Ma chérie** Lettre tu me manques **
Que tu es loin, tout à coup ! à l'autre bout de la France !
Je suis pourtant ravi pour toi, tu as pris une bonne décision en te lançant dans cette formation. Cela te convient et correspond si bien à ce que tu voulais faire. Et je t'ai sentie si enthousiaste.
Mais voici quinze jours que tu es partie et cela me paraît trois mois… C'est la seconde fois que nous sommes séparés si longtemps. Je ne me souviens pas avoir réagi si fort. Je t'aime tant ! Je crois que je t'aime de plus en plus, comme si c'était possible !
Ma tendre chérie, ta présence est si forte dans cette maison. Nous sommes tellement heureux ensemble, dis
Jusqu'à la semaine dernière, j'ai tenu le coup. J'ai passé un peu plus de temps devant l'ordinateur et la télé, je me suis offert une toile et j'ai vu Henri et Pierre autour d'un pot, on a refait le monde, c'était sympa.
Mais que tu es loin et que ton absence me paraît longue ! Je tourne en rond comme un idiot. Regardant par la fenêtre comme si tu allais arriver, mettant le nez dans tes vêtements parfumés comme si tu m'avais quitté… Je n'ai même plus envie de sortir. Je ne rêve que d'une chose, qu'on soit vendredi soir, vingt-trois heures trente cinq : moi à la gare, guettant l'arrivée du train comme un amoureux transi et toi, bouillant d'impatience et me cherchant des yeux dès l'ouverture des portières…
Je rêve… et j'espère que même si tu es contente de ton séjour, même si tu n'as pas trouvé le temps aussi long que moi, j'espère que je t'ai manqué.
Ma chérie, tu me manques, si tu savais… Mais tu le sais ?!
Je t'embrasse et t'envoie des bouquets de baisers et de caresses comme tu aimes…
** Lettre tu me manques **
Mon amour,
Je voulais t’écrire une lettre pour ton départ… Je n’ai aucune idée de l’endroit où tu seras lorsque tu la liras mais en tous les cas, je sais que tu seras loin, trop loin de moi. Même si ce ne sont que deux petites semaines, je sais que tu vas me manquer car tu me manques toujours dés lors que ton corps est loin du mien. Tout ça ne s’explique pas et je ne sais même pas si je devrais te le dire… mais à quoi bon nier un tel bonheur ?Tu sais, on passe souvent sa vie à se persuader qu’il y a une personne, parmi toutes les autres, qui nous convienne parfaitement, l’utopie de l’idéal, l’autre moitié perdue de l’androgyne… Au fond, on passe souvent à côté sans le savoir. Pour la première fois, j’ai l’impression d’avoir trouvé cette personne.
Tu as tout ce que je recherche, c’est simple, avec toi je me sens tout simplement bien, tout simplement heureux et équilibré. Lorsque l’on trouve quelque chose comme ça, quand on a la chance de savourer une telle sensation, on a inévitablement peur de tout perdre. J’ai peur de te perdre car pour la première fois j’aime quelqu’un pour tout ce qu’il est. Quand tu es près de moi, j’ai l’impression que plus rien n’a d’importance, je me laisse bercer par la douce mélodie de ton cœur et tous mes questionnements, tous mes doutes s’évaporent.
C’est étrange, j’ai de plus en plus de mal à m’endormir quand tu n’es pas là, comme s’il manquait quelque chose. Ton corps tout chaud peut-être. Le temps change tout, il efface, brouille les pistes, détruit les histoires… Et aujourd’hui, il joue avec le mécanisme de mon âme, accélérant à sa guise l’évolution grandissante de mes sentiments envers toi. Et c’est ainsi, je ne peux rien y faire. Il n’y a pas de délai, pas de règle… et moi qui ai beaucoup de mal à m’attacher… en règle générale!
.J’aime quand tu me respires jusqu’à ce que ma peau s’assèche et que mon corps se déchire sous tes baisers. Je crois que c’est ça, la passion, cette tendresse violente, brutale, qui se mélange à cette délicieuse douceur teintée de larmes. Je t’ai écrit mes ressentis sans trop de retenue, je ne sais pas si c’était une bonne idée. En tous les cas, ça m’a fait du bien et j’espère que ça t’en procurera autant.
Je t’aime ********
Mon chéri** Lettre tu me manques **
Que c'est difficile, tout à coup, de te savoir si loin quand nous nous sentons si proches ! Après ton coup de téléphone, je me suis sentie toute triste. Bien sûr, tu t'es montré contrarié de cette prolongation de séjour, mais en même temps, tu étais plutôt satisfait puisque cela prouve, si j'ai bien compris, que tout se passe bien pour toi et dans l'équipe. Et tu as raison !
Je me dis que ma réaction est ridicule. Je devrais montrer enthousiasme et patience, cela t'aiderait à encore mieux vivre ces quelques semaines. Mais en commençant cette lettre, je ne vois que la distance entre nous et elle me donne une sorte de vertige, comme si elle construisait une immense digue qui m'empêche de voir ton visage, ton sourire… Est-ce parce que nous nous connaissons depuis peu ? Est-ce que cela s'atténue avec le temps ??
Comment te dire que tu me manques, tout en t'exprimant cette immense confiance que j'ai en nous, en toi ? Je me suis plongée dans mon travail si prenant, je me suis mise à entamer d'énormes livres, je suis allée voir quelques films, mais c'était en attendant de te retrouver cette semaine. Comment ne pas être déçue ?
Alors, oui, patience, m'as-tu dit. Une fois passée cette sensation pénible, je vais me reprendre, mon amour. Sinon, tu vas me voir sous un jour peu réjouissant !
Promis, ma prochaine lettre absorbera la digue, adoucira la distance et te dira tout mon bonheur de te connaître. Promis !
Je t'embrasse aujourd'hui, avec un mélange étrange d'impatience, de tristesse et de confiance.
**Lettre tu me manques **
Il y a un mois, je t’envoyais une lettre pour te faire part de mon ressenti quant à notre rupture et surtout, exprimer mon besoin de ne pas rompre totalement les liens qui nous unissaient ; ne pas perdre contact, tout simplement. Un mois plus tard, je reçois un appel de toi. Et cela me bouleverse. Je ne sais comment expliquer cette sensation. Nous ne nous aimons plus mais ta voix m’a remémoré des souvenirs que j’avais volontairement effacés de ma mémoire, me rappelant que nous étions bien, il fut un temps… Ton appel m’a apaisée mais il m’a laissé un goût amer dans le coeur, je repense à toi et me rends compte que tu me manques quand même.
Je ne voudrais pas que tu prennes peur, que tu imagines que je vais te harceler ou je ne sais quoi. J’avais juste envie que tu saches ce qu’a provoqué cet appel chez moi. Je suis heureuse que nous puissions désormais discuter ensemble et se donner des nouvelles sans arrière-pensée, sans ambiguïté. Et, pour qu’il n’y en ait aucune, j’ai préféré t’écrire aujourd’hui. Je suis très sensible, ce n’est pas nouveau, un rien chamboule mon petit cœur. Et même si je souffre un peu parfois, renouer contact avec toi me fait le plus grand bien !
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