir, se transformer ;
On vit en lui plus qu'en soi-même ;
Le chemin s'ouvre et reverdit,
L'horizon changé s'agrandit,
Partout où la vie est poussée,
Et l'on n'a pour chaque désir
Qu'un but où sourit le plaisir,
Où se féconde la pensée.
Tout paraît s'unir pour charmer ;
Les mortels que ce feu consume
Ne se sentent pas consumer ;
Pour eux le bonheur se résume
En un mot, mot du ciel : aimer !
C'est le seul mot que l'œil annonce
Le seul que la lèvre prononce,
Et qui, par l'oreille écouté,
Soit au fond des cœurs répété.
Le passé, l'avenir s'efface,
Tout, dans ce monde, est en oubli ;
Le soleil comme l'ombre passe ;
Rien sur le front ne creuse un pli ;
Lors-qu’enfin le vent qui moissonne
Emporte, effeuille la couronne
Et précipite le flambeau,
Le trépas garde ce mystère,
Qui, toujours voilé pour la terre,
Ne se révèle qu'au tombeau.
Unis par une sainte chaîne,
Aimons, quand rayonne l'été ;
Aimons, quand d'un voile argenté
Le sombre hiver couvre la plaine.
Qu'en notre âme ferme et sereine
Par un dévouement soit compté
Tout pas du temps qui nous entraîne !
Sans craindre de les épuiser
À des flots purs venons puiser
Les ivresses que le cœur donne ;
Sont réservés dans le Ciel
Pour nos lèvres toujours du miel,
Pour nos fronts, toujours la couronne ;
Car, si, jusqu'au dernier jour,
La douce foi d'un noble amour
N'a jamais été profanée,
La vie, en changeant de séjour,
Ne change pas de destinée ! 
poème d'amour mon coeurSi tu ne me crois pas
Demande au désert
Ou est passé son sable ?
D'une larme
Je l’ai fais fleurir de fleurs
Pour toi.
Demande aux glaciers
Pourquoi ils pleurent ?
La chaleur de mon cœur
Les fait fondre
Pour le bain de tes soirs
J’ai crié si fort
Que j ai réveillé la mort
Et de la mort
Les vivants sont revenus
Et l’amour s’est répandu.
Si tu doutes encore
Ouvre mon cœur
Et vois ce qui s’y trouve
N’aie pas peur,
Ecoute son geignement,
A présent,
Il est heureux de mourir de tes mains,
De mourir d’amour pour toi.
Si tu ne me crois pas
Demande au temps
J’ai lutté des heures durant
Pour lui volé son cadran ;
Oui,
J’ai dérobé le temps
Pour te le dire plus longuement
Je t’aime énormément
Me crois tu maintenant ?

Quand je te dis que je t'aime,
C'est bien là notre problème,
Elle ne me croit pas
Tu as raison mon cœur, ne me crois pas
Ne me crois pas, quand je te dit je t'aime
Ne me crois pas, quand je te dit que tu est belle
Ne crois que ce que tu ressens, que ce que tu vois
parce que te dire je t'aime, je ne m'en lasse pas
Ne me crois pas, ce serai déjà une habitude
Ne me crois pas, tu sombrerais dans la lassitude
Ne me crois pas, tu a tout le temps pour ça
Ne crois que ce que tu veux, ce que tu attends
Parce que mes je t'aime , il n'y a que toi qui les entends
Crois moi, juste ce qu'il faut pour ne pas douter
Crois moi, pour ça tu as des milliers d'années
Crois moi, le temps qui passe est notre allié
Mais ne crois pas non plus que je vais cesser de t'aimer.

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